TEMPS DE L'AVENT ET DE NOËL.
Comment consoler Dieu.
Les larmes de Dieu et la promesse de la victoire.
Plongez dans l'amour de Dieu.

LE TEMPS DU CARÊME ET DE PÂQUES.
Carême.
"C'est ta mère !" sont des mots qui s'adressent aussi à nous.
Quand Dieu s'agenouille devant nous.
"Je suis ressuscité, et maintenant je suis toujours avec toi".

TEMPS ORDINAIRE.
"Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent." "Seuls ceux qui prouvent l'absurde sont capables conquérir l'impossible".
En route vers la terre du futur.
Jésus et la foi des petits.
Le miracle authentique est Dieu crucifié.
L'essentiel pour purifier l'air empoisonné de ce monde.
La Croix : amour qui se donne, don total aux autres.
Le beau et bon coeur de Marie.
Croyez-le ! Et vous verrez...
Toussaint : la fête qui chasse le désespoir.

Par amour

L'origine réelle et profonde de la mission de l'université " réside dans l'appétit de connaissance caractérisant l'homme, qui veut tout savoir de ce qui l'entoure, qui cherche la vérité en tout. 
Mais la vérité n'est pas seulement théorie. Elle est beaucoup plus que le savoir. La finalité de cette connaissance de la vérité est de connaître le bien.
Mais quel est ce bien qui nous rend vrais ? La vérité nous rend bons et la bonté est vraie. C'est cet optimisme qui vit dans la foi chrétienne car elle a reçu la vision du Logos, de la Raison créatrice qui, par l'Incarnation, s'est manifestée comme Bien et Bonté à la fois. 
Au-delà de son ministère de Pasteur de l'Église, et en vertu de la nature spécifique de ce ministère, la mission du Pape " est de maintenir haut le goût de la vérité, d'inviter la raison à se remettre à la recherche du vrai, du bien et de Dieu, d'encourager la raison à suivre les éclairages qui scandent l'histoire de la foi chrétienne. " (Benoît XVI)

La raison invitée à rechercher la vérité - Discours à l'université "Sapienza" - Rome

Marie est la fille de Sion, la femme et la mère vers laquelle tendent toutes les grandes figures féminines d'Israël. Eve, Sarah, Rachel, Anne, mais aussi Ruth, Noémie, Esther et Judith sont des femmes par lesquelles passent la grâce et la révélation de Dieu, avant d'aboutir à Marie. C'est pourquoi la Vierge peut entonner le Magnificat et affirmer, sans craindre d'être démentie, que " le Seigneur a fait pour moi des merveilles " et que " désormais, toutes les générations me diront bienheureuse ". Marie est aussi l'Eglise naissante, la mère de Jésus et la mère des croyants. Tout au long de sa vie, elle interprète au mieux les moments qui sont les temps forts de l'année liturgique et de la vie chrétienne. Elle attend la naissance de Jésus et elle attend la naissance de l'Eglise, elle est au coeur de l'Incarnation comme elle est proche de la Croix. Enfin, par son Assomption, elle devance les fidèles en prenant part aux événements ultimes que sont la mort et la résurrection. La dévotion envers Marie est au coeur de la vie chrétienne : c'est une voie directe qui vient de Dieu, par laquelle il révèle sa grâce et la splendeur de son visage.

Pèlerinage marial - Benoît XVI dans les sanctuaires consacrés à Marie

Le 4 juin 2006, pour la Pentecôte, le pape Benoît XVI a accueilli à Rome les nouveaux mouvements ecclésiaux ainsi que des milliers de jeunes du monde entier venus célébrer la nouvelle " irruption de l'Esprit ". À cette occasion, le Vatican a publié deux textes importants du cardinal Ratzinger sur ce sujet. À travers ces mouvements et communautés, l'Esprit invite toute l'Église à retrouver sa conscience missionnaire. Dans les deux dernières décennies, les communautés nouvelles ont contribué à la construction du visage de l'Église. Comme les mouvements monastique et franciscain en leur temps, ils aident à répandre l'Évangile et à vivre ensemble la vie chrétienne. Ils transmettent aux diocèses et aux paroisses l'enthousiasme de leur jeunesse. " Si l'évêque doit accepter ces impulsions, qui sont des dons pour l'Église et qui lui apportent une nouvelle vitalité. II doit aussi, comme responsable de l'unité pacifique à l'intérieur de l'Église, aider ces mouvements à trouver la voie juste. "

L'irruption de l'Esprit

Le thème de l'écologie et du développement durable n'a cessé de gagner en importance depuis son apparition dans le débat public, au début des années 1980. Dans ce domaine comme dans beaucoup d'autres, l'Eglise a frit bien plus qu'accompagner le mouvement : elle l'a souvent précédé. Au lien établi entre l'environnement, le social, l'économie et la politique par les écologistes, elle y ajoute l'éthique, à travers laquelle elle perçoit un moyen de changer la réalité. Il ne suffit pas de reconnaître ces liens : il faut aussi les analyser et les justifier. Ce sera la mission de Benoît XVI, surnommé le "pape vert". "C'est l'homme qui est premier, il est bon de le rappeler. L'homme, à qui Dieu a confié la bonne gestion de la nature, ne peut pas être dominé par la technique et devenir son sujet. Une telle prise de conscience doit amener les Etats à réfléchir ensemble sur l'avenir à court terme de la planète, face à leurs responsabilités à l'égard de notre vie et des technologies. L'écologie humaine est une nécessité impérative. Adopter en tout une manière de vivre respectueuse de l'environnement et soutenir la recherche et l'exploitation d'énergies propres qui sauvegardent le patrimoine de la création et sont sans danger pour l'homme, doivent être des priorités politiques et économiques. Dans ce sens, il s'avère nécessaire de revoir totalement notre approche de la nature. Elle n'est pas uniquement un espace exploitable ou ludique. Elle est le lieu natif de l'homme, sa "maison" en quelque sorte." Benoît XVI.

