" - ... du type de meurtres dans lesquels j'ai joué le rôle de meurtrier, dit le Père Brown, en posant son verre de vin." En ce court instant, la rangée de tableaux rouges représentant ces crimes était passée devant ses yeux...

Les enquêtes du Père Brown

Dans la foule d'un congrès eucharistique à Londres, le célèbre commissaire Valentin, venu de Paris, traque son ennemi juré, un criminel brillant et - presque - insaisissable. Ses recherches le conduisent à suivre une piste insolite, faite d'événements bizarres et d'indices paradoxaux, que laisse sur son passage une paire d'ecclésiastiques des plus curieux. Deux professionnels du crime, chacun d'un côté de la loi, le premier préparant peut-être l'un de ses coups les plus audacieux, le second menant l'enquête la plus déconcertante de sa carrière, se livrent un duel sans merci... et, au milieu, un petit prêtre gaffeur et maladroit qui pourrait bien peser sur l'issue de cet affrontement !

La Croix bleue

Mr Mundon Mandeville, le directeur de théâtre, traversait d'un pas rapide les coulisses derrière la scène, ou plutôt sous la scène. Sa mise élégante lui donnait un air de fête, peut-être un peu trop ; la fleur dans sa boutonnnière lui donnait un air de fête ; jusqu'au vernis de ses bottines qui lui donnait un air de fête ; mais son visage, lui, n'avait rien de festif...

G. K. Chesterton's surreal masterpiece is a psychological thriller that centers on seven anarchists in turnofthecentury London who call themselves by the names of the days of the week. Chesterton explores the meanings of their disguised identities in what is a fascinating mystery and, ultimately, a spellbinding allegory. As Jonathan Lethem remarks in his Introduction,  The real characters are the ideas. Chesterton's nutty agenda is really quite simple: to expose moral relativism and parlor nihilism for the devils he believes them to be. This wouldn't be interesting at all, though, if he didn't also show such passion for giving the devil his due. He animates the forces of chaos and anarchy with every ounce of imaginative verve and rhetorical force in his body.From the Trade Paperback edition.

The man who was thursday

Gilbert Keith Chesterton: Menschenskind

Manalive, 1912. Hier in der Übersetzung von Nanni Collin, Musarion-Verlag, 1926.

Vollständige Neuausgabe.

Herausgegeben von Karl-Maria Guth.

Berlin 2015.

Umschlaggestaltung von Thomas Schultz-Overhage unter Verwendung des Bildes: Vincent van Gogh, Junger Mann mit Kornblume, 1890.

Gesetzt aus Minion Pro, 11 pt.

Menschenskind

James Bagshaw et Wilfrid Underhill étaient de vieux amis ; ils aimaient se promener au hasard des rues, le soir, bavardant interminablement en tournant dans une rue, puis dans une autre, dans le labyrinthe silencieux et en apparence sans vie du grand faubourg dans lequel ils habitaient...

Quelque part en Écosse, le sinistre château de Glengyle sert de décor à un mystère des plus étranges. Le comte de Glengyle, dernier descendant d'une redoutable lignée, s'est retiré dans la vieille bâtisse il y a bien longtemps, et à l'exception de son unique et fidèle serviteur, Israël Gow, que l'on dit sourd et idiot, personne ne l'a revu. Or, le comte est décédé, et son mutique domestique s'est empressé de fermer son cercueil et de l'enterrer. Le dernier des Ogilvies vivaitil vraiment au château ? Israël Gow ne l'a-t-il pas aidé à disparaître ? L'inspecteur Craven de Scotland Yard, ainsi que Flambeau, qui mènent l'enquête, sont perplexes : ils ont découvert au château une collection bizarre d'objets hétéroclites : mécanismes d'horlogerie brisés, pierres précieuses dispersées comme de vulgaires cailloux, bougies sans candélabres, petits tas de tabac à priser sur tout le mobilier... Il faudra décidément, encore une fois, faire appel à la sagacité du père Brown pour percer le mystère du destin du dernier comte de Glengyle !

