Identifier les dinosaures, les reconnaître, les nommer... Voici les premières images des tout-petits !

Mes premiers dinosaures

Une collection de guides de découverte de la nature abordable dès sept ans.
Un choix de cent titres au format poche pour les emporter partout.
Des guides d'identification avec des textes et illustrations immédiatement utilisables.
Des guides d'activités pour découvrir la nature en bricolant et comprendre un sujet au travers de l'expérimentation.

Les petites betes de la maison

Dès 8 ans. Il existe sur le marché très peu de guides d'identification directement adressés aux enfants. La plupart comportent de très nombreuses espèces, y compris les plus rares, mais ne donnent pas suffisamment de clés pour identifier les plus courantes. C'est le parti inverse qui a été adopté ici. Pas si facile d'identifier les champignons ? Cela dépend de la précision des explications dont on dispose pour y arriver. Dans ce guide joli et malin, le lecteur trouvera tous les détails nécessaires pour ne pas se tromper, même si l'attention est attirée sur le fait qu'une cueillette de champignons ne doit jamais être cuisinée ni consommée sans avoir été montrée à un pharmacien... Grâce à la clé d'identification figurant en introduction, le jeune lecteur retrouvaera facilement les champignons qu'il aura dénichés parmi 3 grandes catégories :  Champignons à lames
Champignons à tubes et à aiguillons. Champignons de forme non classique. Pour chaque espèce, le lecteur trouvera la forme générale du champignon et des zoom sur les éléments distinctifs, qui changent selon les cas : gros plan de la volve, de l'anneau, du dessous du chapeau, coupe longitudinale du champignon... Tous les éléments utiles à l'identification sont donc réunis. De plus, les éventuelles confusion sont mises en avant grâce à des illustrations des espèces proches. Les dangers courus sont clairement indiquées sur les champignons toxiques. Des encadrés complémentaires apportent, au delà de la stricte identification, des informations pour en savoir plus sur ces espèces : les animaux qui les mangent, les croyances qui leur sont attachées...

Les champignons

Le revenu universel fait son apparition dans de plus en plus de programmes de candidats aux élections à venir. Pourtant, la bataille pour un revenu d'existence déconnecté de l'emploi représente une impasse, économique et politique. Les Economistes atterrés et la Fondation Copernic font une proposition alternative, basée sur un travail valorisant pour tous. La société tangue de tous côtés parce que l'ensemble des systèmes sociaux ont été pris en otage par la finance mondialisée et parce que le travail a été dévalorisé. En France, la dizaine de minima sociaux ne parvient pas à colmater toutes les brèches créées par le chômage, la précarité, l'augmentation des inégalités, et plus de 8,5 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté. Face à cette situation, une proposition de revenu d'existence connaît un engouement croissant. "Revenu de base", "allocation universelle", "revenu citoyen" : les appellations divergent mais l'idée de ce revenu universel est la même : verser à tout citoyen d'un pays donné, sans aucune condition, une somme mensuelle fixe. A droite comme à gauche, les candidats à l'élection présidentielle se sont emparés de cette idée, expérimentée dans différents pays, brandie comme une solution à l'échec des politiques de l'emploi et à l'extension du chômage et de la précarité. Le dispositif aurait pour effet, selon ses défenseurs, d'éliminer la grande pauvreté en versant aux citoyens de quoi subvenir à leurs besoins vitaux. Pourtant, le modèle de société qu'induisent ces propositions pose un certain nombre de problèmes économiques et sociaux. Les Economistes atterrés et la Fondation Copernic montrent les risques d'une telle proposition qui abandonne l'objectif de plein-emploi pour éradiquer le chômage, et qui fait la part belle au contournement du salaire minimum et du droit du travail dans les entreprises. Son financement suppose, de fait, selon les versions, l'abandon partiel ou total de la protection sociale actuelle. Ils proposent, au contraire, une vraie réforme des minima sociaux pour garantir dès l'âge de 18 ans un revenu décent dès lors que l'on est en formation, ou sans emploi, ou en incapacité de travailler. Cette réforme financièrement crédible s'inscrirait dans la conversion de notre modèle productif à la transition écologique et sociale, où la réduction du temps de travail permettrait à tous de participer au travail collectif et de s'insérer pleinement dans la société.

Faut-il un revenu universel ?

Les petites betes du bord de mer

Papillons et chenilles

un panorama dépliable à compléter avec plus de 50 autocollants, une planche de 6 pochoirs, pour apprendre l histoire en s'amusant,

Mes premiers dinosaures

Résumé

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Critiques

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