S'engager ! Pourquoi, comment ?

Pourquoi envisage-t-on toujours le service public comme un coût et jamais comme une part - significative - de la production nationale ? Avec ce livre, Jacques Fournier renverse les perspectives : la satisfaction des besoins humains fondamentaux - santé, logement, éducation, transport, etc. - devient prioritaire. Elle oblige à revisiter le service public pour le rendre plus efficace, moins lourd, bref pour remettre l'individu au centre du dispositif. Partant, Jacques Fournier s'interroge sur les modalités de mise en oeuvre de l'économie des besoins : comment faciliter la rencontre du service et du besoin ? Quel est le bon niveau d'intervention - local ou national ? Comment tarifer le service et jusqu'où aller dans la gratuité ? Passant par un État renouvelé et l'acceptation des acteurs privés qui se reconnaissent dans ses valeurs, l'économie des besoins n'est pas si utopique qu'il y paraît. Et si elle était l'avenir de l'économie ? « L'économie des besoins n'est pas une économie d'assistanat. Il ne s'agit pas de distribuer des aides sociales à des personnes en difficulté, mais d'organiser un système dans lequel c'est l'ensemble de la population qui va vivre autrement que selon la loi du marché [...]. En ce sens, l'économie des besoins est le communisme du XXIe siècle. » J. F. Conseiller d'État, Jacques Fournier a présidé aux destinées de Gaz de France (1986-1988) et de la SNCF (1988-1994). Auparavant, il a exercé les fonctions de secrétaire général adjoint de l'Élysée (1981-1982), puis de secrétaire général du gouvernement (1982-1986).

L' Économie des besoins

ISBN/EAN/UPC: 9782706709128  Titre de l'ouvrage:   Les racines françaises de Vatican II   Auteur:    Jacques Fournier   Editeur:   Salvator   Date de publication:   30/8/2012   Reliure:   Broché   Prix public/catalogue hors taxes: EUR 18,69   TVA:   7%   Prix public taxes comprises:    EUR 20,00   Nombre de pages:   350   Sujet:  Spiritualités / Christianisme       Description:   Parmi les nombreuses études qui accompagnent l'anniversaire de Vatican II, cette approche historique, destinée au grand public chrétien, est originale et inédite pour plusieurs raisons.- les grands thèmes du concile sont marqués par l'évolution des mentalités et les grandes transformations des sociétés française et occidentale, comme par les nouveaux modes de vie qui interpellent l'Église romaine. Ce livre fera l'analyse des nouvelles problématiques qui se développent dans les décennies précédant Vatican II.- cette analyse prendra en compte les données sociales dans lesquelles, au cours des années, l'institution romaine et les diverses communautés chrétiennes doivent vivre leur fidélité à l'Évangile dans toute son exigence pastorale, intellectuelle et spirituelle.- pour ce faire, ces réalités seront perçues au travers du vécu, riche, différent, voir divergents des grands penseurs, des grands théologiens et des grands témoins dont les biographies seront développées dans ce livre parce qu'elles sont indispensables pour mieux comprendre les étapes de l'Église jusqu'à Vatican II.Pour ce faire, l'auteur propose une étude en trois périodes pour aider le grand public chrétien à mieux découvrir la densité d'un concile aux racines profondes et dont les réflexions thématiques ne peuvent encore tout exprimer toute la richesse. D'où tant d'incompréhensions actuelles.1 - Du siècle des Lumières au Concile Vatican I. Au lendemain de la Révolution française qui marque toute l'Europe occidentale, la recherche des réponses.2 - L'avénement d'un nouveau monde et d'une nouvelle société.3 - La Tradition et la Parole de Dieu à la suite de bouleversements qui souvent déconcertent.Pour chacune de ces périodes, ce livre comportera un temps d'analyse de la situation de l'Église, du refus ou de l'accueil de son message qu'elle traduit dans une évangélisation toujours renouvelée. Des monographies et des biographies précises et personnalisées permettront une meilleure compréhension de ces étapes durant le XIXè et le XXè siècle. De la Restauration au Syllabus, d'une société rurale comme la Bourgogne et le Gâtinais, à une société urbanisée comme Belleville et le monde ouvrier de la Porte de Choisy à Paris.Lacordaire et Ozanam, le Curé d'Ars et Mgr Dupanloup, Pauline Jaricot et le cardinal Lavigerie, Aristide Briand et Mgr Courcoux, le cardinal Suhard proche pendant des années du nonce Angelo Rocalli qui deviendra Jean XXIII, La Mission de France et Louis Augros, Yves de Montcheuil, Henri de Lubac, et Marie-Dominique Chenu. Madeleine Delbrel, Henri Godin et Georges Michonneau. Action catholique, Paroisses missionnaires ou Mission de France.Les sessions de Vatican II diront la réponse que les Pères conciliaires, Jean XXIII, Paul VI leur ont apporté et que Jean-Paul II et Benoît XVI n'ont pas oublié de ce que nous disent ces monographies et ces biographies.    
Biographie de l'auteur:   Jacques Fournier (prêtre en 1942)