L'honneur d'Israel Gow

Il n'est pas bon de partir en voyage dans les bourgades de l'Angleterre... L'auberge Le Soleil Levant est le théâtre d'étranges suicides, le grand poète Phineas Salt disparait après avoir vidé son compte en banque, le fortuné Sir Owen Cram est retrouvé poignardé sur un banc de sable... Autant de crimes que Gabriel Gale, peintre du dimanche et poète à ses heures, tente d'élucider. Pour l'aider, il a pour bras droit le docteur Garth, qui essaie tant bien que mal, par son calme et son esprit scientifique, de tempérer les extravagances de son ami. Une série d'enquêtes publiée en 1929, où Chesterton joue avec l'absurde, met à mal la raison et fait l'éloge de la folie, le tout avec un humour salvateur.

Le Poète et les fous

Dans "  La Morale des elfes ", tirée de son recueil Orthodoxy (1908), l'écrivain anglais Gilbert Keith Chesterton (1874-1936) fait l'apologie des contes de fées pour mieux dénoncer la modernité. En quelques pages moqueuses et provocatrices, il renoue avec l'esprit de l'enfance et s'attaque aux dominantes de son époque, comme le rationalisme et le déterminisme. Réapprendre à s'étonner du monde devient ainsi l'expression d'une véritable philosophie.

La Morale des elfes

Les étoiles filantes : trois diamants de la plus belle eau, ont une fâcheuse tendance à attiser la convoitise des voleurs de tout acabit, ce qui leur vaut ce nom si poétique. Justement, Flambeau, le génial malfaiteur, a jeté son dévolu sur ces fabuleux joyaux, que sir Leopold Fischer, le célèbre financier, s'apprête à offrir à sa petite-fille, en ce lendemain de Noël. Pour l'occasion toute la famille est réunie et improvise une fête... à laquelle le voleur est bien décidé à s'inviter. Mais, l'audacieux Flambeau ne se doute pas que la Providence va de nouveau mettre sur sa route le plus improbable des détectives, l'astucieux Père Brown... Ce lendemain de Noël s'annonce décidément plein de surprises pour chacun des protagonistes de cette étrange affaire !

Les étoiles filantes

Due to close relationships with the leading political figures in the land, Fisher knows too much about the private politics behind the public politics of the day. This knowledge is a burden to him because he is able to uncover the injustices and corruptions of the murders in each story, but in most cases the real killer gets away with the killing because to bring him openly to justice would create a greater chaos: starting a war, reinciting Irish rebellions, or removing public faith in the government.

The Man Who Knew Too Much

Je me suis frappé moi-même, et pourtant je meurs assassiné : telle est l'étrange confession que laisse derrière lui le sulfureux écrivain Leonard Quinton. Tout laisse à penser qu'il s'est donné la mort au fond de sa curieuse maison, décorée au goût oriental, à l'aide d'un étrange poignard courbe qui provenait sans doute de ses collections. Mais bien des aspects dans cette affaire, à commencer par l'inquiétante présence d'un médecin Hindou auprès de Quinton, intriguent et même provoquent un certain malaise chez le père Brown, alors en visite dans l'étrange demeure, accompagné de Flambeau. Et si, une fois de plus, l'astucieux petit prêtre se trouvait en présence d'un crime diabolique ? Pour le savoir, on peut compter sur l'esprit pénétrant du père Brown, une fois de plus !

La mauvaise forme

L'homme qu'on appelle le Christ

Lorsque le jeune J. T. Angus demande la main de la charmante Laure Hope, il apprend qu'il a un rival peu banal : un certain Welkin la poursuit de ses menaces, ne supportant pas qu'elle puisse épouser quiconque si ce n'est lui. Smythe semble épier en permanence la jeune femme, il l'appelle, il dépose même des menaces écrites près d'elle, sans qu'elle puisse le voir? Il est invisible ! Et quand il annonce qu'il s'en prendra à un autre rival, l'inventeur Isidore Smythe, Angus fait appel à un détective de sa connaissance : Flambeau. Welkin parvient malgré toutes les précautions prises, à faire disparaître Smythe. Heureusement, le père Brown accompagne Flambeau et saura tirer cette mystérieuse affaire d'homme invisible au clair !

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