Voilà un Lawrence Block en grande forme ! Après Le Cambrioleur en maraude, dans lequel il nous racontait les dernières et follissimes aventures du bouquiniste-cambrioleur Bernie Rhodenbarr, Block revient au personnage de Matt Scudder, dont la série fit et fait encore sa fortune.
Matt Scudder, qui n'est plus tout jeune, pense souvent à la mort, - la sienne et celle de nombre de personnages qu'il a côtoyés dans sa vie de flic alcoolique, puis de privé passablement hors norme - lorsqu'une de ses relations, Louise, lui demande d'enquêter sur l'amant qu'elle a découvert par Internet. Si cet homme lui plaît en effet beaucoup, il n'en reste pas moins inaccessible. Pas moyen d'aller chez lui (il ne lui a pas donné son adresse), ni de savoir véritablement ce qu'il fait. Intrigué par ce cas de figure, Matt décide d'enquêter avec l'aide de son fidèle ami, T.J.
Pendant ce temps, un tueur en série du nom de Preston Applewhite attend la mort dans une prison de Virginie. Il a toujours clamé son innocence, mais les preuves retenues contre lui étaient tellement accablantes que le jury l'a condamné à la peine capitale en moins d'une heure. Intéressé par ce que pourrait lui dire cet homme, un psychologue décide d'aller lui rendre visite quelques jours avant l'exécution. Son plan est simple : il fera semblant de croire aux dénégations du condamné et, en lui inspirant ainsi confiance, pourra obtenir des révélations intéressantes. Et c'est bien ce qui se passe jusqu'au jour où, le psychologue assistant à l'exécution, Preston Applewhite reçoit la piqûre fatale.
Matt Scudder, qui n'a pas d'opinion tranchée sur la peine de mort et son côté dissuasif, hormis le fait que, bien sûr, elle empêche l'assassin de recommencer, poursuit son enquête sur l'amant inconnu, malheureusement pour lui, sans grand résultat.
A ceci près que pas mal de gens commencent à mourir autour de lui et que, très vite, il sent que sa vie et celle de sa compagne Elaine sont en danger. Renoncer ? Pas question. Matt Scudder n'est pas de ceux qui renoncent.

Les fleurs meurent aussi

C'est à une réunion des Alcooliques Anonymes que Matt Scudder et Jack Ellery se retrouvent en 1980. Enfants, ils rêvaient d'être flics, mais seul Matt l'est devenu, Jack  ayant à l'inverse effectué  plusieurs séjours en prison pendant ce temps.  Huit mois passent. Scudder retrouve , qui ne boit toujours plus mais présente un visage tuméfié. Puis plus de nouvelles, jusqu'au jour où Gregory Stillman, le parrain AA de Jack, lui apprend que ce dernier a été assassiné et que, dans un écrit, il a raconté tous ses crimes, de sang pour certains.
Que faire ? Transmettre cette confession aux flics enquêtant sur le meurtre pour qu'ils aillent questionner des gens qui n'ont rien à voir avec cette histoire ou la cacher et courir le risque de laisser filer un assassin ? Scudder prend les choses en mains et de fil en aiguille, non seulement découvre la solution, mais aussi - et c'est ce qui fait toute la beauté de ce grand livre plein de nostalgie -, retrouve tous les carrefours de sa propre existence.

Entre deux verres

Keller is a regular guy. He goes to the movies, works on his stamp collection. Call him for jury duty and he serves without complaint. Then every so often he gets a phone call from White Plains that sends him flying off somewhere to kill a perfect stranger. Keller is a pro and very good at what he does. But the jobs have started to go wrong. The realization is slow coming yet, when it arrives, it is irrefutable: Someone out there is trying to hit the hit man. Keller, God help him, has found his way onto somebody else's hit list.

Hit List

Evan Tanner can't sleep. Ever. Which gives him plenty of free time to get involved in lots of interesting endeavors in all sorts of exotic locales. Now Tanner's in Thailand with a partially baked plan and a butterfly net, hoping to snare a beautiful missing chanteuse who's metamorphosed into an international jewel thief. Tanner hopes everyone will buy his disguise as a rare butterfly researcher. And everyone does .

The Scoreless Thai

En appeler à la justice populaire est dangereux, matt scudder le comprend un soir en recevant un coup de fil d'un grand avocat de new york, adrian whitfeld.
 Pour avoir évité la peine capitale à un assassin d'enfants, celui-ci vient en effet d'être " condamné à mort" par un certain will, " la volonté du peuple ", terrible justicier qui exécute ses victimes après leur avoir signifié leur sentence dans les colonnes du daily news, journal à sensation oú sévit le célèbre marty mcgraw.  sceptique au début, scudder conseille à whitfield d'engager des gardes du corps, puis, intrigué par l'attitude de l'avocat, finit par accepter le combat avec will.

