Dixième poésie verticale
Quatorzième poésie verticale
Publié par Corti (Editions José), le 01 janvier 1997
285 pages
Résumé
Les poèmes qui composent la Quatorzième poésie verticale accompagnèrent les trois ou quatre dernières années de la vie de Roberto Juarroz. Le ton de l'ensemble est légèrement différent, car certains des poèmes ultimes reflètent une approche majeure de l'élément humain de la souffrance. Ces poèmes furent ceux qui exigèrent de lui l'effort le plus grand pour atteindre l'équilibre nécessaire entre la parole personnelle et la construction esthétique, entre l'intuition de monter et l'intuition de retirer : L'abîme n'admet pas l'ordre, Le désordre non plus. Et nous savons que tout est un abîme. Pourtant, Le jeu de la feuille et du vent S'achève toujours à l'endroit le plus exact. Et aucune feuille ne souille Le lieu où elle tombe. Il se peut qu'une feuille ordonne Ou peut-être désordonne Une autre face de l'univers.
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