John Walford
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@johnWalford
Au-delà du désintérêt omniprésent pour les arts visuels parmi la communauté protestante, le problème de base réside dans le fait que le monde de l'art rejette pour plusieurs motifs qui est en quelque sorte explicitement chrétien dans le contenu et hausse également les épaules comme naïf espoir ou optimisme dans les perspectives.
@johnWalford
Le Christ, comme l'imago dei ultime est mentionné dans les Écritures comme étant sans beauté extérieure au sens classique, et devrait être considéré comme celui qui a traversé toute la boue et la boue d'une création déchue et pécheresse afin de la racheter. Son propre corps est à retenir pour les marques qu'elle porte - même dans la résurrection des cicatrices de sa mort sacrificielle. Pour le chrétien, une théorie de la beauté pourrait mieux commencer à ce stade.
@johnWalford
En termes grossièrement, on se retrouve avec un choix entre deux combinaisons insatisfaisantes: l'intégrité artistique mariée à un compromis spirituel; et l'intégrité spirituelle mariée à la banalité artistique - ou, pire, l'art compromis sur les deux chefs d'accusation. Aucun des deux ne satisfera ceux qui reconnaissent la nécessité fondamentale de l'intégrité dans la foi et l'art.
@johnWalford
La beauté, par conséquent, pour l'artiste moderne et postmoderne est devenue une métaphore très douteuse pour un système de croyances discrédité.
@johnWalford
La rédemption en Christ devrait donner aux doués artistiquement non seulement une nouvelle orientation et un nouveau sens du but, mais aussi une nouvelle vision de la réalité, voyant le monde à travers les yeux de la foi, regardant la condition humaine à travers les yeux du Christ.
@johnWalford
La beauté, par conséquent, pour l'artiste moderne et postmoderne est devenue une métaphore très douteuse pour un système de croyances discrédité.
@johnWalford
Le postmodernisme n'a pas surmonté les problèmes du modernisme, mais les a seulement aggravés avec une dose de cynisme, de relativisme et d'indifférence.
@johnWalford
Dans la mesure où la mission du Christ était de mettre toutes choses à soumettre à Dieu et de restaurer non seulement l'humanité, mais aussi la création entière à ses fins, de rendre droit ce qui est tordu et de racheter à la fois l'humanité et la création de la Malédiction du péché, ici peut être trouvée la possibilité d'une réalisation complète et saine de l'activité artistique humaine.
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Le Christ, comme l'imago dei ultime est mentionné dans les Écritures comme étant sans beauté extérieure au sens classique, et devrait être considéré comme celui qui a traversé toute la boue et la boue d'une création déchue et pécheresse afin de la racheter. Son propre corps est à retenir pour les marques qu'elle porte - même dans la résurrection des cicatrices de sa mort sacrificielle. Pour le chrétien, une théorie de la beauté pourrait mieux commencer à ce stade.
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Ce serait une surveillance sérieuse pour limiter notre compréhension de l'impact de la théologie à l'art strictement religieux, et négliger son rôle omniprésent dans la façonnent la compréhension humaine et l'expression artistique de celles-ci dans une culture donnée sans celle du sujet.
@johnWalford
Begbie offre une contribution précieuse supplémentaire en rejetant l'accent traditionnel sur la beauté, dans son sens platonique, et suggérant plutôt que la beauté soit reconçue en termes christologiques - en tant que trouble racheté.
@johnWalford
Dans cette même tradition, la beauté est inextricablement liée aux principes de l'ordre et de l'harmonie qui sous-tendent le cosmos. Les artistes de la tradition classique, inspirés de l'idéalisme platonique, s'efforcent de créer des images qui ne représentaient pas le monde des détails avec tous ses défauts mais une image idéale conçue dans l'esprit, qui a été considérée comme représentant une forme absolue, pure et idéale de quelles formes matérielles particulières ne sont qu'une simple ombre.
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Dans la mesure où la mission du Christ était de mettre toutes choses à soumettre à Dieu et de restaurer non seulement l'humanité, mais aussi la création entière à ses fins, de rendre droit ce qui est tordu et de racheter à la fois l'humanité et la création de la Malédiction du péché, ici peut être trouvée la possibilité d'une réalisation complète et saine de l'activité artistique humaine.
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Qui est son public, le monde de l'art professionnel spirituellement hostile ou le voisin chrétien visuellement insensible?
@johnWalford
Dans la tradition classique, dérivant de la Grèce antique et de Rome, la beauté était perçue comme le moyen par lequel l'artiste a capturé l'œil du spectateur afin d'engager le spectateur avec la vérité et ainsi d'inspirer la bonté.
