James Madison
James Madison, Jr., né le 16 mars 1751 dans le comté de King George (colonie de Virginie) et mort le 28 juin 1836 à Orange (Virginie), est un homme d'État américain, quatrième président des États-Unis, en fonction de 1809 à 1817. Membre du Parti républicain-démocrate et délégué de la Virginie au Congrès continental, il est l'un des Pères fondateurs des États-Unis. Il est considéré comme l'un des principaux auteurs de la Constitution américaine ; Madison s'occupe en particulier de l’équilibre entre les pouvoirs législatif, judiciaire et exécutif et de la déclaration des droits. Il succède à Thomas Jefferson en tant que secrétaire d'État des États-Unis en 1801 avant d’être élu à la présidence sept ans plus tard. Il est par ailleurs proclamé citoyen français par l'Assemblée nationale législative en 1792.
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des biens de la capacité de le maintenir à perpétuité par des sociétés ecclésiastiques. [...] L'établissement de l'aumônette aux Congs. est une violation palpable des droits égaux, ainsi que des principes constitutionnels.
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L'essence du gouvernement est le pouvoir; Et le pouvoir, logé comme il doit être entre les mains humaines, sera jamais susceptible de maltraiter.
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Le gouvernement des États-Unis est un gouvernement défini, confiné aux objets spécifiés. Ce n'est pas comme les gouvernements des États, dont les pouvoirs sont plus généraux. La charité ne fait pas partie du devoir législatif du gouvernement.
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Sur toute autre hypothèse, la délégation du pouvoir judiciaire annulerait l'autorité la déléguer; et la concurrence de ce département avec les autres dans les pouvoirs usurpés, pourrait renverser pour toujours, et hors de la portée possible de tout remède légitime, la constitution même que toutes ont été instituées pour préserver.
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Rien n'est aussi contagieux que l'opinion, en particulier sur les questions qui, étant sensibles aux gloses très différentes, engendrent dans l'esprit une méfiance en soi.
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Par une faction, je comprends un certain nombre de citoyens, qu'il s'agisse d'une majorité ou d'une minorité de l'ensemble, qui sont unis et actionnés par une impulsion commune de passion, ou d'intérêt ... les causes latentes de la faction sont semées dans le nature de l'homme.
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Fort gardé que c'est la séparation entre la religion et le gouvernement dans la Constitution des États-Unis, le danger d'empiètement par les organismes ecclésiastiques peut être illustré par des précédents déjà fournis dans leur courte histoire.
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Si les hommes étaient des anges, aucun gouvernement ne serait nécessaire. Si les anges devaient gouverner les hommes, ni les contrôles externes ni internes sur le gouvernement ne seraient nécessaires. En encadrant un gouvernement qui doit être administré par des hommes sur des hommes, la grande difficulté y réside: vous devez d'abord permettre au gouvernement de contrôler les gouvernés; et dans la place suivante l'oblige à se contrôler. Une dépendance à l'égard du peuple est, sans aucun doute, le principal contrôle du gouvernement; Mais l'expérience a enseigné à l'humanité la nécessité de précautions auxiliaires.
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Je ne peux pas entreprendre mon doigt sur cet article de la Constitution qui accordait un droit au Congrès des dépenses, aux objets de bienveillance, à l'argent de leurs électeurs.
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La liberté est à la faction, ce que l'air doit tirer, un aliment sans lequel il expire instantanément. Mais ce ne pourrait pas être une folie moins pour abolir la liberté, ce qui est essentiel à la vie politique, car il nourrit la faction, qu'il ne le serait de souhaiter l'anéantissement de l'air, qui est essentiel à la vie animale, car il confie pour tirer son agence destructrice .
