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Essais 6 ; les lumières des positivistes
Publié par Agone, le 18 mars 2003
249 pages
Pour Wittgenstein, l'importance de la philosophie est celle du langage lui-même, de sa place dans nos vies, de son emprise sur nos façons de penser et d'agir. Comme il l'a écrit un jour, " le langage est tout " et c'est à leur lien intime avec le langage que les problèmes philosophiques doivent leur spécificité, leur profondeur et leur difficulté. Derrière ces problèmes, il n'y a généralement rien d'autre que de la confusion et du brouillard linguistique. Mais encore faut-il accepter de faire ce qui est nécessaire pour les dissiper. Qualifier de " non-sens " la plupart des choses que disent les philosophes ne résout évidemment aucun problème. Le trajet de la philosophie consiste à passer d'un non-sens caché à un non-sens manifeste, en surmontant, pour y parvenir, des résistances d'un type spécial. Ce que dit Wittgenstein sur la façon dont un problème philosophique peut être posé et résolu ne constitue pas une incitation à la paresse (anti-) philosophique, mais à un travail d'une difficulté particulière et dont le résultat n'est en aucune façon garanti.
Essais 6 ; les lumières des positivistes
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