Avec son amie homosexuelle carolyn, toiletteuse pour chiens, bernie rhodenbarr, le bouquiniste toujours à court d'argent, projette de cambrioler la demeure du richissime herbert colcannon qui s'est absenté de chez lui.

Malheureusement un autre cambrioleur est passé avant eux.  mais il n'a pas emporté une pièce de cinq cents qui vaudrait, si elle était authentique, une véritable fortune.  l'est-elle ? seul abel crowe, le fidèle receleur de bernie, pourrait le dire, mais il ne l'a pas plus tôt entre les mains que les ennuis commencent : meurtres et questions embarrassantes de la police. 
Notre duo s'en sortira-t-il sans trop attenter à l'ethique de spinoza ? la réponse de lawrence block, grand maître du policier américain, vaut le détour dialectique.

La spinoza connection

Voilà un Lawrence Block en grande forme ! Après Le Cambrioleur en maraude, dans lequel il nous racontait les dernières et follissimes aventures du bouquiniste-cambrioleur Bernie Rhodenbarr, Block revient au personnage de Matt Scudder, dont la série fit et fait encore sa fortune.
Matt Scudder, qui n'est plus tout jeune, pense souvent à la mort, - la sienne et celle de nombre de personnages qu'il a côtoyés dans sa vie de flic alcoolique, puis de privé passablement hors norme - lorsqu'une de ses relations, Louise, lui demande d'enquêter sur l'amant qu'elle a découvert par Internet. Si cet homme lui plaît en effet beaucoup, il n'en reste pas moins inaccessible. Pas moyen d'aller chez lui (il ne lui a pas donné son adresse), ni de savoir véritablement ce qu'il fait. Intrigué par ce cas de figure, Matt décide d'enquêter avec l'aide de son fidèle ami, T.J.
Pendant ce temps, un tueur en série du nom de Preston Applewhite attend la mort dans une prison de Virginie. Il a toujours clamé son innocence, mais les preuves retenues contre lui étaient tellement accablantes que le jury l'a condamné à la peine capitale en moins d'une heure. Intéressé par ce que pourrait lui dire cet homme, un psychologue décide d'aller lui rendre visite quelques jours avant l'exécution. Son plan est simple : il fera semblant de croire aux dénégations du condamné et, en lui inspirant ainsi confiance, pourra obtenir des révélations intéressantes. Et c'est bien ce qui se passe jusqu'au jour où, le psychologue assistant à l'exécution, Preston Applewhite reçoit la piqûre fatale.
Matt Scudder, qui n'a pas d'opinion tranchée sur la peine de mort et son côté dissuasif, hormis le fait que, bien sûr, elle empêche l'assassin de recommencer, poursuit son enquête sur l'amant inconnu, malheureusement pour lui, sans grand résultat.
A ceci près que pas mal de gens commencent à mourir autour de lui et que, très vite, il sent que sa vie et celle de sa compagne Elaine sont en danger. Renoncer ? Pas question. Matt Scudder n'est pas de ceux qui renoncent.

Les fleurs meurent aussi

Un jour de la fin des années 60, alors qu'il émerge difficilement d'une sérieuse cuite, Alex Penn découvre avec horreur que ses vêtements sont couverts de taches de vin. Ou plutôt, de sang. Celui d'une jeune prostituée qu'il a probablement embarquée avec lui dans la chambre minable d'un hôtel de Times Square. Probablement. car il ne se souvient plus de grand-chose. Le plus ennuyeux, c'est qu'à cause d'un vice de forme, il vient tout juste d'être libéré de prison. pour avoir tué une autre jeune femme. Ce qu'il nie farouchement. Que faire ? S'enfuir, naturellement. Mais il est clair que la police a toutes les chances de le retrouver et de le renvoyer à la case départ. Il ne lui reste donc plus qu'une solution : retrouver l'individu qui lui en veut au point de le piéger ainsi pour la deuxième fois. Mais quand on boit plus que de raison.

