Une gamine qui refuse de suivre ses parents à l’heure de s’exiler hors d’Irlande disparaît… puis revient dans la maison vide, désertée par ses habitants d’hier. Elle comprend bientôt qu’elle a voulu cette vie orpheline, que quelque chose en elle refuse ce que les autres appellent le bonheur – et finit par dire non à l’amour lorsqu’un jour il frappe à sa porte. Dans la lignée mélancolique de En lisant Tourgueniev, un grand Trevor.

Lucy

Nous sommes à Rathmoye, petite ville d'Irlande, dans les 
années 1950. Lors des obsèques de la vieille et riche Mrs 
Connulty, Ellie, seconde épouse du fermier Dillahan, aperçoit 
aux abords de l'église un drôle de personnage qui 
photographie l'événement. Les endeuillés, le cortège, le 
cimetière... Florian Kilderry attire les regards, suscite la 
curiosité des indiscrets, mais lui n'a d'yeux que pour Ellie. 
L'amour s'empare d'eux. Ellie croit qu'elle va rompre avec la 
monotonie de sa vie, avec la tendresse sans relief et pourtant 
sincère de son époux. Mais Florian, jeune homme depuis peu 
orphelin, ne songe qu'à quitter l'Irlande. Il n'est que de 
passage... Cet été-là est sans aucun doute l'un des plus beaux 
romans de William Trevor, avec En lisant Tourgueniev 
(Libretto, 2001). L'auteur nous livre une histoire inoubliable, 
une héroïne magnifique. En décrivant l'indicible, l'impalpable, 
il se fait l'égal d'un Tchekhov ou d'une Katherine Mansfield.

Cet été-là - Occasion

Lucy, 8 ans, s’éclipse un soir sur un rivage battu par les vents. Elle ne veut pas suivre sa famille, un couple de propriétaires terriens protestants, contraint en cette année 1921 de quitter l’Irlande sous la menace des paysans du cru. Lucy, viscéralement éprise du domaine et de ses falaises, se refuse à partir et fugue. Tout le monde la recherche mais finit par croire qu’elle est morte. Elle reviendra finalement dans sa maison vide, contrainte de mener une vie d’orpheline.

En lisant Tourgueniev - Occasion

Ma maison en Ombrie se risque à regarder du côté du bonheur: une romancière à succès retirée dans l'une des plus belles provinces de l'Italie, une existence paisible qui semble ne manquer de rien... A ceci près que, chez Trevor, le bonheur est aussi difficile à vivre que la déprime...

Ma maison en Ombrie

Lauréat du prix Whitbread du meilleur roman à sa parution, Coups du sort est l'un des meilleurs livres de William Trevor. Cet écrivain compte aujourd'hui parmi les grandes voix de la littérature irlandaise avec à son actif des œuvres telles que Les Splendeurs de l'Alexandria, En lisant Tourgueniev ou Le Voyage de Felicia. Après un O'Flaherty, avant Joseph O'Connor ou Roddy Doyle, Trevor est de ceux qui ont le mieux su rendre la violence, l'âpreté en même temps que la beauté de sa terre natale. Histoire d'amour et d'exil, Coups du sort, qui raconte comment l'acte gratuit de soldats aveuglés par la haine peut détruire sur trois générations l'harmonie d'une famille, fournit une éclatante illustration de ce talent majeur.

Coups du sort

The Children Of Dynmouth - a classic prize-winning novel by William Trevor Penguin Decades bring you the novels that helped shape modern Britain. 
 
The 1970s was a decade of anger and discontent. Britain endured power cuts and strikes. America pulled out of Vietnam and saw its President resign from office. Feminism and face lifts vied for women's hearts (and minds). And for many, prog rock, punk and disco weren't just music but ways of life.  
 
William Trevor's The Children of Dynmouth (Winner of the Whitbread Award and shortlisted for the Booker Prize) was first published in 1976 and is a classic account of evil lurking in the most unlikely places. In it we follow awkward, lonely, curious teenager Timothy Gedge as he wanders around the bland seaside town of Dynmouth. Timothy takes a prurient interest in the lives of the adults there, who only realise the sinister purpose to which he seeks to put his knowledge too late.
 
'A small masterpiece of understatement ... a work of rare compassion'  Joyce Carol Oates, New York Times If you enjoyed The Story of Lucy Gault and Love and Summer, you will love this book. It will also be adored by readers of Colm Toibin and William Boyd. 
 
William Trevor was born in Mitchelstown, County Cork. He has written eighteen novels and novellas, and hundreds of short stories, for which he has won a number of prizes including the Hawthornden Prize, the Yorkshire Post Book of the Year Award, the Whitbread Book of the Year Award and the David Cohen Literature Prize in recognition of a lifetime's literary achievement. In 2002 he was knighted for his services to literature. His books in Penguin are: After Rain; A Bit on the Side; Bodily Secrets; Cheating at Canasta; The Children of Dynmouth; The Collected Stories (Volumes One and Two); Death in Summer; Felicia's Journey; Fools of Fortune; The Hill Bachelors; Love and Summer; The Mark-2 Wife; Selected Stories; The Story of Lucy Gault and Two Lives.

The children of dynmouth

Un manoir perdu dans une petite île au large des côtes de l'Irlande, au début des années trente, où de braves gens comme vous et moi se contentent de mener leur vie...c'est-à-dire la ratent de belle façon. Ils sont protestants mais font bon ménage avec les catholiques du cru - ce qui n'empêche pas les préjugés et la solide bêtise d'être équitablement répartis entre les uns et les autres. Ce qui n'empêche pas non plus qu'on s'aime, qu'on souffre, qu'on regrette, qu'on espère... et que l'on s'assassine gentiment dans les coins. On marie une jeune fille qui n'est plus très jeune... On fornique en cachette en s'imaginant que l'honneur est sauf...On rêve à des amours impossibles...On fait des enfants...On meurt : tout cela dans le désordre, qui reste la grande loi de la vie. Chronique impitoyable - et tendre, pourtant - d'une grande famille sur le déclin, Le Silence du jardin n'est pas sans évoquer le climat des derniers films de James Ivory : dérision et compassion. L'Irlande en plus : ses rhododendrons sauvages ; ses bourgs fouettés par le vent, où l'on compte trente-sept pubs pour deux mille habitants ; sa religiosité manique ; sa bière brune qui laisse un goût amer dans la bouche ; sa folie furieuse ; sa poésie si douce... En prime, l'art diabolique de Trevor qui laisse filer son récit au gré des rencontres, apprivoise tous les points de vue, partage tous les délires sans les juger... et s'offre le luxe de nous mener par le bout du nez jusqu'à désavoué le regretté Alfred Hitchcock.

Lucy

Résumé

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