Adrian Tomine
Adrian Tomine, né 31 mai 1974 à Sacramento (Californie), est un auteur de bande dessinée américain.
...plusCompte non officiel
163
@adrianTomine
Il y a beaucoup de livres que j'ai achetés simplement à cause de la conception de la couverture. D'un autre côté, il y a certains livres qui, même si je suis très curieux du contenu, je ne peux pas me résoudre à acheter si je n'aime pas vraiment la couverture.
@adrianTomine
J'ai commencé ma carrière si tôt et je suis développé sur papier pour le meilleur ou pour le pire, donc je pense qu'il y a un sentiment que certains de mes premiers lecteurs sont une sorte de copilotes sur ce voyage avec moi.
@adrianTomine
Je pense qu'à son crédit, c'est l'une des dernières formes de divertissement populaire que je ne sens pas d'être discriminatoire en aucune façon. Je pense qu'il y a cette faim générale d'une plus grande diversité, où les éditeurs sont vraiment ravis de trouver des voix différentes de ce qui a été fait.
@adrianTomine
Juste pour pouvoir être un artiste professionnel, mais il est également agréable de ne pas avoir à redouter les présentations. "Ce que tu fais comme métier?" C'était plus facile de dire aux gens que j'étais un illustrateur de magazine que d'essayer d'expliquer que j'ai fait des bandes dessinées, mais pas le genre de bandes dessinées auxquelles ils étaient habitués, et non, ce n'est pas de la pornographie, etc. Et maintenant les gens même de La génération de nos parents connaît le terme «roman graphique», ce qui est un peu incroyable.
@adrianTomine
J'adore vraiment New York, mais je dois dire que l'humidité pendant l'été est un cauchemar pour un dessinateur. Non seulement je transpire dans mon studio, mais ma planche de Bristol se recroqueville, mais le ruban de rédaction se décolle, mais mes stylos rapides saignent à la minute où je les mets sur papier ... c'est un désastre.
@adrianTomine
J'adore vraiment New York, mais je dois dire que l'humidité pendant l'été est un cauchemar pour un dessinateur. Non seulement je transpire dans mon studio, mais ma planche de Bristol se recroqueville, mais le ruban de rédaction se décolle, mais mes stylos rapides saignent à la minute où je les mets sur papier ... c'est un désastre.
@adrianTomine
Il y a certains artistes et cinéastes qui, j'obtiens l'impression, essaient de montrer à quel point leurs personnages peuvent être mauvais, à quel point leurs personnages peuvent être immoraux.
@adrianTomine
Juste pour pouvoir être un artiste professionnel, mais il est également agréable de ne pas avoir à redouter les présentations. "Ce que tu fais comme métier?" C'était plus facile de dire aux gens que j'étais un illustrateur de magazine que d'essayer d'expliquer que j'ai fait des bandes dessinées, mais pas le genre de bandes dessinées auxquelles ils étaient habitués, et non, ce n'est pas de la pornographie, etc. Et maintenant les gens même de La génération de nos parents connaît le terme «roman graphique», ce qui est un peu incroyable.
@adrianTomine
Je suis un fan sans vergogne de «The New Yorker». Je me sens fier quand je vois mes œuvres d'art là-dedans.
@adrianTomine
La première fois que j'ai fait un truc de lecture / signature chez Cody's, la femme qui a fait l'introduction a dit quelque chose comme ça, et je n'étais pas le seul à grincer des dents. Je me souviens avoir regardé dans le public et voir le visage des gens et les gens se chuchotant les uns aux autres, et en pensant comme "Ugh, pouvons-nous simplement annuler le tout? Je ne peux pas aller là-bas après avoir dit cela."
@adrianTomine
Je pense que les artistes, à un certain moment, peuvent soit devenir provocants et dire que le public a tort, les lecteurs ne les obtiennent pas, et ils vont continuer à le faire à leur manière, ou ils peuvent écouter les critiques - et ne suivez pas nécessairement aveuglément les demandes et les conseils du public.
@adrianTomine
Je pense qu'il y a eu un moment dans le passé quand j'ai senti que mes options en tant qu'artiste étaient soit de faire de la race un non-problème et de nier son impact sur la vie et de dire: "Ne me pensez pas comme un dessinateur asiatique. Considérez simplement à Moi en tant que dessinateur. "
@adrianTomine
Je pense que les artistes, à un certain moment, peuvent soit devenir provocants et dire que le public a tort, les lecteurs ne les obtiennent pas, et ils vont continuer à le faire à leur manière, ou ils peuvent écouter les critiques - et ne suivez pas nécessairement aveuglément les demandes et les conseils du public.
@adrianTomine
New York est un endroit brutalement cher où vivre, et le genre de personne qui pourrait avoir le dévouement et le goût ésotérique pour faire les bandes dessinées que j'aimerais vraiment, c'est la trouver plus relaxante pour vivre ailleurs.
