Le théoricien de l'oeuvre d'art totale revient en ces pages sur son éblouissant parcours. Il s'y livre sans complaisance et y révèle les ressorts intimes de ses plus grandes créations.

Mes Oeuvres

Une communication à mes amis / Lettre sur la musique

Edition Schott reflects a wide variety of music and offers a comprehensive music library suitable for students, amateur and professional musicians. Edition Schott ranges from Renaissance to Contemporary solo instruments to orchestra, well-known pieces to interesting rarities and includes about twenty of Schott's acknowledged and well-established instrumental series such as Guitar-Archive, Violin Library, Il Flauto Traverso and Original Music for Recorder. Edition Schott publications share the highest production values and a distinct house style with clear notations, practical page-turns and high-quality paper. Edition Schott maintains and extends the internationally recognized tradition of excellence and reliability established in 1770 by Schott Music. Instrumentation : 4 cellos WWV 75

Edition Schott

Hagen, fils d'Alberich, convoite toujours l'anneau. Il promet Brünnhilde à son demi-frère Günther sans lui dire qu'elle est l'épouse de Siegfried. Celui-ci, ayant bu un philtre qui lui a fait perdre la mémoire, ne sait plus que Brünnhilde est sa femme. Il va lui-même l'enlever à son rocher pour l'offrir à Günther. Hagen propose alors à Bünnhilde de la venger de cet affront et tue Siegfried d'un coup de lance dans le dos, mais ne peut prendre l'anneau que le héros tient serré dans sa main. Brünnhilde, qui a compris la machination du traître, fait dresser un bûcher où elle dépose le corps de Siegfried et se précipite elle-même dans les flammes. Le feu s'étend jusqu'au Walhalla, qui s'écroule.
Un crépuscule éternel va commencer pour les dieux ; l'univers restera sans maîtres, mais conservera un bien précieux entre tous qu'il devra chérir plus que l'or : l'amour. Et l'anneau retrouvera sa place dans les profondeurs du Rhin.
Après le prologue de L'Or du Rhin, La Walkyrie et Siegfried, Crépuscule des dieux est la troisième et dernière journée de L'Anneau du Nibelung.

Crepuscule des dieux - - bilingue allemand

le christianisme pour les nuls

Beethoven

Les Wesendonck-Lieder sont composés en 1857-1858 dans un exceptionnel moment d'effervescence créative, de recherche musicale et culturelle et de passion amoureuse pour Richard Wagner. Ils constituent une oeuvre-clé du compositeur, le cycle étant souvent qualifié de laboratoire musical de Tristan et Isolde.
 
Partant de la partition originale pour chant et piano, de l'orchestration réalisée par Wagner du cinquième des lieder, nous proposons ici une version des Wesendonck-Lieder pour voix, quatuor à cordes et piano. Nous souhaitons mettre en valeur la structure de la composition de Wagner comme le texte de Mathilde Wesendonck. Concernant la structure des lieder, nous mettons en évidence la circulation et les échanges de motifs, mais aussi les parties intermédiaires. La magnifique version de Siegfried Idyll pour treize instruments de Wagner constitue à notre sens une incitation à aller vers une conception chambriste.
 
Du point de vue du texte, nous soulignons les changements de climat d'une strophe à l'autre et n'hésitons pas à inclure des figuralismes instrumentaux (par exemple la montée du violoncelle à la fin du premier lied, « Der Engel », figurant l'ange enlevant le personnage).

Wesendonck-lieder ; fünf gedichte von Mathilde Wesendonck

Lettre sur la musique" de Richard Wagner. Compositeur, directeur de theatre, polemiste et chef d'orchestre allemand de la periode romantique (1813-1883).

Lettre sur la musique

Ce livre rassemble des écrits de Wagner (Beethoven, suivi d'Une communication à mes amis et de Lettre sur la musique) devenus introuvables. Tout d'abord, les textes qu'il a consacrés à Beethoven, le grand intercesseur, entre 1840 et 1870, et publiés en français en 1937, dans une traduction de Jean-Louis Crémieux-Brilhac. Et puis, paru en 1976, traduit et préfacé par Jean Launay, Une communication à mes amis, le texte de présentation de ses trois grands opéras d'avant la Tétralogie : Le Vaisseau fantôme, Tannhäuser et Lohengrin. En 1851, âgé de trente-huit ans, le compositeur y définit sa conception du drame musical, qu'il oppose à l'opéra, à travers le récit de son propre itinéraire et une vision très juste de son avenir musical, notamment de L'Anneau du Nibelung. A ces textes s'ajoute enfin l'important Lettre sur la musique, traduit en 1860 par Challemel-Lacour, que Wagner avait connu dans leur exil en Suisse, et qui fut longtemps, en France, l'unique accès aux écrits théoriques de Wagner, écrivain prolifique qui n'a jamais vraiment séparé le théorique de l'autobiographique.

Mes Oeuvres

Résumé

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