Dans le Paris du XIXe sicle, un jour d'hiver, Claude Gueux ommet un vol pour offrir du pain et du feu a sa femme et sa fille. Ce larcin le conduit en prison pour cinq ans. Il se heurte la au directeur, fonctionnaire froid qui semble lui vouer une hostilite particuliere et le separe d'Albin, un detenu auquel il s'est attache. Le mutisme du directeur face a ces demandes le poussera a bout et finira par le mener a l'echaufaud.

Claude Gueux

Dans le Paris du XVe siècle, une jeune et superbe gitane appelée Esméralda danse sur le parvis de Notre Dame. Sa beauté bouleverse l’archidiacre de Notre-Dame, Claude Frollo, qui tente de l'enlever avec l'aide de son sonneur de cloches, le malformé Quasimodo. Esmeralda est sauvée par une escouade d’archers, commandée par le capitaine de la garde Phoebus de Châteaupers..."C'est une œuvre colossale, une pièce antédiluvienne. [...] je ne vois rien à comparer dans nos temps à Notre-Dame. C'est le Shakespeare du roman, c'est l'épopée du Moyen Age, c'est je ne sais quoi ; mais grand, fort, profond, immense, ténébreux comme l'édifice dont vous en avez fait le symbole." Alphonse de Lamartine

Notre-Dame De Paris

Peut-on aimer une reine quand on n'est qu'un valet ? L'amour peut-il triompher des différences sociales ? Hugo met en scène ce défi dans Ruy Blas en 1838 et inscrit l'histoire d'amour dans une machination.  
Le valet Ruy Blas s'introduit en effet auprès de la reine aimée, mais grâce à une imposture conduite par un maître vengeur. Passion impossible, violence, trahison et pardon final... Le drame romantique mène jusqu'à leur paroxysme les situations, le langage et l'émotion.

Ruy Blas

Les jours heureux s'écoulent sur la petite ile de Guernesey. Gilliat, le plus doué, sans doute, des marins de l'île tombe secrètement amoureux de Déruchette, fille adoptive de Mess Lethierry, un armateur et un notable de l'ile, sans espoir car qui est-il pour espérer pouvoir lui plaire. Mais voilà qu'à la suite d'un sabotage, le bateau de Mess Lethierry, un steamer nommé la Durande, s'échoue sur de dangereux récifs. A demi ruiné et fou de rage à l'idée que le moteur révolutionnaire de son navire soit définitivement perdu, Lethierry promet sa nièce, Déruchette à celui qui récupérera la machine de l'épave, coincée entre des rochers au large de Guernesey. Gilliatt, entrevoyant l'espoir de pouvoir enfin aimer Déruchette, accepte secrètement le défi et part dans la nuit afin de pouvoir récupérer la machine de la Durande. Il luttera au péril de sa vie, de longues semaines, seul, loin de tout et isolé sur les récifs, face aux dangers omniprésents pour pouvoir réussir à ramener la machine. Mais Déruchette saura-t-elle l'attendre ?

Les travailleurs de la mer

Marius est le troisième tome des Misérables. Ici se dessinent la misère de Paris, décrite avec tendresse à travers la figure de Gavroche, et le souffle de la révolution qui anime les jeunes gens de la capitale. Marius, petit-fils de royaliste et fils de Bonapartiste, c'est Victor Hugo lui-même lorsqu'il avait dix-sept ans.

Marius

" Qu'est-ce que les Contemplations ? C'est ce qu'on pourrait appeler, si le mot n'avait quelque prétention, les Mémoires d'une âme " (Préface). Peu d'oeuvres poétiques se réfèrent plus ouvertement à leur contexte historique et biographique que celle-ci. Publiées en 1856, Les Contemplations portent la marque d'un double deuil : la perte de la fille du poète, Léopoldine, et la mort symbolique que représente l'exil. Mais ce qui s'y joue touche à la puissance de la parole poétique : par la contemplation, plongée aux tréfonds de soi d'où doit émerger la poésie, Hugo fait du déchirement un acte créateur et du verbe lyrique l'instrument d'une recherche d'absolu. Dossier 1. Les Contemplations et leur réception 2. Deuil, poésie et force de vivre 3. Ecrire pour résister 4. La littérature post-apocalyptique

Les contemplations - Livres IV-V

Initialement prévu pour une trilogie qui aurait compris, outre L'homme qui rit, roman consacré à l'aristocratie, un volume sur la monarchie, Quatrevingt-Treize, écrit à Guernesey de décembre 1872 à juin 1873, après l'échec de Hugo aux élections de janvier 1872, achève la réflexion de l'écrivain sur la Révolution à la lumière de la Commune et tente de répondre à ces questions: à quelles conditions une révolution peut-elle créer un nouvel ordre des choses? 1793 était-il, est-il toujours nécessaire? Le roman valut à son auteur la haine des conservateurs.

En mai 1793, le marquis de Lantenac, âme de l'insurrection vendéenne, arrive en Bretagne sur la Claymore, une corvette anglaise. À bord, il n'a pas hésité à décorer puis à faire exécuter un matelot qui n'avait pas arrimé assez solidement un canon. La consigne du marquis est claire: il faut tout mettre à feu et à sang. D'horribles combats s'ensuivent. Lantenac massacre des Bleus et capture trois enfants...

Quatrevingt-Treize

On n'en a jamais fini avec Hugo. Les Misérables sont sans doute, avec Pantagruel et Gargantua, avec Le Rouge et le Noir, avec Madame Bovary, ou avec A la recherche du temps perdu, le roman le plus célèbre de la littérature française. Il occupe deux volumes de notre collection. Beaucoup de lecteurs auront découvert ou redécouvert à cette occasion un roman qui est présent dans toutes les mémoires, mais qui est rarement lu d'un bout à l'autre. Pour monumental qu'il soit, avec son foisonnement de personnages, dont la plupart sont passés à l'état de proverbes ou de symboles, Les Misérables n'épuisent pourtant pas le génie universel de Hugo. Il est impossible de rendre justice à cet esprit dans le cadre restreint d'une collection nécessairement limitée. Les Misérables illustrent la face épique de Hugo. Il est peut-être, avec Agrippa d'Aubigné, le seul poète épique de notre histoire littéraire. Mais il est aussi bien autre chose. Hugo est un romancier et un poète épique - et un immense poète lyrique, un poète satirique, un historien, un critique, un homme de théâtre, un dessinateur de grand talent, un journaliste du premier rang. Quand vous en aurez fini avec Les Misérables, vous aurez encore à lire bien des merveilles de Hugo. Jean d'Ormesson de l'Académie française.

Les Misérables, II

Le destin de Jean Valjean, forçat échappé du bagne, est bouleversé par sa rencontre avec Fantine. Mourante et sans le sou, celle-ci lui demande de prendre soin de Cosette, sa fille confiée aux Thénardier. Ce couple d’aubergistes, malhonnête et sans scrupules, exploitent la fillette jusqu’à ce que Jean Valjean tienne sa promesse et l’adopte. Cosette devient alors sa raison de vivre. Mais son passé le rattrape et l’inspecteur Javert le traque.

Claude Gueux

Résumé

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