Histoire Philosophie Textes. Tome 2

Panorama des sciences humaines

Pourquoi les mots « structures » et « structuralisme », qui sont vieux comme le monde, ont-ils soudain paru surgir du néant ? Expliquer une mode, ce n'est pas rejeter ce phénomène dans les marais d'un devenir informe et inepte, c'est d'abord mettre en lumière l'aspect nouveau, insolite pour le profane, d'une manière de voir ; puis c'est chercher pourquoi cet insolite-là a plu de préférence à d'autres ; c'est enfin présenter, en une fresque qui en dessine les grandes lignes, la pensée des auteurs que l'on appelle structuralistes. Le « structuralisme » est-il une nouvelle vision de l'homme et du monde ? Permet-il encore de parler de « l'homme », ou bien le remplace-t-il par autre chose, par des « structures inhumaines » ? Les auteurs ont voulu préciser ces questions, et parfois y répondre, en exposant ce qui leur paraît essentiel dans l'état présent des sciences humaines (linguistique, ethnologie, idéologie politique, psychanalyse, psychologie sociale et philosophie).

Le structuralisme

Ce théologien n'est pas seulement le docteur commun de l'Eglise catholique, il est le plus puissant des philosophes : il a pénétré en profondeur l'héritage grec (Platon, Aristote, les stoïciens, Plotin, et d'autres) : il décèle ce qui est vrai dans chaque œuvre. La règle d'or de sa pensée, c'est de reconnaître le réel, tel qu'il est vraiment ; il reprend ainsi et amplifie les idées d'Aristote, et montre comment elles préparaient l'ouverture des esprits à la Révélation. Ses exposés sont clairs, évidents.
L'ouvrage montre son intelligence " en état de grâce ", sa sainteté de vie et présente ce qui est essentiel : reconnaître Dieu par une démarche rationnelle, puis exposer la Révélation (Trinité, Incarnation, Rédemption), centrée sur la Personne de Jésus-Christ. Il résume aussi l'étude psychologique de l'homme, sa vie sociale, ses rapports aux sacrements. Il traite des Anges. Il conclut sur le Christ Roi et donne quelques prières, avec une note sur l'Immaculée-Conception.

Thomas d'Aquin, saint et docteur

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

La révolution universitaire

Perception, imagination, mémoire

Pourquoi vivre ? Pourquoi souffrir ? Pourquoi mourir ? Depuis toujours ces questions tourmentent les hommes, agitent les "penseurs" . Des philosophes ont touché les limites de la raison en voyant que nos facultés sont bonnes, mais qu'un désordre, une "versatilité" , un "mauvais état" , nous empêchent de trouver le bonheur (Artistote, rejoint par l'ensemble de la philosophie classique, même Kant, et de nos jours Bergson). Réunissant les savoirs rationnels, l'anthropologie, science de l'homme dans sa totalité individuelle et sociale, arrive jusqu'à la question du sens de la vie, sans pouvoir déterminer ce qu'il est réellement. Mais il y a d'autres connaissances que celles de la seule raison. C'est un fait que les réalités révélées, l'enseignement divin, donnent la connaissance vraie et complète de l'homme. En énumérant les réponses aux grands problèmes, le présent ouvrage expose l'essentiel de l'anthropologie chrétienne : que pouvonsnous savoir ? En particulier : comment nous connaissonsnous, et estce que le freudisme est vrai ? Quelle est la portée du langage ? Et que signifie "Parole de Dieu" ? Que pouvonsnous faire ? Et quels sont les pouvoirs et les limites de notre volonté ? Quels rapports y atil entre la vie personnelle et la vie sociale ? Pouvonsnous aller vers la Vérité ? Comment ? En fait, la Vérité vers laquelle nous allons n'est pas simplement un ensemble de propositions fidèles à la réalité : elle est suprêmement aimable. C'est pourquoi nous la désirons de tout notre être.

La vie a-t-elle un sens ? - Réponse de l'anthropologie chrétienne

La révolution universitaire - L'expérience de l'Institut de psychologie de Grenoble

Nul n'est volontairement méchant, disait Socrate. Or les bourreaux et tyrans ont toujours existé, de même que les jaloux, les haineux, les homicides, etc. ; déjà les animaux d'une même espèce se battent. Ces conduites d'hostilité résultent-elles d'un instinct agressif obsédé par la mort ? Ou bien faut-il distinguer des formes divergentes de l'agressivité ? On découvre d'abord un fond commun, car il y a « de l'attaque » dans l'amour comme dans la haine. La condition de l'homme, être d'abord faible et impuissant qui le demeure toujours au moins quelque peu, peut être éclairée, expliquée, si l'on suit l'évolution de l'agressivité, ses heurs et malheurs, sa fermentation qui la fait tourner à l'aigre ou son épanouissement : le parfait amour bannit la peur, mais non l'ardeur, et la tendresse même est agressive.

L'agressivité

La vie a-t-elle un sens ? Notre monde scientifique ne nous apporte rien sur l'essentiel. La raison humaine a le pouvoir de chercher et de trouver la vérité. La vraie métaphysique est le cheminement que trace ce pouvoir depuis les débuts de la pensée humaine.

La métaphysique

Premières leçons sur l'Éthique de Spinoza

Le défi de cet ouvrage est de partir de l'expérience quotidienne : vivre, penser, connaître, sentir, exister pour aborder les grandes questions de l'existence : que puis-je connaître, qu'est-ce que la vérité, la vie a-t-elle un sens, Dieu existe t-il ?, le mal et la souffrance...

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