Le sac de Rome, 1527. Du premier maniérisme à la Contre-Réforme

Du Pré-Moyen Age à 1825, une histoire de l'art français dont chaque volume est agrémenté de notices biographiques des artistes : peintres, sculpteurs, architectes, graveurs, orfèvres, etc.

L'art francais (coffret)

Présentation d'André Chastel. Plus qu'un peintre, un penseur, un écrivain, un philosophe ou un inventeur de génie, Léonard de Vinci est un personnage mythique, comme en témoigne la profusion extraordinaire de publications portant sur lui et son oeuvre. Cette aura légendaire a paradoxalement contribué à la méconnaissance du peintre et de sa figure historique. La lecture des écrits de Vinci permet de mieux cerner les multiples facettes de l'artiste et de décoder les messages cryptés de ses tableaux. En s'appuyant sur ces textes, André Chastel explique et commente les thèmes essentiels de la pensée de ce "peintre-philosophe" , depuis ses principes esthétiques jusqu'à sa conception de l'espace, de l'ombre et de la lumière. En érudit de la Renaissance, Vinci situe son oeuvre dans une perspective plus vaste qui relève à la fois de la cosmologie, de l'anthropologie, de l'optique, de l'analyse des passions et de la technique picturale, ainsi que de la morale et de la déontologie du peintre. C'est dire la richesse extrême de ce texte majeur de l'histoire de l'art et de la pensée, auquel se sont référés les plus grand penseurs et artistes depuis Vasari et Poussin jusqu'à Picasso et Duchamp.

La peinture

Le génie de Léonard de Vinci, celui de Michel-Ange ressortent mieux sur le fond révélateur de l'Académie de Careggi, où Marsile Ficin règne en maître, évoquant sinon invoquant Platon. La culture platonicienne entretenue par Ficin - mais Cristoforo Landino ou Ange Politien sont tour à tour convoqués - délimite le contour d'un nouvel ordre artistique dont André Chastel, dans un travail de jeunesse qui engage déjà ses subtiles analyses d'histoire de l'art et des idées, rend raison avec passion. En quelques pages lumineuses, Jean Wirth donne à ce maître livre sa juste place dans une tradition historiographique qu'il a contribué à renouveler.

Marsile Ficin et l'art

L'illustre incomprise - mona lisa

Sous le titre de «Fables, Formes, Figures» ont été recueillies en deux volumes soixante-quatre études publiées de 1936 à 1977 dans des recueils d'audience restreinte. Tous ces écrits participent à une interrogation continue sur les modalités de l'imaginaire dans les sociétés humaines, y compris et surtout les nôtres, sur son emprise sur les individus particulièrement réceptifs que sont les artistes et sur les ressources et les points d'application de l'art, son véhicule privilégié.
Volume I :
. Le merveilleux et le fantastique (La Reine de Saba ; Les Saturniens ; L'Apocalypse ; La mort).
. Le double sens (Casques et masques ; La part d'Eros).
. Les techniques et les formes.
. L'art expliqué.
. Dimensions de l'architecture (La fête de l'architecture ; Demeures royales ; Palladiana).
. L'architecture et le merveilleux.

Fables, formes, figures - tome 1

L'art Italien

Un essai consacré aux deux formes essentielles et universelles que sont la boule et le cube, à leur symbolisme et à leur importance à travers l'histoire de l'art.

La sphère et le cube

Le génie de Léonard de Vinci, celui de Michel-Ange ressortent mieux sur le fond révélateur de l'Académie de Careggi, où Marsile Ficin règne en maître, évoquant sinon invoquant Platon. La culture platonicienne entretenue par Ficin — mais Cristoforo Landino ou Ange Politien sont tour à tour convoqués — délimite le contour d'un nouvel ordre artistique dont André Chastel, dans un travail de jeunesse qui engage déjà ses subtiles analyses d'histoire de l'art et des idées, rend raison avec passion. En quelques pages lumineuses, Jean Wirth donne à ce maître livre sa juste place dans une tradition historiographique qu'il a contribué à renouveler.

Le sac de Rome, 1527. Du premier maniérisme à la Contre-Réforme

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