Les corbeaux

Ida Brandt est de ces jeunes filles que l'on met facilement de côté. De celles, dociles, qui savent se faire oublier. Elle possède pourtant l'élégance de sa classe et la générosité de coeur des honnêtes gens. Enfant, déjà, sa gentillesse intriguait, mais devenue adulte, son dévouement paraît quasi suspect. Trop altruiste pour être acceptée par la bourgeoisie danoise à laquelle elle appartient, trop riche pour ses collègues infirmières, Ida Brandt peine à trouver sa place dans la société. Jusqu'à l'amour fou, celui qui dépasse les préjugés, qui laisse la beauté parler. mais n'est-il pas seulement le fruit de sa naïveté ?

Ida Brandt

Dans le Paris de la fin du XIXe siècle, Le peintre Claude Zoret s'entretient avec son protégé, le jeune Tchèque Mikaël. Installés dans une vie de célébrité et de luxe, ils sont tout à la fois père et fils adoptif, maître et élève, peintre et modèle, et, sans que ce ne soit jamais dit, amants.
Lors d'un dîner dans la demeure du maître, celui-ci apprend à ses invités qu'il peindra bientôt le portrait d'une célèbre princesse russe, Lucia Zamikov. Malheureusement, il ne parvient pas à restituer fidèlement le regard de l'aristocrate et sollicite l'aide de son élève. Mikaël tombe alors éperdument amoureux de la princesse. Peu à peu, il s'éloigne de Zoret et ira même jusqu'à le trahir.

Mikaël

Les Quatre Diables sont quatre acrobates, deux garçons et deux filles, profondément unis par un amour aussi évident que le souffle qu'ils partagent quand leurs mains se rejoignent à trente mètres du sol.
Deux couples, vulnérables et fascinants de beauté. Achetés enfants par le propriétaire du cirque, ils entrent sur la piste comme des êtres venus d'un autre monde, inaccessibles. Jusqu'à ce que la passion vécue par l'un d'entre eux vienne fragiliser l'équilibre vital. Comment trouver la main tendue lorsqu'elle se dérobe ?

Les quatre diables

Franz Pander

French translation of a Danish novel first published in 1904.

"Haabløse Slægter" (1880) er den 23-årige Herman Bangs debutroman. Romanen er en delvis selvbiografi. Alle de kendte begivenheder i Herman Bangs liv er centrale i romanen: moderens tidlige død, faderens kollaps, kostskolen, teaterdrømmens forlis, flanørlivet. Han gør rede for sit følelsesliv, koste hvad det vil.

Romanen vakte skandale med sin skildring af en moden kvinde, der forfører den unge hovedperson. Den blev beslaglagt af politiet og af Højesteret stemplet som utilstedelig. Bang vendte 1884 og 1905 tilbage til sin roman og foretog ændringer med udeladelse af de forbudte passager. Den her foreliggende tekst er den oprindelige fra 1880.

Håbløse Slægter

Ex medico di corte, il vegliardo Ole Hvide, per tutti Sua Eccellenza, si è ora ritirato nella sua casa padronale, vicino al palazzo reale di Copenaghen, mausoleo di un mondo nobil-borghese destinato a tramontare insieme al XIX secolo. Come a esorcizzare la disfatta, negli ampi salotti dai blasoni ingialliti si succedono i pranzi e i ricevimenti e i fiumi di chiacchiere frivole, dai viaggi in Europa della Marescialla alla spilla di brillanti dello zar Nicola I che sfoggia Sua Grazia, la moglie di Ole, bellissima in gioventù e ora spettrale e malinconica matrona persa tra i rimpianti di vecchi amori alla corte di Weimar. Unica voce fuori dal coro, dall'alto del disincanto maturato nella sua lunga vita, Ole Hvide si erge a coscienza lucida e amara della fine. Mentre lotta con la sua vista indebolita per scrivere poesie che nessuno più pubblica, i pazienti smettono di chiamarlo e perfino i parenti gli nascondono la malattia dell'adorata nipotina Emmely finché la giovane non si trova sul letto di morte. All'ombra delle continue spese, il suo patrimonio si va sgretolando insieme a un intero ordine sociale di cui è emblema il Commendator Glud, avido affarista e usuraio divorato dalla deformità che lo paralizza. Ma lo spettacolo deve continuare, e in questa tragicommedia della decadenza in cui Herman Bang traspone la propria storia famigliare, per salvare almeno la dignità, a Sua Eccellenza non resta che l'ironia salace del più cinico Oscar Wilde, verso se stesso, la propria epoca, e ogni umana illusione, perché tutto è vano, "la terra un giorno si raffredderà, anche l'uomo".

Les corbeaux

Plus de livres de Herman Bang

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques