John Stuart Mill
John Stuart Mill, né le 20 mai 1806 à Londres et mort le 8 mai 1873 à Avignon, est un philosophe, logicien et économiste britannique. Penseur libéral parmi les plus influents du XIXe siècle, il est un partisan de l'utilitarisme, une théorie éthique préalablement exposée par Jeremy Bentham, dont Mill propose sa compréhension personnelle. En économie, il est l'un des derniers représentants de l'école classique. Précurseur du féminisme, Mill propose en outre un système de logique qui opère la transition entre l'empirisme du XVIIIe siècle et la logique contemporaine. Il est enfin l'auteur du premier grand traité sur la démocratie représentative, Considérations sur le gouvernement représentatif (1861). À la fin de sa vie John Stuart Mill se tourna vers la théorie socialiste, pour laquelle il exprimait de plus en plus de sympathies.
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@johnStuartMill
Un peuple peut préférer un gouvernement libre, mais si, par indolence, négligence, lâcheté ou manque d'esprit public, il n'est pas à la hauteur des efforts nécessaires pour le préserver. Il est plus ou moins inapte à la liberté ; et bien qu'il puisse être bon pour lui de l'avoir eue, même pour un court laps de temps, il est peu probable qu'il en jouisse longtemps
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Un homme qui n'a rien pour lequel il est prêt à se battre, rien qui soit plus important que sa propre sécurité, est une créature misérable et n'a aucune chance d'être libre, à moins qu'il ne le devienne et le reste grâce aux efforts d'hommes meilleurs que lui.
@johnStuartMill
Un parti de l'ordre ou de la stabilité et un parti du progrès ou de la réforme sont tous deux des éléments nécessaires à une vie politique saine.
@johnStuartMill
Un peuple chez qui il n'y a pas d'habitude d'action spontanée pour un intérêt collectif - qui compte habituellement sur son gouvernement pour le commander ou le pousser dans toutes les affaires d'intérêt commun - qui s'attend à ce que tout soit fait pour lui, sauf ce qui peut être fait une affaire par simple habitude et routine - n'ont leurs facultés qu'à moitié développées ; leur éducation est défectueuse dans une de ses branches les plus importantes.
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Un homme qui n'a rien pour lequel il est prêt à se battre, rien qui soit plus important que sa propre sécurité, est une créature misérable et n'a aucune chance d'être libre, à moins qu'il ne le devienne et le reste grâce aux efforts d'hommes meilleurs que lui.
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... ce ne sont pas seulement les principes généraux de justice qui sont enfreints, ou du moins écartés, par l'exclusion des femmes, simplement en tant que femmes, de toute part dans la représentation ; cette exclusion est également contraire aux principes particuliers de la Constitution britannique. Cela viole l'une des plus anciennes de nos maximes constitutionnelles... que l'imposition et la représentation devraient être coextensives. Les femmes ne paient-elles pas d'impôts ?
@johnStuartMill
Un parti de l'ordre ou de la stabilité et un parti du progrès ou de la réforme sont tous deux des éléments nécessaires à une vie politique saine.
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Un peuple chez qui il n'y a pas d'habitude d'action spontanée pour un intérêt collectif - qui compte habituellement sur son gouvernement pour le commander ou le pousser dans toutes les affaires d'intérêt commun - qui s'attend à ce que tout soit fait pour lui, sauf ce qui peut être fait une affaire par simple habitude et routine - n'ont leurs facultés qu'à moitié développées ; leur éducation est défectueuse dans une de ses branches les plus importantes.
@johnStuartMill
Une constitution démocratique, non soutenue par des institutions démocratiques dans le détail, mais confinée au gouvernement central, non seulement n'est pas une liberté politique, mais crée souvent un esprit exactement inverse, portant jusqu'au niveau le plus bas de la société le désir et l'ambition de la domination politique.
@johnStuartMill
Un parti de l'ordre ou de la stabilité et un parti du progrès ou de la réforme sont tous deux des éléments nécessaires à une vie politique saine.
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Un parti de l'ordre ou de la stabilité et un parti du progrès ou de la réforme sont tous deux des éléments nécessaires à une vie politique saine.
@johnStuartMill
Un homme qui n'a rien pour lequel il est prêt à se battre, rien qui soit plus important que sa propre sécurité, est une créature misérable et n'a aucune chance d'être libre, à moins qu'il ne le devienne et le reste grâce aux efforts d'hommes meilleurs que lui.
@johnStuartMill
Un parti de l'ordre ou de la stabilité et un parti du progrès ou de la réforme sont tous deux des éléments nécessaires à une vie politique saine.