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La religion, ou le devoir que nous devons à notre Créateur, et la manière de le décharger, ne peut être dirigée que par la raison et la condamnation, et non par la force ou la violence; et, par conséquent, que tous les hommes devraient jouir de toute la tolérance dans l'exercice de la religion selon les dicts de la conscience, impunis et sans restriction par le magistrat, à moins que, sous la couleur de la religion, tout homme dérange la paix, le bonheur ou la sécurité de la société, et qu'il est le devoir mutuel de tout pratiquer la création, l'amour et la charité chrétiens les uns envers les autres.
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Nous pouvons être assurés par l'expérience passée, qu'une telle pratique [comme certains États facturait des taxes élevées sur les marchandises d'autres États] seraient introduites par de futurs artifices; et à la fois par cela et une connaissance commune des affaires humaines, qu'elle nourrirait des animosités incessantes, et ne se terminerait pas de manière improbable d'interruptions graves de la tranquillité publique.
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[L]a grande sécurité contre une concentration graduelle de plusieurs pouvoirs dans un même département consiste à donner à ceux qui administrent chaque département les moyens constitutionnels et les motifs personnels nécessaires pour résister à l'empiétement des autres.
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Si on lui demande ce qui doit empêcher la Chambre des représentants de faire des discriminations juridiques en faveur d'eux-mêmes et d'une classe particulière de la société? Je réponds, le génie de l'ensemble du système, la nature des lois justes et constitutionnelles, et surtout l'esprit vigilant et virile qui agit le peuple américain, un esprit qui nourrit la liberté, et en retour est nourri par lui.
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Je possède l'ami d'un système de commerce très libre et je le tiens comme une vérité, que les chaînes commerciales sont généralement injustes, oppressives et impolitiques - c'est aussi une vérité, que si l'industrie et le travail sont laissés pour suivre leur propre cours, Ils seront généralement dirigés vers les objets les plus productifs, et cela d'une manière plus certaine et directe que la sagesse de la législature la plus éclairée pourrait souligner.
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L'accumulation de tous les pouvoirs, législative, exécutive et judiciaire, entre les mêmes mains, que ce soit, quelques ou plusieurs, et que ce soit héréditaire, autonome ou électif, peut à juste titre prononcer la définition même de la tyrannie.
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Bien que tous les hommes naissent libres, l'esclavage a été le lot général de la race humaine. Ignorants - ils ont été trompés ; endormis--ils ont été surpris; divisés - le joug leur a été imposé. Mais quelle est la leçon...? Le peuple doit être éclairé, éveillé, uni, pour qu'après avoir établi un gouvernement, il veille sur lui... Il est universellement admis que seul un peuple bien instruit peut être libre en permanence.
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L'union des sentiments religieux engendre une confiance surprenante, et les établissements ecclésiastiques ont tendance à une grande ignorance et corruption; Tous facilitent l'exécution de projets espiègles.
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[R]éfuser ou ne pas refuser d'exécuter une loi pour lui imprimer son caractère définitif . . . rend le département judiciaire primordial en fait pour le pouvoir législatif, ce qui n'a jamais été prévu et ne peut jamais être approprié.
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Si on lui demande ce qui doit empêcher la Chambre des représentants de faire des discriminations juridiques en faveur d'eux-mêmes et d'une classe particulière de la société? Je réponds, le génie de l'ensemble du système, la nature des lois justes et constitutionnelles, et surtout l'esprit vigilant et virile qui agit le peuple américain, un esprit qui nourrit la liberté, et en retour est nourri par lui.
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La meilleure raison d'être attribuée, en l'occurrence, pour ne pas avoir rendu la Constitution plus exempte d'une accusation d'incertitude en son sens, est censée être, qu'il n'était pas soupçonné que de telles frais auraient lieu; et il semble qu'aucune accusation de ce type n'a eu lieu, au cours de la première période de la Constitution, lorsque le sens de ses auteurs pourrait être mieux déterminé, ni jusqu'à ce que de nombreuses lumières contemporaines aient été éteintes. À quelle fréquence se produit-il, qu'une notoriété d'intention diminue la prudence contre son incomprise ou doutée!
