Hans Urs von Balthasar
Hans Urs von Balthasar, né à Lucerne (Suisse) le 12 août 1905 et mort à Bâle (Suisse) le 26 juin 1988, est un prêtre catholique suisse du diocèse de Coire. Jésuite de 1928 à 1950, il est considéré comme l'un des plus grands théologiens chrétiens du XXe siècle. Créé cardinal par Jean-Paul II en 1988, il meurt quelques jours avant d'en recevoir les insignes.
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@hansUrsVonBalthasar
Certes, la réponse de la foi à la révélation, que Dieu accorde à la créature qu'il choisit et se déplace avec son amour, se produit de telle manière que c'est vraiment la créature qui fournit la réponse, avec sa propre nature et ses pouvoirs naturels de aimer.
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Mais les saints ne sont jamais le genre de tantes célibataires de Killjoy qui entrent pour l'entrave aux failles et manquent de tout sens de l'humour. (Les Karl Barth qui aimaient et comprenaient que Mozart ne doit pas non plus être considéré comme tel.) Car l'humour est un charisme mystérieux mais indubitable inséparable de la foi catholique, et ni les "progressistes" ni les "intégralistes" ne semblent le posséder - ce dernier moins que le premier.
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Par conséquent, la méditation chrétienne est entièrement trinitaire et en même temps entièrement humaine. Afin de trouver Dieu, personne n'a besoin de rejeter d'être humain personnellement ou socialement, mais pour trouver Dieu, tout doit voir le monde et eux-mêmes dans le Saint-Esprit comme ils sont à la vue de Dieu.
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L'obéissance chrétienne, par sa nature même, a un caractère héroïque.
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Tout en Irénée est baigné d'une joie chaleureuse et radieuse, une douceur sage et majestueuse. Ses paroles de lutte sont dures comme du fer et de la cristal claire, ... donc pénétrant qu'ils ne peuvent manquer d'éclairer l'observateur impartial.
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Son fils (de Mary) devait d'abord être l'enfant du père afin de devenir homme et d'être capable de prendre sur ses épaules le fardeau d'un monde coupable.
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Dieu se définit comme «Je suis qui je suis», ce qui signifie aussi: mon être est tel que je serai toujours présent à chaque instant de devenir.
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En Christ, pour la première fois, nous voyons qu'en Dieu lui-même existe - dans son unité inséparable - la distinction entre le Père qui donne et le don qui est donné (le Fils), mais seulement dans l'unité du Saint Esprit.
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Notre situation montre aujourd'hui que la beauté exige elle-même au moins autant de courage et de décision que la vérité et la bonté, et elle ne se permettra pas d'être séparée et interdite de ses deux sœurs sans les emmener avec elle dans un acte de vengeance mystérieuse.
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Ce que le père donne, c'est la capacité d'être un soi, une liberté et donc une autonomie, mais une autonomie qui ne peut être comprise que comme une reddition de soi à l'autre.
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Certes, la réponse de la foi à la révélation, que Dieu accorde à la créature qu'il choisit et se déplace avec son amour, se produit de telle manière que c'est vraiment la créature qui fournit la réponse, avec sa propre nature et ses pouvoirs naturels de aimer.
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Certes, la réponse de la foi à la révélation, que Dieu accorde à la créature qu'il choisit et se déplace avec son amour, se produit de telle manière que c'est vraiment la créature qui fournit la réponse, avec sa propre nature et ses pouvoirs naturels de aimer.
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Notre situation montre aujourd'hui que la beauté exige elle-même au moins autant de courage et de décision que la vérité et la bonté, et elle ne se permettra pas d'être séparée et interdite de ses deux sœurs sans les emmener avec elle dans un acte de vengeance mystérieuse.
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Nous sommes non seulement intéressés par les aspects du mystère de l'Église catholique romaine qui la distingue des autres communautés chrétiennes, mais aussi pour montrer à quelle fréquence ils sont des croyances centrales en décrivant ce qui est spécifiquement catholique de telle manière que le partenaire en Le dialogue peut voir, même de son propre point de vue, la cohérence intérieure.
