Problèmes de morale fondamentale: un éclairage biblique

Ton père et moi nous te cherchons (Luc z, 48). Celui que la Mère de Jésus nomme « père » de son Fils doit-il encore avoir une place dans la prière et la pensée des hommes qui « cherchent le Christ ». L'article Joseph, époux de Marie, publié dans le Dictionnaire de Spiritualité, peut apporter une réponse à cette question. A partir de l'Évangile, des écrits des Pères et des maitres spirituels, des documents liturgiques et pontificaux, ce volume présente une petite somme, claire et critique, sur la personne, le rôle et le culte de Joseph dans l'histoire de la spiritualité. Si la ferveur de la dévotion et une théologie fondée sur des arguments de convenance ont parfois majoré les privilèges de Joseph, celui-ci a toujours été vu dans la proximité et au service de Jésus.

Joseph et Jésus

La distinction entre la Tradition apostolique et la Tradition ecclésiastique est d'une importance décisive pour la compréhension de la nature de la Révélation et de l'Écriture. La "Tradition des apôtres", fondatrice de la foi et de la vie pratique dans l'Église de Jésus-Christ, éclaire divers problèmes contemporains : dogmatiques, ecclésiologiques, oecuméniques...

La tradition apostolique

Les Juifs Dans L'Evangile De Jean. Enquete Historique Et Reflexion Theologique

" Le monde moderne du savoir, et qu'on voudrait aussi celui de la raison, peut-il faire une place à Dieu ? " À cette question, plusieurs réponses sont possibles aussi érudites, aussi rigoureuses, aussi raisonnables. Il ne s'agit pas ici de proposer une réponse toute faite à cet immense débat, mais de montrer que les réponses d'hier, qui opposent un peu vite la rationalité scientifique au recours au surnaturel, ne peuvent plus avoir cours aujourd'hui. L'auteur, bibliste renommé, proteste avec véhémence contre ce qu'il considère comme une caricature de ce que dit la Bible et de ce que croit l'Église. Finalement, le vrai conflit n'est pas entre Dieu et la science, mais entre des théories rigides ou des images déformées de ce que sont l'un et l'autre.

La science face à la foi

Une relecture de cet épître qui met à jour les questions éthiques, morales et sociales auxquelles étaient confrontés les Romains. On se laisse surprendre par les mêmes enjeux aujourd'hui.

L'Epître de saint Paul aux Romains : Une lecture pour aujourd'hui

On ne saurait séparer le " Christ en gloire ", dont il est question ici, de Jésus de Nazareth, personnage historique. Mais, dans l'Église, la foi des croyants s'attache à lui en tant que Seigneur ressuscité. Sa mort en croix est un fait passé, mais sa résurrection l'a rendu présent à tous les siècles. Par lui le monde à venir nous est ouvert : présence permanente du sacrifice de sa vie, qu'il a opéré par sa mort sur la croix. Présence permanente de son corps livré et de son sang versé, dans la célébration eucharistique qui en constitue le mémorial. La présente étude suit pas à pas les manifestations de cette présence et sa compréhension dans le Nouveau Testament, sur la base des textes bibliques qui l'annonçaient ou le préfiguraient de diverses façons. Plusieurs "excursus" montrent l'attachement des théologiens chrétiens au culte de ce Corps et de ce Sang du Christ : Newman et Augustin, Grégoire de Nazianze et Romanos le Mélode, et pour finir Catherine de Sienne, qui montre une intense dévotion au sang du Christ.

Corps et sang du Christ en gloire

Pierre Grelot, qui fut longtemps professeur d'Écriture Sainte dans les séminaires et à l'Institut catholique de Paris, dialogue avec un jeune musulman en abordant tous les sujets qui peuvent les opposer dans leurs fois respectives. L'amitié seule peut permettre cet échange difficile où chacun reste sur ses positions. Le chrétien n'ignore pas les difficultés que sa foi soulève dans l'esprit de son interlocuteur. Il n'a aucune intention de le convertir à la foi chrétienne, mais il s'attache à dissiper les fausses représentations que le musulman peut avoir au sujet de la foi chrétienne. Son interlocuteur est un jeune marocain. L'auteur attend longtemps avant de lui dire comment il a appris lui-même à comprendre quelque peu l'islam. Le professeur qui lui avait enseigné un peu d'arabe n'était autre qu'un marocain converti à la foi chrétienne : le père Jean-Mohammed Abd-el-Jalil (1904-1979). Celui-ci s'appliquait à donner aux chrétiens une juste compréhension de l'islam et aux musulmans une juste idée de la foi chrétienne. Ces " Dialogues " n'ont rien d'une entreprise apologétique : ils ont pour témoin ce Dieu qui appelle chrétiens et musulmans à une profonde conversion en surmontant les ignorances et les injustices du passé, afin de renouveler dans un climat d'humilité et de vérité leur connaissance et leur appréciation de l'autre.

Problèmes de morale fondamentale: un éclairage biblique

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