@johnStuartMill
[Je me suis posé directement la question : "Supposez que tous vos objectifs dans la vie soient réalisés, que tous les changements d'institutions et d'opinions que vous attendez avec impatience puissent être complètement effectués à l'instant même : est-ce que ce serait une grande joie et un grand bonheur pour vous ?" Et une irrépressible conscience de soi répondit distinctement : "Non !
@johnStuartMill
Il semble donc être une condition d'une hypothèse véritablement scientifique, qu'il n'est pas destiné à toujours rester une hypothèse, mais qu'il est certain d'être prouvé ou réfuté par ... Comparison avec des faits observés.
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Un homme qui n'a rien pour lequel il est prêt à se battre, rien qui soit plus important que sa propre sécurité, est une créature misérable et n'a aucune chance d'être libre, à moins qu'il ne le devienne et le reste grâce aux efforts d'hommes meilleurs que lui.
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Un peuple peut préférer un gouvernement libre, mais si, par un découragement momentané, une panique passagère ou un accès d'enthousiasme pour un individu, il peut être amené à déposer ses libertés aux pieds d'un grand homme ou à lui confier le pouvoir de subvertir ses institutions, dans tous ces cas, il est inapte à la liberté.
@johnStuartMill
Toutes les choses désirables... sont désirables soit pour le plaisir inhérent à elles-mêmes, soit comme moyen de promouvoir le plaisir et de prévenir la douleur.
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Une constitution démocratique, non soutenue par des institutions démocratiques dans le détail, mais confinée au gouvernement central, non seulement n'est pas une liberté politique, mais crée souvent un esprit exactement inverse, portant jusqu'au niveau le plus bas de la société le désir et l'ambition de la domination politique.
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Un homme qui n'a rien pour lequel il est prêt à se battre, rien qui soit plus important que sa propre sécurité, est une créature misérable et n'a aucune chance d'être libre, à moins qu'il ne le devienne et le reste grâce aux efforts d'hommes meilleurs que lui.
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Les actions sont justes dans la mesure où elles tendent à promouvoir le bonheur ; mal car ils tendent à produire l'inverse du bonheur. Par bonheur, on entend le plaisir et l'absence de douleur.
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Un grand homme d'État est celui qui sait quand s'écarter des traditions, aussi bien que quand y adhérer.
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Une éducation générale de l'État n'est qu'un artifice pour former les gens exactement les uns pour les autres, et comme le moule dans lequel elle les moule est celui qui plaît au pouvoir dominant dans le gouvernement.
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Un homme qui n'a rien pour lequel il est prêt à se battre, rien qui soit plus important que sa propre sécurité, est une créature misérable et n'a aucune chance d'être libre, à moins qu'il ne le devienne et le reste grâce aux efforts d'hommes meilleurs que lui.
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Un peuple chez qui il n'y a pas d'habitude d'action spontanée pour un intérêt collectif - qui compte habituellement sur son gouvernement pour le commander ou le pousser dans toutes les affaires d'intérêt commun - qui s'attend à ce que tout soit fait pour lui, sauf ce qui peut être fait une affaire par simple habitude et routine - n'ont leurs facultés qu'à moitié développées ; leur éducation est défectueuse dans une de ses branches les plus importantes.
@johnStuartMill
Un esprit cultivé est un esprit auquel les sources de la connaissance ont été ouvertes et qui a appris, dans une mesure acceptable, à exercer ses facultés.
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Un homme qui n'a rien pour lequel il est prêt à se battre, rien qui soit plus important que sa propre sécurité, est une créature misérable et n'a aucune chance d'être libre, à moins qu'il ne le devienne et le reste grâce aux efforts d'hommes meilleurs que lui.
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[Je me suis posé directement la question : "Supposez que tous vos objectifs dans la vie soient réalisés, que tous les changements d'institutions et d'opinions que vous attendez avec impatience puissent être complètement effectués à l'instant même : est-ce que ce serait une grande joie et un grand bonheur pour vous ?" Et une irrépressible conscience de soi répondit distinctement : "Non !
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Un parti de l'ordre ou de la stabilité et un parti du progrès ou de la réforme sont tous deux des éléments nécessaires à une vie politique saine.
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Un homme qui n'a rien pour lequel il est prêt à se battre, rien qui soit plus important que sa propre sécurité, est une créature misérable et n'a aucune chance d'être libre, à moins qu'il ne le devienne et le reste grâce aux efforts d'hommes meilleurs que lui.