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Saint-Paul dirait aux philosophes que Dieu a créé l'homme pour qu'il cherche le divin, essayer d'atteindre le divin. C'est pourquoi toute la philosophie pré-chrétienne est théologique à son sommet.
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La première tentative de réponse: il doit y avoir eu une chute, une baisse et la voie du salut ne peut être que le retour du fini sensible dans l'infini intelligible.
@hansUrsVonBalthasar
Nous n'osons plus croire en la beauté et nous en faisons une simple apparence afin de le disposer plus facilement. Notre situation montre aujourd'hui que la beauté exige elle-même au moins autant de courage et de décision que la vérité et la bonté, et elle ne se permettra pas d'être séparée et interdite de ses deux sœurs sans les emmener avec elle dans un acte de vengeance mystérieuse. Nous pouvons être sûrs que quiconque renifle à son nom comme si elle était l'ornement d'un passé bourgeois - qu'il l'admet ou non - ne peut plus prier et ne pourra plus bientôt aimer.
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Wonder - l'ardeur enthousiaste pour la sublimité de l'être, pour que sa valeur d'être un objet de connaissance - promet de devenir le point de départ pour une véritable perspicacité uniquement où elle a atteint le stade dans lequel le sujet, submergé par l'objet, a, a, Pour ainsi dire, fusionné en un seul point ou en rien.
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Ainsi, il est nécessaire de commencer une dualité incontournable: le fini n'est pas l'infini.
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Dieu se définit comme moi qui je suis, ce qui signifie aussi: mon être est tel que je serai toujours présent à chaque instant de devenir.
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Lorsque vous dites oui à Dieu inconditionnellement, vous n'avez aucune idée de jusqu'où ce oui va vous emmener. Certainement plus loin que vous ne pouvez deviner et calculer à l'avance ... mais jusqu'où et dans quelle forme? Dans le même temps, ce oui est la seule condition préalable non négociable de toute compréhension chrétienne, de toutes les théologie et de la sagesse ecclésiale.
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Être un enfant signifie devoir son existence à un autre, et même dans notre vie d'adulte, nous n'atteinons jamais tout à fait le point où nous n'avons plus à remercier d'être la personne que nous sommes.
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Certes, la réponse de la foi à la révélation, que Dieu accorde à la créature qu'il choisit et se déplace avec son amour, se produit de telle manière que c'est vraiment la créature qui fournit la réponse, avec sa propre nature et ses pouvoirs naturels de aimer.
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Nous n'osons plus croire en la beauté et nous en faisons une simple apparence afin de le disposer plus facilement.
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Notre situation montre aujourd'hui que la beauté exige elle-même au moins autant de courage et de décision que la vérité et la bonté, et elle ne se permettra pas d'être séparée et interdite de ses deux sœurs sans les emmener avec elle dans un acte de vengeance mystérieuse.
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Notre situation montre aujourd'hui que la beauté exige elle-même au moins autant de courage et de décision que la vérité et la bonté, et elle ne se permettra pas d'être séparée et interdite de ses deux sœurs sans les emmener avec elle dans un acte de vengeance mystérieuse.
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C'est à la croix que le chrétien est mis au défi de suivre son maître: aucune voie de rédemption ne peut faire un détour autour de lui.
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Avant la rencontre d'un individu avec l'amour de Dieu à un moment particulier de l'histoire, cependant, il doit y avoir une autre rencontre plus fondamentale et archétypale, qui appartient aux conditions de possibilité de l'apparence de l'amour divin à l'homme.
@hansUrsVonBalthasar
Mais la question n'est pas seulement la vie et la mort, mais notre existence devant Dieu et notre être jugé par lui. Nous étions tous des pécheurs devant lui et dignes de condamnation.
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L'amour seul est crédible.