Huit millions de façons de mourir

Quand Kenan Khoury reçoit un coup de fil anonyme exigeant une rançon s'il veut revoir sa femme en vie, il n'hésite pas une seconde à payer. Mais c'est dans le coffre d'une voiture et sous forme de pièces détachées sanguinolentes que notre homme la retrouve. Le problème est que Khoury, dealer notoire de Brooklyn, veut rester loin du regard de la police. C'est donc tout naturellement qu'il fait appel au célèbre détective privé et ancien flic alcoolique Matt Scudder. A l'aide d'acolytes hauts en couleur comme Manhattan en regorge - un apprenti rappeur, de jeunes hackers, sans oublier la belle Elaine -, Matt se jette corps et âme dans une enquête qui fait rapidement surgir de nouvelles pièces d'un puzzle macabre, bien plus complexe que prévu. Et lorsqu'une autre femme disparaît, c'est une course contre la mort qui s'engage...

Balade entre les tombes

Tricheur professionnel, William Maynard quitte Chicago avec un pouce déboîté et des incisives abîmées, suite à une arnaque qui a mal tourné. Un dentiste l'introduit alors dans une partie de poker entre amis, chez le riche et très retors avocat Murray Rogers. Joyce, sa femme, qui veut retrouver sa liberté, repère Maynard et, belle comme un coeur, le séduit dans l'instant. Vite éperdus d'amour, les amants concoctent un plan destiné à écarter le mari le plus " légalement " qui soit. Et la fortune leur sourit, au moins au début, quand Rogers se voit inculpé du meurtre du mystérieux, et surtout introuvable, August Milani. Mais Rogers, qui n'est pas idiot, aide beaucoup la chance à tourner, les tourtereaux se retrouvant bientôt dans un pétrin sans nom et, beaucoup plus grave, devant le risque de plus en plus précis d'y laisser leur peau.

Heureux au jeu

Cale Hanniford, la cinquantaine, vient de perdre sa fille, Wendy, tuée par Richard Vanderpoel, le jeune homme avec lequel elle vivait à New York. Couvert de sang et incohérent, celui-ci a été arrêté et jeté en prison, où il s'est pendu. Pour la police le dossier est clos, cependant Hanniford veut le rouvrir : il est sûr que Richard est coupable, mais, rongé par le remords de ne pas avoir fait assez pour sa fille, il aimerait savoir pourquoi elle a fini par se prostituer et mourir assassinée.

Matt Scudder comprend vite qu'Hanniford lui ment sur un point capital. Pressé de répondre, celui-ci finit par lâcher que Wendy n'était sa fille que par adoption. Flairant l'arnaque, Scudder décide d'enquêter : la police est-elle allée trop vite en accusant le fils d'un pasteur élevé dans le strict respect de la loi divine ?

Les péchés des pères

In the dark days, in a sad and lonely place, ex-cop Matt Scudder is drinking his life away -- and doing "favors" for pay for his ginmill cronies. But when three such assignments flow together in dangerous and disturbing ways, he'll need to change his priorities from boozing to surviving.

Le blues des alcoolos

Dans cet ouvrage à la construction éblouissante, Lawrence Block révèle le secret de New York. En fait, la mégalopole n'est qu'une manière de grand village rempli d'individus de toutes sortes unis par des liens aussi solides qu'ils sont invisibles. Et qu'ils soient écrivain, ex-grand manitou de la police, galeriste, avocat spécialisé dans la défense des criminels ou drogué reconverti dans le nettoyage des hauts lieux de la vie nocturne, tous ces gens ont un point commun : un amour immodéré de cette ville qui les abrite. Voilà pourquoi lorsque, dans l'ombre terrifiante des attentats du 11 septembre, un tueur fou commence à livrer une guerre sans merci contre l'immense métropole, tous se sentent concernés.
Et désemparés devant cette machine à tuer qui frappe où et quand elle veut.
Écrit dans un style à la fois lyrique et détaché, l'ouvrage est d'une grande violence, - en particulier dans la description de scènes érotiques qui pourront en choquer plus d'un.
Où l'illustre Grand Maître du roman policier américain définit ce qui, à ses yeux, constitue l'essence même de New York et dans un récit d'une grande violence raconte comment un tueur s'est mis en devoir de purger la mégalopole de tous les péchés qui s'y commettent.
Grand Maître des Mystery Writers of America, Lawrence Block a décroché quatre fois l'Edgar et le Shamus Award et a reçu de nombreux prix à l'étranger, notamment en Allemagne et au Japon. Il réside à  New York.

