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Vingt-deuxièmes assises de la traduction littéraire (Arles 2005) - Traduire la violence
Publié par Gallimard, le 02 septembre 2010
127 pages
Léon Tolstoï, jeune gentilhomme fortuné et esprit indépendant, trouve dans l'écriture autobiographique une issue au travail de connaissance et de perfectionnement de soi entrepris dans son journal intime. Propulsé sur le devant de la scène littéraire avec Enfance (1852) et les Récits de guerre (1856) inspirés de son expérience militaire au Caucase et en Crimée, il fuit bientôt les cercles littéraires de Saint-Pétersbourg pour s'installer au milieu des paysans dans son domaine héréditaire de Iasnaïa Poliana et y fonder une famille. Son génie s'épanouit dans ces deux chefs-d'oeuvre du roman européen que sont Guerre et Paix et Anna Karénine. À cinquante ans, au terme d'une profonde crise spirituelle, il se fait apôtre d'un christianisme épuré qui débouche sur une critique radicale de la civilisation contemporaine. Michel Aucouturier suit le cheminement tourmenté de cette « grande âme de la Russie » (Romain Rolland) dont la mort en 1910 a été pleurée dans le monde entier comme celle du plus grand écrivain et de la plus haute autorité morale de son temps.
Vingt-deuxièmes assises de la traduction littéraire (Arles 2005) - Traduire la violence
Léon Tolstoï, « la grande âme de la Russie »
Les Récits de conversion: La Mort d'Ivan Ilitch, La Sonate à Kreutzer, Le Père Serge
Le réalisme socialiste
L'universalité de Pouchkine
Tolstoï
Un poète dans son temps : Boris Pasternak
L'affaire Soljenitsyne
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