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Souvenirs entomologiques - Livre VII

Le crapaud

Souvenirs entomologiques - Livre IX

Jean-Henri Fabre, ce « grand savant qui pense en philosophe, voit en artiste, sent et s'exprime en poète » (Jean Rostand), a consigné la vie rêvée des hyménoptères et des coléoptères dans des Souvenirs entomologiques, somme de plusieurs milliers de pages dont les meilleures sont rassemblées dans la présente édition. Chef-d'oeuvre de vulgarisation, ces Souvenirs mêlent observation minutieuse, recherche de terrain et expérience scientifique à des réflexions d'ordre plus philosophique et à des souvenirs personnels. D'étranges personnages y sont mis en scène, et l'on s'y attache : cigale victime des préjugés de la fable, sphex languedocien solitaire, scarabée sacré... Rien ne manque : joies de la découverte, drames de la vie. Où l'on verra aussi que Jean-Henri Fabre, en instituteur de la IIIe République rompu aux leçons de choses, a indéniablement creusé le sillon d'une connaissance sensible du vivant. Choix de textes et présentation par Henri Gourdin

Souvenirs entomologiques

Jean-Henri Fabre est non seulement un grand entomologiste, mais aussi un magnifique «vulgarisateur», au meilleur sens du terme. Avec lui, l'homme ne s'efface pas devant le scientifique, il est toujours présent. Il nous entraîne, tout au long des 10 volumes de ses souvenirs, dans la passionnante découverte du monde inconnu des insectes.

Souvenirs entomologiques - Livre I

Jean-Henri Fabre, ce « grand savant qui pense en philosophe, voit en artiste, sent et s'exprime en poète » (Jean Rostand), a consigné la vie rêvée des hyménoptères et des coléoptères dans des Souvenirs entomologiques, somme de plusieurs milliers de pages dont les meilleures sont rassemblées dans la présente édition.  Chef-d'ouvre de vulgarisation, ces Souvenirs mêlent observation minutieuse, recherche de terrain et expérience scientifique à des réflexions d'ordre plus philosophique et à des souvenirs personnels. D'étranges personnages y sont mis en scène, et l'on s'y attache : cigale victime des préjugés de la fable, sphex languedocien solitaire, scarabée sacré. Rien ne manque : joies de la découverte, drames de la vie. Où l'on verra aussi que Jean-Henri Fabre, en instituteur de la IIIe République rompu aux leçons de choses, a indéniablement creusé le sillon d'une connaissance sensible du vivant. Choix de textes et présentation par Henri Gourdin

Sous la plume de Jean-Henri Fabre (1823-1915), la vie observée de chaque insecte devient une véritable épopée. C'est : Microcosmos un siècle plus tôt. Admiré de Darwin autant que de Maeterlinck, il est l'un des précurseurs de l'éthologie moderne. Au cours de ses longues promenades dans la nature, il se révèle un psychologue du monde des insectes. Dans ces pages, le philosophe entomologique nous décrit la mante religieuse, insecte intrigant et mystérieux s'il en est, ses moeurs et ses amours qui ont alimenté tous les fantasmes. Et l'on oscille sans arrêt entre la rigueur des observations scientifiques. la pédagogie de ce formidable vulgarisateur et les trouvailles littéraires de ces récits sauvages et singuliers aux minuscules héros.

La mante religieuse

Victor Hugo nannte ihn den »Homer der Insekten«: Die Erinnerungen des legendären Insektenforschers Jean-Henri Fabre erstmals vollständig auf Deutsch.Jahrzehntelang widmete sich Jean-Henri Fabre der Beobachtung und Beschreibung der Insekten in ihrem Lebensraum: von der Grabwespe, dem Mistkäfer und der Gottesanbeterin über die Spinne bis hin zum Nachtpfauenauge. Dabei gelingen ihm literarische Gattungsbiographien, die zu den schönsten und einfühlsamsten aber auch genauesten Tierbeobachtungen zählen, die je geschrieben wurden.Fabre stand mit vielen Geistesgrößen seiner Zeit in Kontakt, beispielsweise mit Charles Darwin, dessen Auffassung der Instinkte und der Entstehung der Arten er vehement ablehnte. Doch mit seinen Erinnerungen schuf er ein unvergleichliches, unerschöpfliches künstlerisches Monument, ein so ungewöhnliches wie herausragendes literarisches Meisterwerk, mit dem es ihm gelingt, dem Leser die Poesie des Lebens und der Natur zu offenbaren.»Ich glaube nicht an Gott, ich sehe ihn«, versicherte er im hohen Alter. Inmitten einer positivistischen Welt, die Analyse und Berechenbarkeit absolut setzt, entdeckt Fabre die Schönheit der Schöpfung. Sein nie endendes Staunen vor den Wundern der Natur und ihrer Schönheit fasste er in Worte und wurde damit für Generationen von Schriftstellern, von Victor Hugo, Marcel Proust und André Gide über die Surrealisten bis hin zu Ernst Jünger zum Vorbild und Inspirationsquelle.

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