Reflets et regards

Une vision globale de l'époque, embrassant les conditions économico-sociales, politiques et intellectuelles et une analyse des créations artistiques françaises.

L'art français ; pré-moyen âge, moyen âge

Sous le titre de «Fables, Formes, Figures» ont été recueillies en deux volumes soixante-quatre études publiées de 1936 à 1977 dans des recueils d'audience restreinte. Tous ces écrits participent à une interrogation continue sur les modalités de l'imaginaire dans les sociétés humaines, y compris et surtout les nôtres, sur son emprise sur les individus particulièrement réceptifs que sont les artistes et sur les ressources et les points d'application de l'art, son véhicule privilégié.
Volume II :
. Formes savantes.
. Le vrai et le faux.
. Motifs.
. Figures glorifiées.
. Léonard : la fable et la forme.
. Figure de Titien.
. Exaltation de la peinture (Delacroix ; Seurat ; Vuillard ; Braque-Picasso ; Kandinsky ; Nicolas de Staël).
. Fables et formes de ce temps.

Fables, formes, figures - vol02 - tome 2

"L'irresistibile evoluzione della fama della Gioconda illumina in profondità le esigenze e la povertà della cultura di massa. La notorietà dubbia, popolare, esposta al riso e alle lacrime facili, concerne un oggetto che non ha più nulla a che vedere con l'opera di un certo Leonardo da Vinci, pittore in una certa epoca del Rinascimento. Nella fabbrica insaziabile dei media, essa appartiene a un altro regno, quello delle finzioni in agguato dei divi, i personaggi destinati a un largo consumo. E distaccata da ogni realtà storica e umana. Lo scarto dalle conoscenze storiche e critiche è diventato incommensurabile "

L'illustre Incomprise

L'art Italien

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Les dessins de Sandro Botticelli pour la "Divine comédie"

Le sac de Rome, 1527. Du premier maniérisme à la Contre-Réforme

Renaissance méridionale et Le Grand Atelier d'Italie, publiés pour la première fois en 1965, dans la prestigieuse collection «L'Univers des Formes». Couvrant la même période, la fin du Quattrocento (XV? siècle), période d'élection d'André Chastel, ils ont été conçus par lui comme un tout dont la publication a marqué une révolution dans la connaissance que l'on avait jusque-là en France de la Renaissance italienne et continuent aujourd'hui à jouer leur rôle d'ouvrages de référence. André Chastel y fait découvrir une Italie qui s'impose à toute l'Europe comme le lieu où l'exigence artistique, poussée à son sommet, apparaît comme une authentique volonté de culture. En effet, l'Italie de la fin du Quattrocento est le grand atelier de l'Occident - ou plutôt une multitude d'ateliers (les botteghe), dispersés dans les grands foyers artistiques que sont alors Urbino, Florence, Rome... dominés par des personnalités aussi exceptionnelles que Laurent le Magnifique, Federico da Montefeltro, Ludovic le More ou le pape Sixte IV. De ces ateliers naissent, le plus souvent pour exécuter la commande du mécène, les chefs-d'oeuvre de Piero della Francesca, Botticelli, Bellini, Ghirlandaio, Verrocchio, Léonard de Vinci, le Pérugin... Tableau, fresque, palais, église, sculpture, marqueterie, éléments décoratifs : les plus grands talents mis en compétition ne délaissent aucun genre. André Chastel donne un panorama érudit et passionnant de ce foisonnement. Il y applique avec rigueur ses méthodes d'analyse qui devaient profondément marquer l'histoire de l'art : approche du détail, circonstances de la commande, textes qui ont nourri l'inspiration de l'artiste - les oeuvres les plus énigmatiques dévoilent leur sens dans leur extrême complexité. Les quelque 300 documents iconographiques de l'édition originale qui ont été retenus font ici l'objet, pour la publication en «Quarto», d'un commentaire inédit par une équipe d'historiens de l'art.

Reflets et regards

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