Et de deux ...

"È da tanto che non leggo nulla che mi abbia così colpito e stimolato. DEAD GIRL BLUES è audacemente originale, scioccante e brillantemente raccontato. In un periodo in cui molti romanzi polizieschi si confondono tra loro, il Maestro Lawrence Block dimostra ancora una volta di essere un autore unico nel suo genere."~ David Morrell, autore bestseller del New York Times con 'Murder As a Fine Art'. Tanto vale che lo sappiate subito: il nuovo romanzo di Lawernce Block non è per tutti. È raccontato in forma di diario dal suo protagonista, e inizia quando egli entra in un bar alla periferia di Bakersfield, in California, e ne esce con una donna. E poi la violenta e la uccide. Ma, uhm, non in questo ordine. Già. Ma quello che è veramente interessante è ciò che fa nel resto della sua vita... Lawrence Block scrive e pubblica romanzi gialli da sessant'anni. Ha ricevuto riconoscimenti alla carriera negli Stati Uniti e in Gran Bretagna. Suoi libri sono stati premiati e sono a volte diventati best sellers. Da parecchi di loro sono stati tratti dei film. Ecco quello che egli stesso ha detto di Dead Girl Blues: "Non penso che sia molto commerciale. E vi sono elementi che potrebbero disgustare molti lettori. Ma, sapete, Dead Girl Blues non mi deve nulla. Non avevo progettato di scriverlo, perciò non serve che mi faccia guadagnare denaro per giustificare il tempo che mi è servito per scriverlo. Il libro si giustifica da sé stesso. Lo pubblicherò il giorno del mio 82esimo compleanno, e voi tutti potrete comperarlo o non comperarlo, leggerlo o non leggerlo, vi potrà piacere o non piacere. L'ho fatto leggere ad alcuni amici delle cui opinioni mi fido, e mi hanno detto che Dead Girl Blues è una delle cose migliori che io abbia scritto. E hanno anche aggiunto di capire quali problemi potrebbe avere. Ma l'ho riletto la settimana scorsa, e mi sono convinto che D. G. B. è esattamente come io lo volevo. Quando mai questo accade? E un vecchio come me cosa potrebbe desiderare di più?" "Freddo e buio come l'altra faccia della Luna, ma con una prosa secca come una modella scheltrica, DEAD GIRL BLUES è come il cadavere dal quale non è possibile distogliere lo sguardo. Uno stile tagliente, caratterizzazioni che hanno origine dalla parte primitiva del cervello, quella dei rettili, una inquietante identificazione col narratore che dà i brividi. Non sono riuscito a smettere di leggerlo e, poco ma sicuro, non lo volevo. L'autentica visione della mente di qualcuno felicemente antisociale, che ci può spaventosamente ricordare l'alta faccia dell'umanità e il rapporto universale che tutti noi abbiamo con essa. Un cupo capolavoro di narrativa".~ Joe R. Lansdale "Sento ancora nella pelle gli artigli di DEAD GIRL BLUES. È come una pastiglia che rilascia lentamente terrore e che mi ha inchiodato nei panni di un altro, facendomi continuamente torcere le budella. Chi conosce le sue opere ha già visto Block farlo, e ci si meraviglia di come ci riesca senza sforzo apparente. Ma questo.! Forse il suo libro migliore, e questo la dice lunga".~Tom Straw "DEAD GIRL BLUES sicuramente farà sentire offesi alcuni lettori, ma a me è piaciuto intensamente. È scritto magnificamente e la voce del narratore ha il tono perfetto, tranquillo e inquietante insieme. Il libro mi ricorda, in modo molto positivo, le prime opere di Charles Willeford. Se amate il genere noir, questo è il vostro libro.~Lee Goldberg