Les racines françaises de Vatican II

« Contrairement à beaucoup de militantes de ma génération, je n'ai pas connu de phase marxiste-léniniste ou maoïste, par exemple au sein du Parti communiste ouvrier (PCO0 ou du mouvement En lutte ! Tout simplement parce que j'étais contre l'idée d'un parti unique - dont on n'arrive plus à se défaire une fois en place - et parce que ces organisations, au début des années 1980, n'étaient pas souverainistes. Je me situais plutôt dans la mouvance " socialisme et indépendance ". » Si cela situe politiquement l'auteur de ce livre, il n'en reste pas moins que Jacques Fournier a surtout été engagé dans différentes causes sociales et communautaires, y compris lorsque l'heure de la retraite a sonné.

L'ouvrage s'ouvre sur une courte autobiographie d'un « militant ordinaire », un texte écrit à l'origine à l'intention de ses cinq petits-enfants. Suivent des chroniques à caractère philosophique, sociologique ou politique qui portent sur les raisons de se battre, l'effort, l'automne de la vie, le bon usage de la retraite, l'intériorité, le panthéisme, le spinozisme, la simplicité volontaire, le bonheur authentique, la joie, la mort, la vie, la beauté, la gratitude, la question nationale et les questions sociales.

Ces écrits sont caractérisés par la recherche du sens et par l'implication citoyenne. Jacques Fournier nous offre un florilège de pensées humanistes et progressistes résolument engagées pour un monde meilleur.

Le service public est-il condamné à disparaître, emporté par la concurrence, les déréglementations européennes et les pesanteurs internes ? Non. Mais à condition de moderniser. Jacques Fournier démontre à partir de l'exemple de la SNCF que les entreprises publiques peuvent remporter de grands paris technologiques et commerciaux. Jacques Fournier a été président de la SNCF.

Train, l'Europe et le Service public (Le)

Arbrures

Pourquoi envisage-t-on toujours le service public comme un coût et jamais comme une part, significative, de la production nationale ? Avec ce livre, Jacques Fournier renverse les perspectives : la satisfaction des besoins humains fondamentaux : santé, logement, éducation, transport, etc. , devient prioritaire. Elle oblige à revisiter le service public pour le rendre plus efficace, moins lourd, bref pour remettre l'individu au centre du dispositif. Partant, Jacques Fournier s'interroge sur les modalités de mise en oeuvre de l'économie des besoins : comment faciliter la rencontre du service et du besoin ? Quel est le bon niveau d'intervention, local ou national ? Comment tarifer le service et jusqu'où aller dans la gratuité ? Passant par un Etat renouvelé et l'acceptation des acteurs privés qui se reconnaissent dans ses valeurs, l'économie des besoins n'est pas si utopique qu'il y paraît. Et si elle était l'avenir de l'économie ? "L'économie des besoins n'est pas une économie d'assistanat. Il ne s'agit pas de distribuer des aides sociales à des personnes en difficulté, mais d'organiser un système dans lequel c'est l'ensemble de la population qui va vivre autrement que selon la loi du marché [...]. En ce sens, l'économie des besoins est le communisme du XXIe siècle." J.F.

L'Economie des besoins - Une nouvelle approche du service public

Pourquoi envisage-t-on toujours le service public comme un coût et jamais comme une part - significative - de la production nationale ? Avec ce livre, Jacques Fournier renverse les perspectives : la satisfaction des besoins humains fondamentaux - santé, logement, éducation, transport, etc. - devient prioritaire. Elle oblige à revisiter le service public pour le rendre plus efficace, moins lourd, bref pour remettre l'individu au centre du dispositif. Partant, Jacques Fournier s'interroge sur les modalités de mise en ouvre de l'économie des besoins : comment faciliter la rencontre du service et du besoin ? Quel est le bon niveau d'intervention - local ou national ? Comment tarifer le service et jusqu'où aller dans la gratuité ? Passant par un État renouvelé et l'acceptation des acteurs privés qui se reconnaissent dans ses valeurs, l'économie des besoins n'est pas si utopique qu'il y paraît. Et si elle était l'avenir de l'économie ?« L'économie des besoins n'est pas une économie d'assistanat. Il ne s'agit pas de distribuer des aides sociales à des personnes en difficulté, mais d'organiser un système dans lequel c'est l'ensemble de la population qui va vivre autrement que selon la loi du marché [.]. En ce sens, l'économie des besoins est le communisme du XXIe siècle. » J. F. Conseiller d'État, Jacques Fournier a présidé aux destinées de Gaz de France (1986-1988) et de la SNCF (1988-1994). Auparavant, il a exercé les fonctions de secrétaire général adjoint de l'Élysée (1981-1982), puis de secrétaire général du gouvernement (1982-1986).

S'engager ! Pourquoi, comment ?

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