Modigliani

La vie de Modigliani appartient à l'histoire, et son aventure artistique est encore d'actualité. Sa carrière se déroula essentiellement à Paris, entre Montmartre et Montparnasse, hors de Livourne, où il naquit. De la vie passionnée d'Amedeo Modigliani, de son destin tragique, surgit en effet une œuvre peuplée de portraits. Ce jeu de redoublement offre à l'esprit du spectateur un effet de miroir. Il reste à approfondir le sens de cette vie, à montrer pourquoi elle prend justement son aura, sous le voile de l'homme, de l'artiste, propre à son espace intérieur. Quels sont les thèmes qui semblent se décliner à l'infini au cours de la vie de Modigliani, et marquent profondément sa sculpture ? En quoi l'image virtuelle du portrait intéresserait-il son art ? Le modèle se dédouble comme autant d'empreintes de l'artiste ? De ce point de vue, un peintre, un sculpteur de génie reste à découvrir - à découvrir autrement -. Dans les tableaux, au sein d'un réseau complexe se rencontrent la tradition et le désir, l'une née de l'histoire familiale, l'autre de la soif de l'artiste d'être lui-même, de voir son désir reconnu. Toute destinée semble attachée à la mémoire. L'Editeur Giacomo Canale

Amedeo Modigliani 1884-1920. Biographie

Jean Cocteau à Montparnasse - Ailleurs & après

« Ton devoir est de ne jamais te consumer dans le sacrifice. Ton devoir réel est de sauver ton rêve... Je voudrais au contraire que ma vie soit comme un fleuve très riche qui coule avec joie sur la terre. »  La personnalité d'Amedeo Modigliani (1884-1920) est celle d'une fulgurance créatrice qui réunit les extrêmes. Homme ordinaire, affamé, qui vit à Paris, il est aussi cet artiste glorieux qui se trouve placé au-dessus de la réalité. Morceau de marbre limpide, bloc de cristal intact à travers les époques de sa vie, Modigliani n'est pas uniquement sculpteur, pas seulement peintre, encore moins dessinateur : au-delà du temps et des styles, il demeure un magicien de l'art.

Art moderne à Paris - 1860-194

Destiné à l'investisseur en bourse, l'objectif du livre est d'identifier les corrélations à rechercher entre les signaux de l'analyse technique et les données de l'analyse fondamentale pour déterminer la meilleure position à prendre (maximisation des objectifs de gains et/ou minimisation des risques de pertes). Pour la gestion des portefeuilles boursiers, deux "écoles" sont souvent opposées : l'analyse technique (repérage de l'évolution des courbes graphiques des cours pour anticiper une tendance) et l'analyse fondamentale (recherche des informations économiques sur le contexte et les entreprises). Cet ouvrage est le premier qui montre, grâce à une recherche historique sans précédent sur plus d'une trentaines de valeurs) quelles sont les convergences et les divergences récurrentes entre les deux méthodes. Il permet à l'investisseur de déterminer comment et à partir de quels indications il doit corroborer ses prises de décision par l'analyse fondamentale s'il privilégie une approche technique, et par l'analyse technique s'il privilégie une analyse fondamentale.

Analyse technique, analyse fondamentale

Dans les cafés et les cabarets des grands boulevards, à mi-pente de la Butte, sur la piste de danse du célèbre Moulin de la Galette, jusqu'au sommet, au milieu des courants d'air du bateau-lavoir, se sont succédé les plus grands visionnaires de la peinture qui ont marqué à jamais notre sensibilité contemporaine : Manet, Degas, Renoir, Toulouse-Lautrec, Steinlen, Seurat, Bonnard, Van Gogh, Cézanne, Van Dongen, Picasso, Modigliani, Dufy, Severini, et tant d'autres...
Les débats qui ont secoué le café de la Nouvelle-Athènes, l'ardeur littéraire des habitués du Chat Noir, les danseuses  effrontées du Moulin Rouge, les midinettes endimanchées des bals populaires, les saltimbanques du cirque Fernando, les facéties imaginées au Lapin Agile... Autant de sources d'inspiration qui lient à jamais le nom de Montmartre à l'histoire de l'art. Théâtre des révolutions picturales pendant plusieurs décennies, Montmartre se livre ici à travers Les chefs-d'œuvre nés sur ses terres et la vie quotidienne de ses artistes d'adoption.
Montmartre a été de 1860 à 1920 le creuset d'une effervescence picturale sans précédent. Cette aire magique de liberté a entendu s'élever les voix contestataires des impressionnistes, elle a offert à la ligne acérée de Toulouse-Lautrec l'agilité des danseurs du Moulin Rouge et au pinceau caressant de Renoir la fraîcheur des midinettes du quartier. Seurat y a appliqué à ses tableaux les préceptes de sa peinture scientifique et Bonnard affiché l'art nabi sur ses murs. Montmartre a vu Van Gogh éclaircir sa palette et imprimer à sa touché là marque indélébile de son tempérament. C'est là aussi que Cézanne a poursuivi sa quête solitaire de l'au-delà du visible, que Van Dongen a enflammé ses toiles de couleurs fauves, que le jeune Pablo Picasso a bouleversé à jamais l'art moderne et entraîné ses amis sur la voie de la déconstruction. Et tandis que les futuristes venaient y réclamer à grands cris la mort du musée, Modigliani traquait sans relâche sur le visage de ses modèles le reflet de son âme. Dans le sillage des grands, Gen Paul mais aussi de jeunes peintres - tels Elisée Maclet, Alphonse Quizet, Lucien Génin... -, gardiens fidèles des paysages montmartrois, célèbrent la magie éternelle des lieux.

Modigliani

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