Même les scélérats...

Quand Kenan Khoury reçoit un coup de fil anonyme exigeant une rançon s'il veut revoir sa femme en vie, il n'hésite pas une seconde à payer. Mais c'est dans le coffre d'une voiture et sous forme de pièces détachées sanguinolentes que notre homme la retrouve. Le problème est que Khoury, dealer notoire de Brooklyn, veut rester loin du regard de la police. C'est donc tout naturellement qu'il fait appel au célèbre détective privé et ancien flic alcoolique Matt Scudder. À l'aide d'acolytes hauts en couleur comme Manhattan en regorge - un apprenti rappeur, de jeunes hackers, sans oublier la belle Elaine -, Matt se jette corps et âme dans une enquête qui fait rapidement surgir de nouvelles pièces d'un puzzle macabre, bien plus complexe que prévu. Et lorsqu'une autre femme disparaît, c'est une course contre la mort qui s'engage.

Balades entre les tombes

A l'heure du numérique, difficile de gagner sa vie avec une modeste boutique de livres anciens et d'occasion sur la 11e Rue Est de New York... Heureusement, Bernie Rhodenbarr a d'autres atouts dans sa manche. Cambrioleur chevronné, on fait souvent plus volontiers appel à lui pour ses talents de crocheteur de serrures que pour ceux de bouquiniste. Mais lorsque u M. Smith n, un mystérieux collectionneur, lui propose une petite fortune pour plusieurs vols (incluant aussi bien le manuscrit de L'Etrange Histoire de Benjamin Button de F. Scott Fitzgerald que d'inestimables cuillères en argent), Bernie ignore dans quelle histoire improbable il met les pieds. Car, pendant ce temps, une riche vieille dame a été retrouvée morte à son domicile, apparemment terrassée par une attaque lors d'un cambriolage qui aurait mal tourné. Toutefois les raisons de son décès ne sont pas si évidentes, et l'expertise de Bernie est également requise par son meilleur ennemi, le policier Ray Kirschmann, afin de l'aider dans son enquête... Voleur rémunéré et détective amateur, notre (anti-)héros trouve en outre des messages rageurs sur la porte de la librairie qu'il est bien obligé de délaisser... Y aurait-il encore des gens qui lisent ?

Le voleur qui comptait les cuillères

"Byrne e Susan Hollander fanno una bella vita. Lui è un avvocato, lei una scrittrice. La loro casa di pietra a Manhattan, che vale tre milioni di dollari, è a due passi dal Lincoln Center. E lì, in quella particolare notte, assistono a un concerto di beneficenza. Dopo il concerto tornano a casa a piedi. E qua termina la loro bella vita. Interrompono un furto in corso nella loro casa e vengono uccisi dai delinquenti. Dopo pochi giorni, la polizia trova i due colpevoli, entrambi morti, apparentemente per omicidio-suicidio. Caso ufficialmente chiuso. Ma, non ufficialmente, Matt Scudder si interessa alla vicenda quando la figlia degli Hollander lo assume per esplorare la possibilità che vi sia coinvolta una terza persona. Gli indizi sono tenui, per la maggior parte circostanziali, ma Scudder segue il suo istinto, affinato da quarant'anni di indagini nella polizia. "Block, che scrive best-seller e raccoglie premi nella stessa misura, segue la maggior parte delle formule del genere poliziesco, eppure riesce a portarvi una profondità e una potenza rare. Scudder, comparso nei primi romanzi come un ex poliziotto alcolizzato che si crogiola nell'autocommiserazione, si è evoluto in un consapevole osservatore della vita moderna, sobrio e a volte cupo. I delitti nei romanzi di Scudder sono il mezzo per portarci negli angoli più bui dell'esperienza umana. Con Matt Scudder come guida, emergiamo da queste visite nel lato oscuro della vita un po' più timorosi, ma sempre arricchiti dall'esperienza." ~Wes Lukowsky in Booklist#"Questo è il quindicesimo romanzo in venticinque anni che ha per protagonista Matthew Scudder, e i lettori della serie noir di Block sanno che cosa aspettarsi. C'è tutto: una perfetta rappresentazione di luoghi, suoni e odori di New York; visite alle riunioni degli Alcoolisti Anonimi nei seminterrati delle chiese; il bar di Mick Ballou, e i personaggi fissi, come Ballou; TJ, il giovane ragazzo di strada, ed Elaine, l'influenza civilizzatrice. "In questa ultima vicenda, Matt ed Elaine assistono a un concerto di beneficenza al Lincoln Center. Allo stesso concerto vi è una coppia che poco dopo viene uccisa nel proprio appartamento dell'Upper West Side. Successivamente, i due assassini sono essi stessi trovati morti a Brooklyn. "Senza che nessuno glielo abbia veramente chiesto, e non avendo di meglio da fare, Scudder inizia a interessarsi a questo caso, e l'intera vicenda si chiarisce davanti ai suoi occhi, fino alla sconcertante conclusione. Ogni tanto, la voce narrante del capitolo è quella del vero assassino, il che aggiunge un elemento intrigante. Ma chi cerca un'azione mozzafiato non la troverà. Lo stile è rilassato, e i personaggi e le pedine del gioco sono importanti tanto quanto la trama. "Raccomandato, in particolare per le biblioteche pubbliche, dove verrà sicuramente richiesto dai lettori." ~Fred Gervat in Library Journal

