Chacun porte une chambre en soi

Die Erzählung "Das Urteil" hat den Charakter einer Novelle und handelt von einem Vater-Sohn-Konflikt. Georg Bendemann, Sohn eines Kaufmanns, verlobt und kurz vor der Heirat stehend, korrespondiert brieflich mit seinem - aus seiner Sicht - glücklosen Freund in Petersburg. Um diesen zu schonen, verschweigt Georg in seinen Briefen viel von seinem eigenen erfolgreichen Leben. Doch nach langem Überlegen und eifrigem Zureden von Seiten seiner zukünftigen Frau entschließt er sich, ihm doch von seiner bevorstehenden Hochzeit zu erzählen. Als Georg mit dem Brief zu seinem Vater geht, kommt es zu einem Disput. Während des Streits erfährt der Sohn, dass sein Vater angeblich schon lange mit dem Petersburger Freund in Verbindung stehe und diesen längst über alles unterrichtet habe. Der Vater wirft Georg vor, die Leitung des Geschäftes an sich gerissen und eine nicht ehrenhafte Verlobte gewählt zu haben. Er beendet die Auseinandersetzung mit den Worten: "Ich verurteile dich jetzt zum Tode des Ertrinkens!" Daraufhin läuft der Sohn aus dem Haus, stürzt zum Fluss, schwingt sich über das Geländer, "rief leise: 'Aber liebe Eltern, ich habe euch doch immer geliebt', und ließ sich hinabfallen."

Das Urteil

Une grande nouvelle de fantastique kafkaïen.

La métamorphose - Et autres récits

La Métamorphose révèle une vérité méconnue, les conventions disparaissent, les masques tombent. Le récit qui porte ce titre est un des plus pathétiques et des plus violents que Kafka ait écrits ; les effets en sont soulignés à l'encre rouge, les péripéties ébranlent les nerfs du lecteur. C'est l'histoire, «excessivement répugnante», dit l'auteur, d'un homme qui se réveille changé en cancrelat. Cette transformation est un châtiment imaginaire que Kafka s'inflige. Et son personnage est celui qui ne peut plus aimer, ni être aimé : le conflit qui se déroule dans une famille bourgeoise prend une ampleur mythique. Seuls quelques éléments comiques ou grotesques permettent de libérer de l'oppression du cauchemar.

La Métamorphose

"Un golpe a la puerta del Cortijo" (título original en alemán: "Der Schlag ans Hoftor"), es un relato corto escrito por Franz Kafka en 1917.

Un golpe a la puerta del Cortijo

Le jour de son arrestation, K. ouvre la porte de sa chambre pour s'informer de son petit-déjeuner et amorce ainsi une dynamique du questionnement qui s'appuie, tout au long du roman, sur cette métaphore de la porte. Accusé d'une faute qu'il ignore par des juges qu'il ne voit jamais et conformément à des lois que personne ne peut lui enseigner, il va pousser un nombre ahurissant de portes pour tenter de démêler la situation. À mesure que le procès prend de l'ampleur dans sa vie, chaque porte ouverte constitue une fermeture plus aliénante sur le monde de la procédure judiciaire, véritable source d'enfermement et de claustrophobie. L'instruction suit son cours sur environ un an durant lequel l'absence d'événements est vue uniquement à travers les yeux de K. Sa lucidité, dérisoire et inutile jusqu'à la fin, contrairement à celle du héros de La Métamorphose, n'apporte aucun soulagement. Le Procès, pièce charnière dans l'oeuvre de ce génie de l'absurde, renonce au ressort du surnaturel pour évoquer l'angoisse de l'obsession. --Sana Tang-Léopold Wauters

Le Procès

Kafka began writing what he had entitled Der Verschollene (The Missing Person) in 1912 and wrote the last completed chapter in 1914. But it wasn’t until 1927, three years after his death, that Max Brod, Kafka’s friend and literary executor, edited the unfinished manuscript and published it as Amerika. Kafka’s first and funniest novel, Amerika tells the story of the young Karl Rossmann who, after an incident involving a housemaid, is banished by his parents to America. Expected to redeem himself in this magical land of opportunity, young Karl is swept up instead in a whirlwind of dizzying reversals, strange escapades, and picaresque adventures.

Amerika ou le Disparu

A sa mort, Kafka a laissé de nombreux manuscrits inédits. Bien qu'il ait demandé expressément à Max Brod, son ami et exécuteur testamentaire, de ne jamais les faire publier, celui-ci passa outre à cette volonté. Les textes ici proposés n'ont donc pour la plupart jamais été relus ni corrigés par l'écrivain, mais c'est leur inachèvement même qui les rend intéressants, voire fascinants, car ils donnent l'impression d'accéder au plus intime de la réflexion de leur auteur, d'effleurer le mystère de la création littéraire. La collection Babel propose désormais l'intégralité des récits de Kafka dans une nouvelle traduction, puisque les deux premiers volumes - La Métamorphose, La Sentence, Le Soutier et autres récits (Babel n° 285) et A la colonie disciplinaire et autres récits (Babel n° 352) - réunissent les textes publiés par l'auteur ou sous son contrôle de 1912 à 1924.

Chacun porte une chambre en soi

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