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Les États étant alors les parties du pacte constitutionnel, et dans leur capacité souverain, il suit la nécessité, qu'il ne peut y avoir de tribunal au-dessus de leur autorité, de décider en dernier recours, si le pacte fait par eux est violé; et par conséquent qu'en tant que parties à elle, ils doivent eux-mêmes décider en dernier recours, des questions qui peuvent être d'une ampleur suffisante pour nécessiter leur interposition.
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En ce qui concerne les banques, ils ont pris une racine trop profonde et trop large dans les transactions sociales, pour se débarrasser complètement, si cela était souhaitable. Ils ont une emprise sur l'opinion publique, ce qui seul rendrait opportun l'amélioration plutôt que l'amélioration que leur suppression. Comme maintenant généralement constitué, leurs avantages, quels que soient-ils, sont contrebalancés par les excès de leurs émissions de papier et les parties et la corruption avec lesquelles ils sont administrés.
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Il devient donc tous qui sont des amis d'un gouvernement sur la base de principes libres à refléter, qu'en niant la possibilité d'un système partiellement fédéral et partiellement consolidé, et qui convertirait le nôtre en un seul fédéral ou entièrement consolidé, dans lesquels aucune forme ne se forme, dans l'une ou l'autre des formes Les droits individuels, l'ordre public et la sécurité externe ont été tous dûment maintenus, ils visent un coup mortel à l'espoir de la vraie liberté sur la face de la terre.
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En ce qui concerne les mots «bien-être général», je les ai toujours considérés comme qualifiés par le détail des pouvoirs liés à eux. Les prendre dans un sens littéral et illimité serait une métamorphose de la Constitution en un personnage dont il y a une multitude de preuves n'a pas été envisagée par ses créateurs.
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Chaque réponse qu'il [le président John Adams] donne à ses adresses démasque de plus en plus ses principes et opinions. Sa langue aux jeunes hommes de Philadelphie est la plus abominable et la plus dégradante qui pourrait tomber des lèvres du premier magistrat d'un peuple indépendant, et en particulier d'un patriote révolutionnaire.
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Pour référer le pouvoir en question à la clause "pour prévoir la défense commune et le bien-être général" serait contraire aux règles d'interprétation établies et cohérentes, comme rendant l'énumération spéciale et minutieuse des pouvoirs qui suivent la clause nugatoire et incorrecte. Une telle vision de la Constitution aurait pour effet de donner au Congrès un pouvoir général de la législation au lieu du défini et limité jusqu'à ce que lui appartient, les termes "défense commune et bien-être général" embrassant chaque objet et agissent dans le cadre de la compétence d'une fiducie législative.
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La religion, ou le devoir que nous devons à notre Créateur, et la manière de le décharger, ne peut être dirigée que par la raison et la condamnation, et non par la force ou la violence; et, par conséquent, que tous les hommes devraient jouir de toute la tolérance dans l'exercice de la religion selon les dicts de la conscience, impunis et sans restriction par le magistrat, à moins que, sous la couleur de la religion, tout homme dérange la paix, le bonheur ou la sécurité de la société, et qu'il est le devoir mutuel de tout pratiquer la création, l'amour et la charité chrétiens les uns envers les autres.
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Les établissements ecclésiastiques ont tendance à une grande ignorance et corruption
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La constitution proposée, par conséquent, même lorsqu'elle est testée par les règles établies par ses antagonistes, n'est, en rigueur, ni une constitution nationale ni une constitution fédérale; mais une composition des deux. Dans sa fondation, il est fédéral, pas national; Dans les sources à partir desquelles les pouvoirs ordinaires du gouvernement sont tirés, il est en partie fédéral et en partie national; Dans le fonctionnement de ces pouvoirs, il est national, et non fédéral; Dans l'étendue à nouveau, il est fédéral, pas national; Et enfin, dans le mode faisant autorité de l'introduction d'amendements, il n'est ni entièrement fédéral, ni entièrement national.