Dead Girl Blues — Edizione Italiana

Cale Hanniford, la cinquantaine, vient de perdre sa fille, Wendy, tuée par Richard Vanderpoel, le jeune homme avec lequel elle vivait à New York.
Couvert de sang et incohérent, celui-ci a été arrêté et jeté en prison, où il s'est pendu. Pour la police, le dossier est clos, mais Hanniford veut le rouvrir : il est sûr que Richard est coupable, mais, rongé par le remords de ne pas avoir fait assez pour sa fille, aimerait savoir pourquoi elle a fini par se prostituer et mourir assassinée. Matt Scudder comprend vite que Hanniford lui ment sur un point capital.
Pressé de répondre, celui-ci finit par tâcher que Wendy n'était sa fille que par adoption. Flairant l'arnaque, Scudder décide d'enquêter : la police est-elle allée trop vite en accusant le fils d'un pasteur élevé dans le strict respect de la loi divine ? Avec ce livre paru en 1976, le grand maître du policier Lawrence Block (" La Balade entre les tombes ", " Ils y passeront tous ", " L'Amour du métier ", " Même les scélérats ", etc.) ouvrait l'illustre série des Matt Scudder.
Les éditions du Seuil sont fières de vous en proposer enfin la traduction en français.

Les peches des peres

Vol et volupte

Lawrence Block on AFTERTHOUGHTS 2.0:AFTERTHOUGHTS began in 2011, when I first began self-publishing titles from my voluminous backlist. I packed it with forewords and afterwords and essays and articles about the work, and arranged for its distribution as an ebook. Here's wwhat the publisher had to day about it at the time: "In a career spanning more than fifty years, Lawrence Block has produced more than one hundred books, ranging in genre from hard-boiled detective stories to pseudonymous erotica. Collected here for the first time are more than forty-five afterwords from the works that made him a master of modern fiction. Each afterword is an insightful reflection on the experiences that have brought Block's fiction to life, from the lessons he learned as a reader at a literary agency to the unlikely-and semi-autobiographical-origins of the acclaimed Matthew Scudder series. Witty and inspiring, Afterthoughts is a must-read for Block fans and mystery lovers alike." The book was well-received. Then, five years later, my relationship with an online publisher had run its course, and the useful little book went out of print. I kept thinking I ought to do something about it, but I kept finding other things to do. Now I've finally put in the hours to update and expand it, and I've called the result AFTERTHOUGHTS: VERSION 2.0. I think you'll find it at least intermittently informative and entertaining, and hope it may lead you to make the acquaintance of some of my less familiar work.

Afterthoughts: Version 2.0

Cool, fiable et efficace, John Keller est le tueur à gages préféré de tous. L'épouse qui gêne, la star du sport vieillissante, l'associé en affaires véreux, aucune victime ne le fait reculer. Pour lui, il ne s'agit pas de liquider tel ou tel, mais de résoudre un problème, qui, évidemment, n'a rien de personnel. Un contrat après l'autre, Keller sillonne les États-Unis et travaille avec honneur. Mais, aussi bon soit-il, il n'en est pas moins homme et se sent parfois bien seul et en proie au doute. Tuer le psychologue, le chien, la femme... à la longue, c'est un peu lassant et la retraite semble attrayante. Jusqu'au jour où, hélas, il doit se faire une raison : la retraite coûtant cher, il faut gagner de l'argent... et donc recommencer à tuer, tuer et tuer. Intelligence des histoires, écriture d'une malicieuse férocité et humour à la hache, ce nouvel épisode de la saga Keller est tuant d'humanité.

Le blues du tueur à gage

The city caught its collective breath when upscale couple Byrne and Susan Hollander were slaughtered in a brutal home invasion. Now, a few days later, the killers themselves have turned up dead behind the locked door of a Brooklyn hellhole -- one apparently slain by his partner in crime who then took his own life. There's something drawing Matthew Scudder to this case that the cops have quickly and eagerly closed: a nagging suspicion that a third man is involved, a cold, diabolical puppet master who manipulates his two accomplices, then cuts their strings when he's done with them. No one but Scudder even suspects he exists. And his worst fear is that the guy is just getting started ...

La spinoza connection

Résumé

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