Roger et Guy Lapébie ; la véritable histoire

Rik Van Steenbergen a pris rang parmi les plus beaux champions du siècle et parmi les plus éclectiques. Ce Belge, né à la frontière hollandaise, fut aussi brillant sur piste que sur route. Durant plus de vingt ans, il s'affirma comme l'authentique "superman" du vélo, enchaînant sans le moindre répit les saisons d'été et d'hiver. Etonnant sprinter, tacticien hors pair, une classe qui en imposait à tous ses adversaires et une force de lutteur de foire, il aurait pu mieux réussir sur la route s'il avait consenti à un peu plus de modération dans ses programmes. On en tient pour seule preuve ce Tour d'Italie 1951 qu'il termina à la deuxième place, unique rescapé de la formation Girardengo. Néanmoins, ce qu'il est parvenu à réaliser reste éblouissant. Champion national des professionnels à 18 ans, il remporta sa première classique, le Tour des Flandres, à 20 ans et sa dernière, la Flèche Wallonne, à 34 ans. Avec trois titres de champion du monde et une quarantaine de victoires aux Six Jours, l'histoire du grand Rik ressemble tout simplement à un conte de fées.

Veridique histoire de rick van steenbergen

Le Tour de France est une histoire d'hommes et de femmes exceptionnels dans un cadre exceptionnel.
Le commentateur cycliste Jean-Paul Ollivier nous relate de façon saisissante les 110 éditions de l'épreuve depuis 1903 à travers 110 histoires, petites et grandes, tragiques ou magnifiques.
Il nous invite à revisiter ce théâtre des hommes où se mêlent légendes, drames et exploits, éclairant ainsi l'engouement et la fascination que le Tour exerce sans faillir à travers le temps...

Né à Concarneau (Finistère), Jean-Paul Ollivier a commencé sa carrière de reporter à l'ORTF en 1964. En 1975, il rejoint le service des sports d'Antenne 2, puis France 2 jusqu'en 2017. L'histoire du cyclisme est sa passion et il en est toujours le spécialiste incontournable.

Tour de France, théâtre des hommes - Exploits, drames & légendes

Tragedie Du Parjure. La Veridique Histoire De Roger Riviere

1958. La France vit en plein cauchemar. La IVe République se décompose, minée par des querelles politiciennes sur fond d'affaire algérienne. Le président de la République, René Coty, est obsédé par la réforme de l'Etat qui lui apporterait des pouvoirs équilibrés. Dans sa pensée profonde, le recours au général de Gaulle est la seule issue à la crise. Mais la majorité des parlementaires n'écoute pas le Président. Après des semaines passées dans un climat de guerre civile, De Gaulle accepte de former le gouvernement. Pour lui, le but est de bâtir une république nouvelle avec un Etat et un peuple souverains. Bientôt cette Ve République fêtera ses cinquante ans et Jean-Paul Ollivier de remettre la lumière sur cette période trouble de l'histoire de notre pays. Quel prix a le changement ? Par quels sacrifices est née la république dans laquelle chacun de nous se réalise en tant que citoyen ? Quelles manoeuvres politiciennes ont permis la réforme ? Ce sont les questions auxquelles cet ouvrage souhaite répondre.