Pour une écologie de l'homme - Anthologie de textes

" dieu est amour: celui qui demeure dans l'amour demeure en dieu, et dieu en lui " (1 jn 4, 16).
 Ces paroles de la première lettre de saint jean expriment avec une particulière clarté ce qui fait le centre de la foi chrétienne : l'image chrétienne de dieu, ainsi que l'image de l'homme et de son chemin, qui en découle. de plus, dans ce même verset, jean nous offre pour ainsi dire une formule synthétique de l'existence chrétienne : " nous avons reconnu et nous avons cru que l'amour de dieu est parmi nous.
 " " nous avons cru à l'amour de dieu : c'est ainsi que le chrétien peut exprimer le choix fondamental de sa vie. " benoît xvi

Dieu est amour

"Le Rosaire est une prière merveilleuse. Merveilleuse de simplicité et de profondeur. Réciter le Rosaire n'est rien d'autre que contempler avec Marie le Visage du Christ. Il est urgent que nos communautés chrétiennes deviennent "d'authentiques écoles de prières". A ce titre, le Rosaire est une voie vers la contemplation. Cheminer avec Marie à travers les scènes du Rosaire, c'est comme se mettre à "l'école" de Marie pour lire le Christ, pour en pénétrer les secrets, pour en comprendre le message. "Plus une âme sera consacrée à Marie, plus elle sera à Jésus Christ" (Traité de la Vraie dévotion de Saint Louis Marie Grignion de Monfort). Le Rosaire, "résumé de l'Evangile", reste par Marie une louange incessante du Christ". Jean-Paul II.

Le Rosaire - Les 20 mystères

Ce livre est la publication de plusieurs textes inédits en français du cardinal Ratzinger. Ces quatre textes ont en commun de s'appuyer largement sur les Pères de l'Eglise et notamment sur saint Augustin, dont la figure constitue en quelque sorte le trait d'union de ce recueil.

- Le Dieu de la foi et le Dieu des philosophes.
- Le chemin de la connaissance religieuse chez saint Augustin.
- L'Eglise dans la piété de saint Augustin.
- Observations sur le concept d'Eglise de Tyconius dans le „Liber regularum«.

" La connaissance que Dieu est un Dieu qui se lie à l'homme et au monde, qui oeuvre au sein de l'histoire, ou sur un plan plus profond, la connaissance que Dieu est une personne, un Je qui sors à la rencontre du Tu, cette connaissance exige sans doute un nouvel examen approfondi des déclarations philosophiques et une réélaboration telle qu'elle n'a pas encore été suffisamment entreprise. Dans cette tâche d'une nouvelle et plus grande appropriation du concept de Dieu, la théologie catholique et la théologie protestante, venant de versants différents, pourraient prochainement se rencontrer. En tous les cas, travailler à une telle tâche signifierait théo-logie en un sens éminent et serait aussi une extension de ce que Richard de Saint-Victor, suivant Augustin et les Psaumes, reconnaissait comme la mission propre de la théologie, le « quaerite faciem eius semper » - « cherchez toujours sa face » « jusqu'à ce qu'Il vienne » et qu'il soit Lui-même la réponse à toute question "

Le Dieu de la foi et le dieu des philosophes

" Mon voyage a été comme un diptyque. Le premier volet a été Paris. J'y ai rencontré un peuple vivant de fidèles, fiers et forts de leur foi, que je suis venu encourager. J'ai voulu affermir [les prêtres] dans leur vocation au service de Dieu et du prochain. J'ai passé aussi un moment, trop bref mais combien intense, avec les jeunes sur le parvis de Notre-Dame. Leur enthousiasme et leur affection me réconfortent. Comment ne pas rappeler aussi la prestigieuse rencontre avec le monde de la culture à l'Institut de France et aux Bernardins ? Comme vous le savez, je considère que la culture et ses interprètes sont des vecteurs privilégiés du dialogue entre la foi et la raison, entre Dieu et l'homme. Le second volet de mon voyage a été Lourdes. Marie y a ouvert une porte vers un au-delà qui nous interroge et nous séduit. Je me suis mis à son école durant ces trois jours. Devant la grotte de Massabielle, j'ai prié pour l'Eglise. J'ai prié pour la France et pour le monde. J'ai aussi prié avec et pour les malades. Lourdes est encore le lieu où se rencontrent régulièrement les évêques de France. J'ai voulu partager avec eux ma conviction que les temps sont propices à un retour à Dieu. "

Par amour

Résumé

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