Nicht zu weit ist eine Erzählung von Johann Wolfgang von Goethe, die in Wilhelm Meisters Wanderjahre zuerst veröffentlicht wurde.

Nicht zu weit - Eine Erzählung

Werther / Goethe; [trad. d'Aubry]Date de l'edition originale: 1884Collection: Bibliotheque choisie des chefs-d'oeuvre francais et etrangers; 20Comprend: Hermann et DorotheeCe livre est la reproduction fidele d'une oeuvre publiee avant 1920 et fait partie d'une collection de livres reimprimes a la demande editee par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliotheque nationale de France, offrant l'opportunite d'acceder a des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.Les oeuvres faisant partie de cette collection ont ete numerisees par la BnF et sont presentes sur Gallica, sa bibliotheque numerique.En entreprenant de redonner vie a ces ouvrages au travers d'une collection de livres reimprimes a la demande, nous leur donnons la possibilite de rencontrer un public elargi et participons a la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.Nous avons cherche a concilier la reproduction fidele d'un livre ancien a partir de sa version numerisee avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous esperons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entiere satisfaction.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.frhttp: //gallica.bnf.fr/ark: /12148/bpt6k68402x

Werther

Johann Wolfgang von Goethes 'Götz von Berlichingen' ist ein Schauspiel in 5 Aufzügen, das 1774 uraufgeführt wurde. 

Vorbild für das Stück war der fränkische Reichsritter Gottfried "Götz" von Berlichingen zu Hornberg, "mit der eisernen Hand", der um 1480 in Jagsthausen geboren worden war und am 23. Juli 1562 auf Burg Hornberg in Neckarzimmern verstarb. Götz von Berlichingen wurde vor allem durch seine Rolle im schwäbischen Bauernkrieg bekannt.

Götz von Berlichingen mit der eisernen Hand - Band 97

The play was late in breaking up: old Barbara went more than once to the window, and listened for the sound of carriages. She was waiting for Mariana, her pretty mistress, who had that night, in the afterpiece, been acting the part of a young officer, to the no small delight of the public. Barbara's impatience was greater than it used to be, when she had nothing but a frugal supper to present: on this occasion Mariana was to be surprised with a packet, which Norberg, a young and wealthy merchant, had sent by the post, to show that in absence he still thought of his love.

As an old servant, as confidant, counsellor, manager, and housekeeper, Barbara assumed the privilege of opening seals; and this evening she had the less been able to restrain her curiosity, as the favor of the open-handed gallant was more a matter of anxiety with herself than with her mistress.

Wilhelm Meister's Apprenticeship

Goethe var overtydd om at alle fenomen i den levande naturen var knytte til kvarandre, og karakteristisk for denne romanen, som for fleire av verka til Goethe, er blandinga av litteratur med naturvitskaplege tema. Valskyldskapane skildrar ein kollisjon mellom moral- og naturlovene. Utgangspunktet for romanen var teorien til den svenske kjemikaren Torbern Olof Bergman, som skildrar korleis to og to kjemiske bindingar vert løyste opp og så smeltar saman på tvers av elementa. Goethe overfører dette fenomenet, som vart kalla «valskyldskap», til dei fire hovudfigurane i romanen, to kvinner og to menn. Dette grunnkonseptet er basert på at naturkreftene som også kan tolkast som kjensler og lengt, overstyrer fornufta, moralen og dei tronge, tradisjonelle rammene i samfunnet. Goethe såg sjølv på Valskyldskapane som eit av sine mest vellykka verk. Med romanen skreiv den elles så positivt innstilte bestseljarforfattaren sin einaste eigentlege tragedie. Han brukte element frå den greske tragedien, kombinert med element frå romantikken, som han sjølv var ein uttalt motstandar av, og enkelte har lese verket som ein parodi på romantikken. - Det er ikkje ei einaste linje i Valskyldskapane eg ikkje kunne ha opplevd sjølv, sa forfattaren nokre år før sin død, og overlét tolkinga av i kva grad det er Goethe sjølv vi møter i boka, til lesaren.

Les Affinités électives

Un couple d'aristocrates unis après un premier mariage, invitent un ami d'enfance d'Edouard nommé le Capitaine, puis, malgré le pressentiment funeste de Charlotte, Odile, la nièce de Charlotte, belle et orpheline, les rejoint. La description d'une expérience scientifique, celle des « Affinités électives », au chapitre quatre de la première partie, nous permet déjà de présager de la suite de la narration dans laquelle l'attachement de plus en plus exclusif d'Edouard pour Odile aura des suites funestes. Extrait : Ce fut ainsi que la société du Capitaine devint peu à peu agréable à Charlotte. En utilisant à sa manière ses vastes connaissances, elle acheva de se tranquilliser sur les suites de sa présence au château. Elle prit même insensiblement l'habitude de le consulter sur une foule de précautions hygiéniques, car elle aimait la vie. Plus d'une fois déjà le vernis de certaines poteries dans lequel il entre du plomb et le vert de gris qui s'attache aux vases de cuivre, lui avaient causé de l'inquiétude. Le Capitaine lui donna à ce sujet des éclaircissements qui les conduisirent à d'instructifs entretiens sur la physique et la chimie.

Les affinités électives

Les passions du jeune Werther

Die Leiden des jungen Werther ist ein von Johann Wolfgang von Goethe veröffentlichter Briefroman, in dem der junge Hauptdarsteller Werther über seine unglückliche und unerfüllte Liebe berichtet. Mit diesem Werk wurde der junge Goethe über Nacht berühmt.

Die Leiden des jungen Werther

C'est au coeur même de leur travail, chacun dans son rapport à l'oeuvre, que Goethe et Schiller correspondent pendant près de onze ans. Document très précieux, émouvant témoignage, cette Correspondance, que Goethe rend publique au soir de sa vie, est avant tout un poème en actes. Elle chante en un millier de lettres la véritable proximité, celle qui n'a nul besoin de devenir familière, l'amitié entre deux poètes, où chacun, conseillant l'autre, le confirme en fait dans son être, le confie au monde et l'établit plus solidement dans l'indéclinable et féconde solitude de l'oeuvre. En un vivant échange s'ouvrent et se croisent au fil des lettres, à une époque charnière de la culture allemande, les chemins de ce qu'on figera plus tard en courants de pensée : le classicisme, le premier romantisme et l'idéalisme. Lisons la Correspondance entre Goethe et Schiller avec l'«attitude productive» souhaitée par celui-là. Remontons jusqu'à sa source poétique d'où tout s'anime et prend sens, notamment les questions d'esthétique. Ces lettre peuvent nous apprendre, si nous savons entendre, qu'à notre époque, en plein règne de l'impoétique, il est possible de vivre un rapport poétique et amical au monde.
C.R.

Nicht zu weit - Eine Erzählung

Résumé

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