De René Coty à Charles de Gaulle : naissance d'une République

Charles de Gaulle, un destin pour la France

Les "montagnes intérieures" et les cours d'eau ont fait de la Bretagne le Domaine des ponts : des ponts de toutes tailles, de tous âges qui sont venus marquer les paysages, permettant aux hommes de franchir les rivières pour passer d'un pays à l'autre. Pont-Aven, Pont-Croix, Pontivy, Pont-Réan, Pont-Scorff.. les toponymes illustrent le rôle joué par ces ponts dans les installations humaines. Et le tracé des routes gallo-romaines confirme cette implantation des cités aux points de passage des rivières, dans les fonds d'estuaires, aux gués, là où pouvaient s'édifier les ponts. Toute la géographie humaine ancienne de la Bretagne et son histoire en ont été marqués. Seules Brest, Lorient, des créations royales récentes, et Saint-Malo échapperont à cette loi d'installation des villes sur les rivières intérieures, loin de la bordure maritime. Il faudra attendre les évolutions techniques de l'histoire récente pour voir de nouvelles générations de ponts s'ériger en Bretagne. Ces ponts, liés à la construction des chemins de fer et puis, plus tard, à l'automobile, vont permettre le développement de la zone côtière. Fer et béton vont alors se conjuguer dans des ouvrages d'art qui donneront à la Bretagne la physionomie que nous lui connaissons aujourd'hui. Le Tour de France a conduit l'auteur, Jean-Paul Ollivier, sur toutes les routes de France où il a emprunté et pu observer une multitude de ponts. Sa passion pour l'Histoire a fait le reste. Aussi nous convie-t-il à la découverte des Ponts de Sa Bretagne, dans un ouvrage très illustré, documenté, fourmillant d'anecdotes sur ce domaine très peu connu de l'Histoire.

La Bretagne vue du Pont

Situé à proximité immédiate de la nef de la cathédrale de Bayeux, le "modeste" bâtiment construit en 1429 pour abriter les ouvrages nécessaires à l'exercice des fonctions des chanoines auprès de l'évêque avait perdu de son attrait dès la première partie du XXe siècle. Au terme de plusieurs campagnes de restauration entreprises à partir de 1996, interventions qui ont porté autant sur le bâtiment que sur les remarquables collections d'ouvrages toujours conservées dans l'édifice, la bibliothèque a aujourd'hui retrouvé tout son éclat. Elle est désormais accessible au grand public, mais en nombre limité, dans le cadre des visites guidées de la cathédrale. Pour saluer la renaissance de ce trésor architectural et littéraire, la direction régionale des affaires culturelles de Basse-Normandie a organisé les 7 et 8 novembre 2013, avec le soutien de la Ville de Bayeux, du Conseil général du Calvados, des Archives départementales et de l'association des Amis de la cathédrale, un colloque sur la bibliothèque de la cathédrale de Bayeux. Pendant deux jours, d'éminents spécialistes venus de toute la France et d'outre Manche ont ainsi dressé un état des lieux des connaissances sur le cadre historique et architectural de la bibliothèque, les collections qu'elle recelait et les usages que pouvaient en faire évêques et chanoines. Grâce aux contributions rassemblées dans ces actes, vous plongerez au coeur de la culture religieuse séculière du Moyen Age et de l'époque moderne, et envisagerez les prolongements contemporains offerts aux chercheurs et curieux.

Des chanoines et des livres - Actes du colloque sur la bibliothèque du chapitre de la cathédrale de Bayeux, les 7 et 8 novembre 2013 à Bayeux

Champion du monde sur route en 1965, vainqueur de Paris - Nice (1966), du tour de Lombardie (1965), de Milan - San Remo (1964), de Bordeaux - Paris (1963), premier Britannique à porter le maillot jaune du Tour de France, Tom Simpson reste malheureusement présent dans l'esprit du grand public moins pour son palmarès sportif qu'en raison de sa mort dramatique au mont Ventoux le 13 juillet 1967. Qui ne se souvient des derniers mètres parcourus par le coureur ? Simpson, qui n'est plus lucide, tangue d'un bord à l'autre de la route ; il s'écroule sur le bas-côté, les spectateurs le remettent en selle, mais il finit par s'effondrer, sans connaissance. On découvre dans les poches du champion des tubes pharmaceutiques... Des produits stimulants. L'accident tragique de Tom Simpson prend dès lors un parfum de scandale. L'autopsie se prononce pour un décès par collapsus cardiaque dû à une déshydratation excessive, plutôt que par overdose ; pourtant le mal est fait. Et à la fin des années 90, lorsque les affaires de dopage accapareront l'actualité cycliste, c'est bien au cas Simpson qu'il sera immédiatement et systématiquement fait référence, comme exemple précurseur de dopage. Tom Simpson, héros déchu de l'histoire du cyclisme, n'en fut pas moins un champion d'exception, élégant, résistant, un rien désinvolte, et plein de charme.

Roger et Guy Lapébie ; la véritable histoire

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