@adrianTomine
Il y a aussi une immédiateté dans tout ce qui a changé les attentes de tout le monde. Maintenant, si je ne peux pas mettre la main sur quelqu'un sur son téléphone portable, je suis, comme, en colère contre eux. Et dans mon esprit, toutes les choses que j'apprécie vraiment en termes d'art, de très bons romans ou de films ou de bandes dessinées, je sais qu'ils prennent tous beaucoup de temps à créer, et ils prennent beaucoup de concentration et de dévouement ... Et j'ai juste l'impression que la formation est de plus en plus rare lorsque les gens sont habitués à voir des choses comme les clips YouTube et à acquérir des choses instantanément.
@adrianTomine
J'ai commencé ma carrière si tôt et je suis développé sur papier pour le meilleur ou pour le pire, donc je pense qu'il y a un sentiment que certains de mes premiers lecteurs sont une sorte de copilotes sur ce voyage avec moi.
@adrianTomine
Le rédacteur en chef en charge des couvertures du «New Yorker» est Françoise Mouly. Elle connaît très bien les excentricités et les personnalités des caricaturistes, donc travailler avec elle est très facile.
@adrianTomine
J'étais juste un gars qui faisait des bandes dessinées adultes ou alternatives. Et puis soudainement être, comme, un artiste de couverture new-yorkais était une chose différente.
@adrianTomine
Je ne prends pas du tout mon travail. Si c'est quelque chose qui est toujours en cours et que j'ai la chance de faire quelques modifications sur le matériel ou de penser à l'ordre, de petites choses comme ça, je garderai ces histoires à portée de main et les traverserai. Mais une fois qu'il existe comme le livre, il est enfermé dans un coffre-fort, et je l'ai en quelque sorte mis derrière moi.
@adrianTomine
Il y a aussi une immédiateté dans tout ce qui a changé les attentes de tout le monde. Maintenant, si je ne peux pas mettre la main sur quelqu'un sur son téléphone portable, je suis, comme, en colère contre eux. Et dans mon esprit, toutes les choses que j'apprécie vraiment en termes d'art, de très bons romans ou de films ou de bandes dessinées, je sais qu'ils prennent tous beaucoup de temps à créer, et ils prennent beaucoup de concentration et de dévouement ... Et j'ai juste l'impression que la formation est de plus en plus rare lorsque les gens sont habitués à voir des choses comme les clips YouTube et à acquérir des choses instantanément.
@adrianTomine
Il n'y a jamais eu un moment où je me suis assis à ma planche à dessin et j'ai pensé: "Je suis un pro!"
@adrianTomine
J'ai commencé ma carrière si tôt et je suis développé sur papier pour le meilleur ou pour le pire, donc je pense qu'il y a un sentiment que certains de mes premiers lecteurs sont une sorte de copilotes sur ce voyage avec moi.
@adrianTomine
Quand je parle aux gens qui ont des adolescents maintenant, leurs chambres sont remplies d'écrans. Il y a leurs téléphones et leurs joueurs de DVD et téléviseurs et toutes ces choses pour produire des distractions pour eux, et je pense qu'il serait difficile de trouver le temps de créer quelque chose. Je pense que cela change vraiment quelque chose à propos de l'adolescence.
@adrianTomine
Quand j'ai commencé à dessiner la première incarnation du «nerf optique», je n'avais même pas été à un rendez-vous; Je n'avais pas encore eu de relation romantique d'aucune sorte, donc en quelque sorte, j'écrivais presque de la science-fiction.
@adrianTomine
Le rédacteur en chef en charge des couvertures du «New Yorker» est Françoise Mouly. Elle connaît très bien les excentricités et les personnalités des caricaturistes, donc travailler avec elle est très facile.
@adrianTomine
Juste pour pouvoir être un artiste professionnel, mais il est également agréable de ne pas avoir à redouter les présentations. "Ce que tu fais comme métier?" C'était plus facile de dire aux gens que j'étais un illustrateur de magazine que d'essayer d'expliquer que j'ai fait des bandes dessinées, mais pas le genre de bandes dessinées auxquelles ils étaient habitués, et non, ce n'est pas de la pornographie, etc. Et maintenant les gens même de La génération de nos parents connaît le terme «roman graphique», ce qui est un peu incroyable.
@adrianTomine
Je ne rentre jamais chez moi et je sors ces cartes de visite et je vais sur ces sites Web. Mais s'il y avait un mini-co-comique ici dans ma main, je le lirais pendant que je mangeais mon déjeuner. Je suis probablement aussi l'un des rares retenus qui n'ont pas consenti à faire les versions de livres électroniques de tout mon travail, ce qui est ennuyeux pour certains de mes éditeurs.
@adrianTomine
J'adore vraiment New York, mais je dois dire que l'humidité pendant l'été est un cauchemar pour un dessinateur. Non seulement je transpire dans mon studio, mais ma planche de Bristol se recroqueville, mais le ruban de rédaction se décolle, mais mes stylos rapides saignent à la minute où je les mets sur papier ... c'est un désastre.
@adrianTomine
Quand j'ai commencé à dessiner la première incarnation du «nerf optique», je n'avais même pas été à un rendez-vous; Je n'avais pas encore eu de relation romantique d'aucune sorte, donc en quelque sorte, j'écrivais presque de la science-fiction.
@adrianTomine
J'ai toujours été vraiment impressionné par certains des romans graphiques plus longs et j'ai pensé que ce serait vraiment incroyable si un jour je pouvais essayer quelque chose comme ça.