Lendemains de terreur

Bad cop Jerry Broadfield didn't make any friends on the force when he volunteered to squeal to an ambitious d.a. about police corruption. Now he'saccused of murdering a call girl. Matthew Scudder doesn't think Broadfield's a killer, but the cops aren't about to help the unlicensed p.i. prove it -- and they may do a lot worse than just get in his way.

Au Coeur De La Mort: Roman

Bernie Rhodenbarr has gone legit -- almost -- as the new owner of a used bookstore in New York's Greenwich Village. Of course, dusty old tomes don't always turn a profit, so to make ends meet, Bernie's forced, on occasion, to indulge in his previous occupation: burglary. Besides which, he likes it. Now a collector is offering Bernie an opportunity to combine his twin passions by stealing a very rare and very bad book-length poem from a rich man's library. The heist goes off without a hitch. The delivery of the ill-gotten volume, however, is a different story. Drugged by the client's female go-between, Bernie wakes up in her apartment to find the book gone, the lady dead, a smoking gun in his hand, and the cops at the door. And suddenly he's got to extricate himself from a rather sticky real-life murder mystery and find a killer -- before he's booked for Murder One.

The Burglar Who Liked to Quote Kipling

Antiquariatsbesitzer und Einbrecher Bernie Rhodenbarr neigt im Allgemeinen nicht zu philosophischen Überlegungen, wenn es um seine kriminellen Aktivitäten geht. Er hat das Talent dazu, es ist ansteckend aufregend und es ist vor allem viel profitabler, als alte Wälzer zu verkaufen. Er stiehlt, also is(s)t er - Punkt. Andererseits könnte er durchaus über den tieferen Sinn der Ereignisse im luxuriösen Heim von Herb und Wanda Colcannon nachdenken. Dort wird in der Nacht, in der Bernie heimlich zu Gast ist, offenbar gleich dreimal eingebrochen: einmal vor und einmal nach ihm. Es gelingt ihm zwar, einige schöne Schmuckstücke und eine äußerst wertvolle Münze zu stehlen, aber dummerweise lassen die dritten Einbrecher Herb bewusstlos und Wanda tot zurück ... und die Polizei ist sich sicher, dass der Verantwortliche dafür auf den Namen Rhodenbarr hört. Für existenzielle Grübeleien bleibt nun keine Zeit, aber Bernie muss dennoch sehr gründlich nachdenken, um einen Ausweg aus diesem mörderischen Dilemma zu finden. # »Neues von Manhattans Lieblingseinbrecher/Antiquariatsbuchhändler. Diesmal statten Bernie und seine Handlangerin Carolyn (eine lesbische Hundewäscherin) einer schicken Bude in der 18th Street einen Besuch ab - und obwohl vor ihnen schon andere Einbrecher das Haus auf den Kopf gestellt haben, finden sie einen wertvollen Nickel aus dem Jahr 1913, den sie Bernies geliebtem Hehler, dem alten Abel Crowe, anvertrauen. Doch es droht Ungemach, weil in derselben Nacht die Gattin des Hausbesitzers ermordet wird. Die gewohnte Mischung aus Einbrüchen, Betrügereien, dummen Polizisten, schlauen Sprüchen, Village-Milieu . und ein bisschen Numismatik: Bernie-Fans werden nicht enttäuscht sein.« ~Virginia Kirkus Reviews »Der Einbrecher, der Spinoza studierte ist der vierte Bernie-Rhodenbarr-Krimi von Lawrence Bock. Es handelt sich, wie bei Der Einbrecher, der gerne Kipling zitierte, um einen Krimi mit viel Humor. Mr. Block muss inzwischen der Kritiker überdrüssig sein, die ihn mit Donald Westlake vergleichen, aber Westlake ist eine ausgezeichnete Gesellschaft. Bernie tötet keine Menschen; das ist uncool. Stattdessen liest er Spinoza, Dr. Johnson, Wordsworth, Robert Frost und Piaget, hört Haydn oder Vivaldi, sieht sich Chagalls an und schläft mit einer plappernden SoHo-Künstlerin. Er trifft sich mit Kleinganoven, nimmt an der Beerdigung seines Hehlers teil, verkehrt mit Friseusen und erzählt uns alles, was wir nicht über Greenwich Village und Irish Coffee wissen wollten. Der Einbrecher, der Spinoza studierte ist überaus witzig, unterhaltsamer zu lesen als Spinoza und etwas weniger didaktisch.«  ~John Leonard, New York Times

Huit millions de façons de mourir

Résumé

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Critiques

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