Die Marquise von O... ist schwanger geworden und sucht nun nach dem Vater, um nicht in Ehrlosigkeit zu stürzen. Sie streitet sich mit ihrer Familie, zieht in ein abgelegenes Haus und wartet dort geduldig auf die Rückkehr von dem Mann, der sie geschwängert hat.

Die Marquise von O...

Based on historical events, this thrilling saga of violence and retribution bridges the gap between Medieval and modern literature, and speaks so profoundly to the contemporary spirit that it has been the basis of numerous plays, movies, and novels.It has become, in fact, a classic tale: that of the honorable man forced to take the law into his own hands. In this incendiary prototype, a minor tax dispute intensifies explosively, until the eponymous hero finds the forces of an entire kingdom, and even the great Martin Luther, gathered against him. But soon even Luther comes to echo the growing army of peasants asking, "Isn’t Kohlhaas right?"Widely acknowledged as one of the masterworks of German literature, Michael Kohlhaas is also one of the most stirring tales ever written of the quest for justice.

Michael Kohlhaas

Die Marquise von O.... ist eine Novelle von Heinrich von Kleist, die 1808 in der Literaturzeitschrift Phöbus erschien. Der Schauplatz der Handlung ist Italien zum Zeitpunkt des Zweiten Koalitions-krieges (1799-1802). Die Novelle beginnt mit einer sehr ungewöhnlichen Zeitungsannonce, in der eine Dame von vortrefflichem Ruf bekannt machen lässt, dass sie, ohne ihr Wissen, in andre Um-stände gekommen sei und dass der Vater sich melden solle. Sie sei entschlossen, ihn zu heiraten. Anschließend wird rückblickend erzählt, wie es zu dieser Situation gekommen ist...

Die Marquise von O....

Michel Kohlhaas ou l'honneur du cheval

Den historischen Hintergrund für die Erzählung bietet ein Bildersturm in den Niederlanden, bei dem radikale Calvinisten im August 1566 über 400 Kirchen verwüsteten. Kleist beschreibt das Vorhaben von vier Brüdern aus Holland, zur Zeit des reformatorischen Bildersturms den Aachener Dom zu verwüsten.

Die heilige Cäcilie oder die Gewalt der Musik

Lecteur, vous n'avez aucune raison de vous intéresser à l'histoire du Prince de Hombourg : il est prince, vous ne l'êtes pas, il est colonel de l'armée du Brandebourg, pas vous, il est somnambule et amoureux d'une princesse, ce n'est pas votre cas que je sache, il a attaqué et vaincu, un beau matin, l'armée suédoise sans en avoir reçu l'ordre, vous n'avez jamais fait une telle chose, et il est condamné à mort, vous non... Ah, si. Vous êtes, vous aussi, condamné à mort. Nous le sommes tous, n'est-ce pas, et de manière non moins absurde que si c'était par un Grand Electeur de Prusse. D'ailleurs, en y repensant, il vous est arrivé, à vous aussi, de prendre un jour telle décision sans y être appelé par quiconque, et cela vous arrivera encore. Et vous aussi, vous êtes - nous le sommes tous dès que nous sommes amoureux - prince véritable ou véritable princesse. Et surtout - comme à lui cela vous arrive - vous aussi vous marchez dans vos rêves...

Le prince de Hombourg

La correspondance de Kleist se lit comme un roman : le roman d'une vie. Rédigées dans une écriture serrée et penchée, ce sont presque toujours de très longues lettres où Kleist se livre dans un mélange de virulence et de naïveté. Génie polymorphe, il se révèle autant attaché à la philosophie qu'à la politique, aux sciences qu'au journalisme, au drame qu'au récit, à la gloire qu'à la solitude. Toute la correspondance de Kleist n'est pas parvenue jusqu'à nous ; bien des lettres ont disparu. Wilhelmine von Zenge, son éphémère fiancée, en a brûlé une grande partie. Il nous reste quand même plus de deux cents lettres échelonnées sur quatorze ans. À partir de 1799, date à laquelle Kleist prend la décision de quitter l'armée et de se consacrer à l'étude et à l'écriture, le flot est ininterrompu jusqu'à son suicide en 1811 sur les bords du Wannsee, à Berlin. Il est symptomatique de voir que, durant les premières et les dernières années, ses lettres sont presque exclusivement adressées à des femmes ; Kleist a manqué d'amour et ce manque lui fut fatal. La correspondance s'ouvre sur une recherche effrénée du bonheur et se clôt sur une sérénité pathétique. «La vérité, c'est qu'on ne pouvait pas m'aider sur terre», écrit-il à sa soeur Ulrike, la veille de sa mort.

Correspondance 1793-1811 ; oeuvres complètes Tome 5

Eine Marquise gewährt einem Bettelweib Obdach, die bei einem schrecklichen Unfall stirbt. Jahre später will der Marchese das Schloss verkaufen, jedoch spukt es in den Räumen.

Das Bettelweib von Locarno

Ein wohlhabender Güterhändler reist mit seinem Sohn nach Ragusa, wo eine pestartige Krankheit herrscht.

Die Marquise von O...

Résumé

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