Longue nuit du sans-sommeil (la)

Nicholas Edwards vit à la Nouvelle-Orléans avec sa femme et sa fille, où il est l'un des deux associés d'une entreprise qui rénove et revend des maisons dévastées par le passage de l'ouragan Katrina. Entre sa famille et sa collection de timbres, il oublie peu à peu que dans une autre vie, son métier était d'éliminer des gens. Lorsque l'économie régresse et que ses affaires périclitent, un nouvel ouragan survient sous la forme d'un coup de téléphone de son ancien agent, l'énigmatique et truculente Dot, qui lui propose de reprendre du service et de redevenir l'homme qu'il fut : Keller, le tueur à gages.
De New York aux Caraïbes, et jusqu'au grand finale qui se déroule à Cheyenne, où une veuve lui demande de gérer la collection de timbres de son défunt mari, Keller va devoir franchir les turbulences du cyclone tout en préservant la vie de Nicholas Edwards...

Tue-moi

Huit millions de façons de mourir

Résumer un roman policier, c'est un peu comme montrer une stripteaseuse nue avant son numéro d'effeuillage. Alors, mieux vaut ne donner que des indices. Avec ça on pourra recoller les morceaux (en refermant le livre, le lecteur comprendra ce que ça veut dire).
Francine Khoury, la crème des femmes, se fait enlever et ça se passe mal. Si mal que son mari Kenan Khoury, trafiquant de drogue, fait appel à un privé, Matt Scudder, un ancien flic, qui a décroché de la police et de l'alcool et qui renonce à aller avec sa petite amie call-girl en Irlande rejoindre son copain en cavale pour s'occuper de l'affaire. Il est honnête comme pas un, mais plein de ressources. Et puis il a  T.J., jeune black de 15-16 ans, toujours à court de quarters mais jamais d'idées, les Kong, à savoir Jimmy Hong et David King, capables de bidouiller n'importe quel système informatique plus quelques vieux collèges.
Ca n'est pas de trop quand on est face à des ravisseurs particulièrement ignobles et qui n'en sont pas à leur premier coup.
Pour qu'un trafiquant de drogue de Brooklyn engage un Alcoolique anonyme, c'est qu'il n'a pas le choix. Pour qu'un privé s'émeuve, c'est que l'affaire est moche. Si moche que Matt Scudder est sûr que les ravisseurs de Mme Khoury n'en sont pas à leur premier coup. Ni au dernier.

Cendrillon mon amour

The Cold War's boiling over. Global tensions are near the breaking point. So what's the perfect assignment for a super-spy who hasn't slept since the Korean conflict? A fun-filled trip to the Montreal World's Fair!The adorable little girl he's escorting-who, under different circumstances, would be sitting on the Lithuanian throne-can hardly contain her excitement, but it isn't all playtime for Evan Tanner. Some mysterious disappearances, apparently linked to the fair's Cuban exhibition, need to be looked into. Keeping his mind on business, however, won't be easy after an insatiable lovely in a tiger skin falls into Tanner's arms, and a mother lode of dangerous drugs falls into his lap. But the biggest, deadliest suprise is the terrorist plot Tanner's tumbling into, and he'll have to think and act quickly to prevent the visiting queen of England from being blown to smithereens.

Tanner's Tiger

Keller, l'illustre tueur à gages, nous revient après une longue absence.
Personne ne s'en plaindra. S'il n'a pas son pareil pour occire tel ou tel, jamais il n'en tire vanité : l'important, c'est que le client soit content et que la victime ne souffre pas inutilement. Une perle. Evidemment, il y a parfois des problèmes compliqués à résoudre - lorsque, par exemple, la victime subodore qu'on lui veut du mal et demande au tueur de renvoyer l'ascenseur au commanditaire. Ne pas s'inquiéter pour si peu : avec Keller, il y aura une solution.
Radicale certes, mais quoi ? Encore une fois, le client est roi. Et les amours là-dedans ? Elles sont brèves, mais d'autant plus fortes. En tout, on sait ne jamais oublier la fin. Qui approche. Mais... l'heure de la retraite sonnerait-elle pour Keller ? Allons, donc !

L'amour du metier

Privé sans licence enquêtant «pour rendre service», Matthew Scudder a quitté la police de New York et sombré dans l’alcoolisme après avoir tué accidentellement une fillette lors d’un échange de coups de feu avec des malfrats. Chez Armstrong, un bar qu’il fréquente un peu trop, il fait la connaissance de Charles London, qui lui demande de retrouver le meurtrier de sa fille, Barbara Ettinger, tuée neuf ans plus tôt. Son assassinat a été attribué à Louis Pinell, le «Rôdeur au pic à glace» récemment arrêté, qui reconnaît avoir tué sept victimes... mais pas Barbara. Et Scudder le croit. Après s’être renseigné, il se lance sur la piste d’un amant possible: Barbara aurait attendu un enfant noir. Le meurtrier serait-il le mari jaloux? Trop facile. Scudder rencontre alors une voisine de Barbara, qui, elle aussi alcoolique, devient sa maîtresse. De fil en aiguille, mais surtout de verre en verre, de meurtre en meurtre et de désespoir en désespoir, Scudder fi nira par y voir clair.

Le coup du hasard (Matthew Scudder, #4)

Broadway Can Be Murder started out to be a novel based on Johnny Midnight, a TV series which everyone has long since forgotten. Except, of course, that nothing manages to be forgotten in the Internet Age. I, whose job it was to knock out 50, 000 words of Johnny Midnightish prose and dialogue, had forgotten when it ran and who was in it, but Google took no time at all to remind me that the title role was played by Edmund O'Brien, and that the series ran during the first nine months of 1960. And if you want to know more about it, well, Google and Wikipedia are there to enlighten you. I was in New York, newly married, living at 110 West 69th Street. I was writing short stories for crime fiction magazines, erotic novels for Midwood and Nightstand, and fielding assignments that my agent steered in my direction. Two of these were from paperback publishers who had acquired the book rights to a TV drama and wanted to hire someone to write a book. First up for me was a show called Markham, which starred Ray Milland. Belmont was to be the publisher, and I had to write that book twice.  My first effort turned out to be too good to waste its fragrance on Belmont's desert air, and my agent had me change the title and the names of the characters and sold the thing to Gold Medal. So I had to write it again, and I did, and they liked it okay and published it. Next up was Beacon Books, with "Johnny Midnight" as both the book's inspiration and its title. I wrote it, but by the time Beacon was preparing it for publication, the series had been canceled. The publisher saw no reason to pay a licensing fee for a moribund show, and accordingly changed names: Johnny Midnight became Johnny Lane, and his trusty servant morphed from Uki to Ito. And Lawrence Block became Ben Christopher for the occasion. I don't know what kept me from using my own name, the book was crime fiction rather than the erotica that seemed to call for a pen name, but I do remember that my great friend Donald E. Westlake had recently done some sort of tie-in novel and hung the name Ben Christopher on it, telling me it would be his pen name for tie-ins he was anxious to forget. I horned in on the name, and if Don found this irksome he kept it to himself. Someone at Beacon picked the title. Strange Embrace. Well, there's a lesbian element in the book, and I guess they wanted to play it up, and "strange" was a useful code word toward that end. It retained that title when Subterranean Press put it in a splendid double volume with 69 Barrow Street, and when I first reissued it in the Classic Crime Library. But it doesn't really fit the book at all, making a hard-edged crime novel set in the world of New York theater look like a bt of Beacon erotica. Thus it's new title: Broadway Can Be Murder it now is and shall be. Ray Milland I should add, had no better luck than Edmund O'Brien; his show Markham was canceled after a single season. Belmont evidently didn't get the news in time to act on it, and they dutifully published the book as Markham: The Case of the Pornographic Photos. When I okayed a reissue years later by another publisher I changed the title to You Could Call It Murder-and it's available now with that title, in paperback or ebook, as Classic Crime Library #12. (And the book it was written to replace, which Gold Medal called Death Pulls a Doublecross, is now #13 in the Classic Crime Library with my original title restored: Coward's Kiss.) And here's CCL #19, Broadway Can Be Murder. Enjoy it!

Longue nuit du sans-sommeil (la)

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