Cette théorie s'est développée à la suite des travaux de Markowitz et Sharpe, elle repose sur l'analyse du compromis optimal rentabilité-risque. Elle inspire aujourd'hui les méthodes de gestion quantitative des portefeuilles. Les auteurs présentent l'ensemble des concepts, modèles et outils utilisés en évaluation et gestion d'actifs financiers.

La théorie moderne du portefeuille

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Les taux d'intérêt

La théorie moderne du portefeuille

Nationales,  chômages massifs, arrivée au pouvoir de régimes dictatoriaux  et même, la guerre. Il parait donc logique qu'à la suite des  crises qui s 'enchaînent depuis 2007, les événements des  années trente soient régulièrement évoqués. 
Tirer des leçons  des erreurs passées permet de mieux gérer le présent. En  revanche, une mauvaise interprétation conduit à les reproduire. 
Or; les interprétations de la Grande Dépression reposent  souvent sur des idées fausses. Dont il n 'est possible d'inférer  que de mauvaises décisions. Que la crise ait été déclenchée par  la spéculation de Wall Street, que l'inaction du président  Hoover soit responsable de son amplification, que la politique  keynésienne dur président Roosevelt ait sorti l'Amérique de la  dépression sont quelques-unes de ces idées fausses. 
A la  lumière de recherches parfois très récentes, le présent ouvrage  rétablit le véritable enchaînement des causes et des effèts qui  ont conduit à la Grande Dépression. Il montre, en particulier; 
Que la restauration d'un système d'étalon-or dans des  conditions qui n'étaient plus celles d'avant 1914 est à 1 'origine  d 'une crise que les politiques des Banques centrales ont  aggravée par la suite.

Crise, dépression, new deal, guerre

L'histoire que raconte ce livre est celle de la marche vers la modernité des Juifs qui, il y a deux siècles, habitaient l'Est de l'Europe. Enfermés dans des communautés par leurs propres lois autant que par celles imposées par les pouvoirs des rois et des princes. Les premières, dictées par la religion, concernaient la langue, les vêtements, l'alimentation et toute une série d'obligations sociales. Les secondes, leurs lieux de résidence, les impôts qu'ils devaient payer et les métiers qu'ils étaient autorisés à pratiquer. Attirés par les grandes villes de l'Empire ils en furent chassés rudement. La vague de pogroms qui suivit l'assassinat du tsar Alexandre II (1881) déclencha leur fuite. Deux millions d'entre eux immigrèrent aux Etats-Unis. Là leur sort changea du tout au tout. Dans une société en développement économique rapide où ils jouissaient des droits civiques et n'étaient victimes que de relativement peu de discriminations, ils libéralisèrent leur religion et firent tomber leurs propres préventions et interdits. Ils s'intégrèrent avec enthousiasme à la civilisation de ce pays, véritable Eldorado plus que nouvelle Jérusalem. Leur ascension sociale et intellectuelle fut fulgurante. Les descendants de misérables immigrés obtinrent des dizaines de prix Nobel et formèrent le groupe ethnique le plus prospère des Etats-Unis.

L'autre Jérusalem

Peter Sutherland a reçu, en 1987, le Prix du droit européen décerné chaque année par la Fondation de la Liberté. Le texte de ce livre se veut avant tout une réflexion sur les implications du grand marché unique pour l'économie européenne, vues par le commissaire européen à la concurrence. Le droit européen est un droit vivant, en construction permanente. A l'origine de ce texte, on trouve les différents discours et interventions de Peter Sutherland depuis sa nomination à la Commission, en 1985.

1er janvier 1993 - Ce qui va changer en Europe

"Le salaire minimum est un outil majeur de politique économique. Les conséquences de son application sont pourtant vivement controversées. Est-il un outil efficace dans la lutte contre la pauvreté ? Ou, au contraire, provoque-t-il du chômage chez les jeunes sans formation ? La plupart des responsables politiques répondent favorablement aux demandes en sa faveur venant du monde du travail et des syndicats. D'où, en France un SMIC élevé aux nombreux bénéficiaires. Aux Etats-Unis certains Etats fédérés et des municipalités imposent des salaires minimum locaux supérieurs au salaire minimum fédéral. De son côté, l'Allemagne qui en était dépourvue, s'est dotée d'un salaire minimum national.A terme, quelles seront les conséquences de mesures prises, il est vrai, dans des zones et à des époques de faible chômage ? Là où il est estimé trop élevé comment pourrait-on le réduire ? Les économistes cherchent à comprendre les effets du salaire minimum par la théorie aussi bien que par l'observation des faits. Mais leurs conclusions divergent souvent. Lequel de ces deux camps est dans le vrai ?

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Résumé

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