La Bourse et la vie - Economie et religion au Moyen Age

Raconter de manière vivante l'histoire du droit du travail. Montrer comment la société française s'est dite dans son idiome juridique sur fond de compromis précaires et évolutifs entre l'économique et le social. Décrire l'émergence et les mutations de la citoyenneté dans l'espace d'entreprise. En comprendre l'allure aujourd'hui plus incertaine à l'heure du numérique et de la mondialisation, après l'apogée des années 1980. Bref, mettre une nouvelle fois l'histoire au service du présent.

C'est le pari de ce livre conçu par son auteur, juriste, politiste, historien, et ancien inspecteur du travail, comme le récit passionné et passionnant de l'émancipation du monde du travail symbolisée par l'accès à une parole d'abord collective puis individuelle, puissante mais vulnérable.

D'où le titre de ce qui fut la première histoire du droit du travail dans laquelle certains ont vu le "roman du droit du travail" (journal Marianne, Le Monde initiatives). L'écho enthousiaste qu'elle a rencontré au point d'en faire rapidement un "classique" (Laurent Berger), explique les trois rééditions et les réimpressions successives intégrant, au fil du temps, les évolutions les plus actuelles.

Cette 4e édition comportant trois nouveaux chapitres pour la période du début des années 2000 à nos jours n'élude pas la question de la place et du sens du travail dont dépend la configuration présente et future d'un droit du travail en proie à une évidente incertitude statutaire.

Préface de Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT ; postface de Philippe Waquet, doyen honoraire de la Chambre sociale de la Cour de cassation.

Du silence à la parole ; une histoire du droit du travail des années 1830 à nos jours (4e édition)

La civilisation de l'Occident médiéval

Entre les XIIe et XVe siècles, une extraordinaire effervescence créatrice donne corps à un nombre incalculable de mythes, de personnages, d'utopies à la vie très longue : Arthur, Mélusine, Renart, Tristan et Iseut, la licorne, le Graal, la Fontaine de Jouvence, la Table ronde, les fées, les elfes et tant d'autres... Ces figures ont bercé notre enfance et nourrissent encore la culture de masse à travers le cinéma et la bande dessinée. Elles ont une histoire que l'on redécouvre ici. Plongée au coeur d'un Moyen Age à la fois familier et dépaysant.

Héros et merveilles du Moyen Age - Athur, Renart, la licorne et les fées

Il denaro nel senso in cui lo intendiamo oggi è un prodotto della modernità. Non è un protagonista di primo piano del Medioevo, né dal punto di vista economico e politico né da quello psicologico ed etico; è meno importante e meno presente di quanto non lo fosse nell'Impero romano, e soprattutto assai meno centrale di quanto non diventerà nei secoli successivi. Dai pulpiti medievali risuona la condanna dell'avarizia come peccato capitale e le parole dei monaci e dei frati elogiano la carità ed esaltano la povertà come ideale incarnato da Cristo. Non l'accumulo, non la ricchezza garantiscono il buon vivere. La salvezza è nel dono e nel sostegno ai deboli. La pecunia è maledetta e sospetta, perché né denaro né il potere economico sono arrivati a emanciparsi dal sistema globale di valori proprio della religione e della società cristiana. La moneta sonante tornerà a girare con i rifornimenti di metallo prezioso, con lo sviluppo dell'economia cittadina, con la fondazione alla fine del XV secolo di istituti di credito per la sussistenza di molti poveri e con la nascita di una sorta di mercato unico. Sarà una rivoluzione lenta e silenziosa a modificare i pensieri delle donne e degli uomini del Medioevo e della stessa Chiesa, una rivoluzione che ha nome "capitalismo".

Le Moyen Age et l'argent: essai d'anthropologie historique

Jeune lecteur de Walter Scott, Jacques Le Goff est parti très tôt à la recherche du Moyen Age, un monde à la fois proche et lointain. Refusant la légende "noire" du Moyen Age comme les rêveries idéalisées, il fait revivre ici l'intense richesse d'une civilisation, marquée par l'Eglise chrétienne. Insistant sur la capacité d'innovation d'une culture qui se disait hostile à toute nouveauté, il n'hésite pas à évoquer de multiples "renaissances". Dans cette synthèse originale et passionnée, il montre que l'humanisme n'a pas attendu la Renaissance pour apparaître. Et que l'Europe à venir ne s'aurait s'inventer en oubliant son passé.

La Bourse et la vie - Economie et religion au Moyen Age

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