@johnWalford
Le narcissisme et le christianisme ont peu en commun, mais le paradigme romantique de la créativité artistique, en particulier à la lumière des idées freudiennes ultérieures, a eu tendance à favoriser sa part du narcissisme. C'était le sort tragique de Narcisse qu'il était si préoccupé par le soi qu'il ne pouvait pas apprécier Dieu, la nature ou l'autre.
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En termes grossièrement, on se retrouve avec un choix entre deux combinaisons insatisfaisantes: l'intégrité artistique mariée à un compromis spirituel; et l'intégrité spirituelle mariée à la banalité artistique - ou, pire, l'art compromis sur les deux chefs d'accusation. Aucun des deux ne satisfera ceux qui reconnaissent la nécessité fondamentale de l'intégrité dans la foi et l'art.
@johnWalford
La publicité, la télévision et le cinéma exercent tous de puissants pouvoirs pour nous séduire visuellement, tandis que de nombreux beaux-arts nous laissent indifférents, confus ou, au pire, repoussés. Il y a un besoin désespéré pour les chrétiens créatifs de racheter l'arène visuelle des deux formes d'excès, en coupant à travers tout le faux glamour, la bassesse vulgaire et l'obscurcissement dense.
@johnWalford
Au-delà d'un public étroit et d'élite, il y a un sens omniprésent du côté du public que beaucoup d'art contemporain ne se connecte pas - un échec pas évident au cours des siècles de l'art antérieur.
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Au-delà du désintérêt omniprésent pour les arts visuels parmi la communauté protestante, le problème de base réside dans le fait que le monde de l'art rejette pour plusieurs motifs qui est en quelque sorte explicitement chrétien dans le contenu et hausse également les épaules comme naïf espoir ou optimisme dans les perspectives.
@johnWalford
L'effet cumulatif de la théorie romantique de la créativité, telle que jouée dans le contexte de la croyance en la vertu de l'avant-garde, est que si le monde de l'art s'est effectivement libéré de la tyrannie de la tradition artistique et de son système de patronage historique, il a fini par habiller une non-pertinence autonome mais perçue.
@johnWalford
La publicité, la télévision et le cinéma exercent tous de puissants pouvoirs pour nous séduire visuellement, tandis que de nombreux beaux-arts nous laissent indifférents, confus ou, au pire, repoussés. Il y a un besoin désespéré pour les chrétiens créatifs de racheter l'arène visuelle des deux formes d'excès, en coupant à travers tout le faux glamour, la bassesse vulgaire et l'obscurcissement dense.
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Dans cette même tradition, la beauté est inextricablement liée aux principes de l'ordre et de l'harmonie qui sous-tendent le cosmos. Les artistes de la tradition classique, inspirés de l'idéalisme platonique, s'efforcent de créer des images qui ne représentaient pas le monde des détails avec tous ses défauts mais une image idéale conçue dans l'esprit, qui a été considérée comme représentant une forme absolue, pure et idéale de quelles formes matérielles particulières ne sont qu'une simple ombre.
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L'effet cumulatif de la théorie romantique de la créativité, telle que jouée dans le contexte de la croyance en la vertu de l'avant-garde, est que si le monde de l'art s'est effectivement libéré de la tyrannie de la tradition artistique et de son système de patronage historique, il a fini par habiller une non-pertinence autonome mais perçue.
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L'effet cumulatif de la théorie romantique de la créativité, telle que jouée dans le contexte de la croyance en la vertu de l'avant-garde, est que si le monde de l'art s'est effectivement libéré de la tyrannie de la tradition artistique et de son système de patronage historique, il a fini par habiller une non-pertinence autonome mais perçue.
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En termes grossièrement, on se retrouve avec un choix entre deux combinaisons insatisfaisantes: l'intégrité artistique mariée à un compromis spirituel; et l'intégrité spirituelle mariée à la banalité artistique - ou, pire, l'art compromis sur les deux chefs d'accusation. Aucun des deux ne satisfera ceux qui reconnaissent la nécessité fondamentale de l'intégrité dans la foi et l'art.
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En termes grossièrement, on se retrouve avec un choix entre deux combinaisons insatisfaisantes: l'intégrité artistique mariée à un compromis spirituel; et l'intégrité spirituelle mariée à la banalité artistique - ou, pire, l'art compromis sur les deux chefs d'accusation. Aucun des deux ne satisfera ceux qui reconnaissent la nécessité fondamentale de l'intégrité dans la foi et l'art.
@johnWalford
En ce qui concerne le stimulus des arts visuels spécifiquement, il y a aujourd'hui dans la plupart d'entre nous un appétit visuel qui a faim, qui est sous-alimenté. On pourrait aller jusqu'à dire que les protestants en particulier souffrent d'une forme d'anorexie visuelle. Ce n'est pas qu'il y a un manque de stimuli visuels, mais plutôt un manque de plus grandeté de la forme et du contenu au milieu de la surcharge sensorielle tout pervasive.