Spera di Morire - Matthew Scudder, #15

Cendrillon, mon amour

THIRTY, as intensely erotic a book as I'd ever written, is what happened after I stopped writing erotica. Beginning with CARLA in 1958, I spent half a dozen years laboring in the vineyards of Midcentury Erotica, writing no end of books for Midwood, Nightstand, Beacon, et.al. It was a wonderful training ground, a comfortingly forgiving medium, and I've never regretted the timer I spent there, although for a time I wanted to disown the work I produced. (That changed with the passage of time, and now I've been eagerly reissuing much of that early work in my Collection of Classic Erotica. I like to tell myself this represents great progress in self-acceptance, but I have a hunch Ego and Avarice play a role here.)Never mind. I went on writing for Bill Hamling's Nightstand Books until a break with my agent deprived me of the market, and I can't regret that, either, because it's safe to say I'd stayed too long at the fair, and would have stayed longer still if given the chance. Instead, I took a job editing a numismatic magazine in Wisconsin and went on writing fiction in my free time. I placed some stories with Alfred Hitchcock's Mystery Magazine and THE GIRL WITH THE LONG GREEN HEART with Gold Medal, and then I wrote THE THIEF WHO COULDN'T SLEEP, which turned out to be the first of a series about a fellow named Evan Tanner. This was the first book in a voice that was uniquely mine, and the most satisfying work I'd ever done. I went on to write a total of seven books about Tanner (an eighth would follow after a 28-year interval) along with a couple of other crime novels, and then one day I got a call from my agent, Henry Morrison. Berkley Books wanted to launch a line of erotic novels, but on a different level from the old Midwood/Nightstand/Beacon ilk. It was 1968, censorship had essentially vanished, and American letters from top to bottom was embracing the sexual revolution and the new freedom. As Cole Porter might have put it, some authors who'd once been stuck with better words were now free to use four-letter words. Meanwhile, I was going through a period of discontent with the whole notion of fiction. I had nothing against the idea of making things up, but the artificiality of the novel suddenly rubbed me the wrong way. Narration, whether first person or third person, was a weird voice in one's ear. Who are you? Why are you telling me this? And why should I believe you?What appealed more were books that presented themselves as documents. Fictional diaries, fictional collections of letters, whatever. Yes, of course they were novels, we knew they were novels, but they took the form of actual documents. Thus THIRTY, which would be a diary kept by a woman in her thirtieth year. I had just reached that age myself, and while I recognized it as a landmark, it seemed to me that turning thirty was rather a bigger deal for a woman than for a man, that it was very much a turning point. So I plunged in, and I strove throughout to write what Jan would have written in an actual diary, leaving things out, skipping days altogether, and letting characters come into and go out of her life, and events pile one on the other, the way they really do, with less pattern and logic than one typically demands of fiction. I just read the book prefatory to writing this book description, and I was surprised how much I liked it. (And how little of it I recalled.) I decided from the jump to put Jill Emerson's name on it, a name I'd shelved after WARM AND WILLING and ENOUGH OF SORROW. So Jill was back in business, and she'd go on to write two more books for Berkley's sexy series, both of them pseudo-documents like THIRTY. This ebook edition of THIRTY contains, as a bonus, the first chapter of the fifth Jill Emerson novel, THREESOME.

Thirty

«Mon patron est un amateur qui se prend pour un détective de génie. Et le pire, c'est que c'est vrai. Témoin, cette histoire de poissons empoisonnés et de strip-teaseuse rectifiée, semblait-il, par une sarbacane à fléchette enduite d'un truc sévèrement dangereux. Mais... lisez plutôt.»

L'aquarium aux sirènes

DER EINBRECHER, DER WIE MONDRIAN MALTE »Der umtriebige Lawrence Block jongliert fast gleichzeitig mehrere Serien und wendet sich inDer Einbrecher, der wie Mondrian malte einmal mehr Bernie Rhodenbarr zu. Bernie ist derEinbrecher des Titels - und einer der geschicktesten in New York. Doch trotz seines Geschicksgerät er unverschuldet immer wieder in Schwierigkeiten. Es ist, als würden die wuchtigenSchläge des Golfers Jack Nicklaus ein ums andere Mal in einem Erdhörnchenloch auf demFairway landen. Der Kater von Bernies Freundin wird entführt und die Täter verlangen zunächst eineViertelmillion Dollar Lösegeld. Für einen Kater? Es stellt sich heraus, dass Bernie für dieBefreiung des Tiers einen Mondrian stehlen soll. Bevor ihm das gelingt, gerät er unterMordverdacht, und schließlich kommt es zu einer schönen, altmodischen Konfrontation, bei derBernie all die üblichen Verdächtigen und die Polizei versammelt, damit sie unserem Heldendabei zuzusehen, wie er etwas aus dem Nichts herbeizaubert. Versuchen Sie nicht, die Handlungim Detail nachzuverfolgen, das wird Sie nur verwirren. Aber der Schreibstil ist brillant undraffiniert, mit einem Hauch von Donald Westlake, und das Buch macht eine Menge Spaß.« ~ Newgate Callendar in The New York Times »Im fünften Bernie-Rhodenbarr-Krimi bekommen wir es mit seinem bisher kompliziertesten Fallzu tun. Bernie sucht einen Mr. Onderdonk auf, der ein abstraktes Gemälde von Mondrian imWert von einer Viertelmillion Dollar über dem Kamin hängen hat. Das ist aber zunächst ehernebensächlich, denn Bernies eigentlicher Grund für den Besuch war, in das Gebäude zukommen, um dort teure Briefmarken aus einer anderen Wohnung zu stehlen. Am nächsten Tagwird der Kater seiner Freundin Carolyn entführt und die mysteriöse Frau, die dafürverantwortlich ist, will, dass Bernie einen ähnlichen Mondrian aus einem New Yorker Museumstiehlt. Bernie findet keine Möglichkeit, dies zu tun, und beschließt, dass das Gemälde inOnderdonks Wohnung ein angemessener Ersatz wäre. Also bricht er dort ein, nur umfestzustellen, dass das Gemälde mittlerweile von jemand anderem gestohlen wurde. Verwirrend? Das ist nur der Anfang. In dieser verwickelten Geschichte gibt es ungefähr so vieleMondrians wie Carolyns unglückseliger Kater Leben hat. Dazu kommen noch eineBriefmarkensammlung, zwei Leichen, ein exzentrischer Maler, ein auf Bibliothekenspezialisierter Bücherdieb, ein korrupter Polizist, ein Versicherungsbetrug und drei attraktiveFrauen mit falschen Identitäten. Außerdem muss sich Bernie nicht weniger als viermal unerlaubt Zutritt zum uneinnehmbarstenWohngebäude von New York City verschaffen ... oder fünfmal? Ehrlich gesagt, mir ging derÜberblick verloren. Als ich das Ende las, dachte ich zuerst, ich hätte einige Lücken in der Handlung entdeckt, abernachdem ich einige der wichtigen Kapitel noch einmal durchgegangen war, wurde mir klar, dassBlock alle losen Enden perfekt zusammengefügt hat. Was ein ziemliches Kunststück darstellt.« ~ Craig Childs

Der Einbrecher, der wie Mondrian malte - Bernie Rhodenbarr, #5

In the era before he created moody private investigator Matthew Scudder, burglar Bernie Rhodenbarr, sleepless spy Evan Tanner, and the amiable hit man Keller-and years before his first Edgar Award-a young writer named Lawrence Block submitted a story titled "You Can't Lose" to Manhunt magazine. It was published, and the rest is history. One Night Stands and Lost Weekends is a sterling collection of short crime fiction and suspense novelettes penned between 1958 and 1962 by a budding young master and soon-to-be Grand Master-an essential slice of genre history, and more fun than a high-speed police chase following a bank job gone bad.

One Night Stands and Lost Weekends

Et revoici notre ami Matt Scudder, le privé ex-ivrogne. Cette fois, un épisode terrible du passé ressurgit : un certain Motley, tueur sadique, dingue et nécrophile, que jadis Matt a fait condamner par un faux témoignage, est sorti de prison. En Ohio, il massacre toute une famille, dont une fille, ex-call-girl, amie d'Elaine, la petite copine de Matt. Lequel comprend que le tueur s'attaque à tous les proches d'Elaine, et à elle aussi, pour se venger de Matt. D'où s'ensuivent cavalcades, bagarres et tortures.

Un ticket pour la morgue

Lawrence Block, né le 24 juin 1938 à Buffalo (New York), est un écrivain américain de roman policier.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Lawrence_Block

Livres