Sandor Màrai
@sandorMarai
Il faut endurer la trahison et la déloyauté et, le plus dur de tous, l'excellence d'une autre personne de caractère ou d'intellect
Sandor Màrai
Auteur
Sándor Márai, né Sándor Grosschmid de Mára (márai Grosschmid Sándor Károly Henrik en hongrois) le 11 avril 1900 à Kassa, qui fait alors partie du Royaume de Hongrie dans l'Empire austro-hongrois (aujourd'hui Košice, en Slovaquie), et mort le 22 février 1989 à San Diego, aux États-Unis, est un écrivain et journaliste hongrois.
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Citations
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Les hommes ne sont jamais aussi dangereux que quand ils se vengent des crimes qu'il ont commis eux-mêmes.
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Non, le secret est qu'il n'y a pas de récompense et que nous devons supporter nos personnages et nos natures du mieux que nous pouvons, car aucune expérience ou perspicacité ne va rectifier nos carences, notre auto-celle-ci ou notre cupidité. Nous devons apprendre que nos désirs ne trouvent aucun écho réel dans le monde. Nous devons accepter que les gens que nous aimons ne nous aiment pas, ou non dans la façon dont nous espérons. Nous devons accepter la trahison et la déloyauté, et, le plus dur de tous, que quelqu'un est plus fin que dans le caractère ou l'intelligence.
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Tout ce que vos élèves doivent savoir sur la philosophie communiquée d'une manière qui leur plaît, ainsi que d'inspirer beaucoup d'entre eux à l'étude de la philosophie.
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Et je t'attendais, parce que je ne pouvais rien faire d'autre. Et nous savions tous les deux que nous nous reverrions, et qu'ensuite ce serait fini avec la vie et tout ce qui donnait sens et tension à notre existence. Un secret du genre qui se cache entre nous deux a un pouvoir extraordinaire. Il brûle à travers le tissu de la vie comme un faisceau brûlant, et pourtant, en même temps, il lui donne également une résistance à la traction. Il nous oblige à vivre.
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Et pourtant, parfois, les faits ne sont que des conséquences pitoyables, car la culpabilité ne réside pas dans nos actes mais dans les intentions qui donnent naissance à notre acte. Tout tourne sur nos intentions.
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Privées de paroles, les choses restent muettes, et d'autant plus graves et dangereuses. Parler, crier, pleurer apporte toujours un soulagement.
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Que la vie nous retrouve coupables ou non coupables, nous savons nous-mêmes que nous ne sommes pas innocents.
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Elle a dit qu'elle n'avait jamais voulu avoir des secrets de moi ni d'elle-même, c'est pourquoi elle voulait écrire tout ce dont autrement serait difficile à parler. Comme je l'ai dit, plus tard, j'ai compris que quelqu'un qui s'enfuit en honnêteté comme ça craint quelque chose, craint que sa vie ne se remplisse de quelque chose qui ne peut plus être partagé, un véritable secret, indescriptible, non stimulable.
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Vienne, pour moi, c'était la fourche de réglage pour le monde entier. Dire le mot Vienne, c'était comme frapper une fourche de tuning et écouter pour trouver le ton qu'il a appelé chez la personne à qui je parlais. C'était ainsi que j'ai testé les gens. S'il n'y avait pas de réponse, ce n'était pas le genre de personne que j'aimais. Vienne n'était pas seulement une ville, c'était un ton que l'un de l'autre porte pour toujours dans son âme ou non. C'était la plus belle chose de ma vie. J'étais pauvre, mais je n'étais pas seul, parce que j'avais un ami.
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J'ai commencé à penser que les grands moments décisifs qui régissent largement nos vies sont beaucoup moins conscients à l'époque qu'ils ne le semblent plus tard lorsque nous nous souvenons et faisons le point.
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Elle a dit qu'elle n'avait jamais voulu avoir des secrets de moi ni d'elle-même, c'est pourquoi elle voulait écrire tout ce dont autrement serait difficile à parler. Comme je l'ai dit, plus tard, j'ai compris que quelqu'un qui s'enfuit en honnêteté comme ça craint quelque chose, craint que sa vie ne se remplisse de quelque chose qui ne peut plus être partagé, un véritable secret, indescriptible, non stimulable.
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Et je t'attendais, parce que je ne pouvais rien faire d'autre. Et nous savions tous les deux que nous nous reverrions, et qu'ensuite ce serait fini avec la vie et tout ce qui donnait sens et tension à notre existence. Un secret du genre qui se cache entre nous deux a un pouvoir extraordinaire. Il brûle à travers le tissu de la vie comme un faisceau brûlant, et pourtant, en même temps, il lui donne également une résistance à la traction. Il nous oblige à vivre.
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Vienne, pour moi, c'était la fourche de réglage pour le monde entier. Dire le mot Vienne, c'était comme frapper une fourche de tuning et écouter pour trouver le ton qu'il a appelé chez la personne à qui je parlais. C'était ainsi que j'ai testé les gens. S'il n'y avait pas de réponse, ce n'était pas le genre de personne que j'aimais. Vienne n'était pas seulement une ville, c'était un ton que l'un de l'autre porte pour toujours dans son âme ou non. C'était la plus belle chose de ma vie. J'étais pauvre, mais je n'étais pas seul, parce que j'avais un ami.
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Le désintérêt n'est-il pas l'essence de chaque relation humaine?
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Vous aimeriez lire, mais en quelque sorte, la pluie pénètre dans le livre aussi; Pas littéralement, et pourtant c'est vraiment le cas, les lettres n'ont pas de sens, et tout ce que vous entendez, c'est la pluie. Vous aimeriez jouer du piano, mais la pluie vient s'asseoir aux côtés et jouer un accompagnement. Et puis le temps sec revient, c'est-à-dire qu'il y a de la vapeur et de la lumière vive. Les gens vieillissent rapidement.
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Il n'est pas vrai que le destin glisse silencieusement dans nos vies. Il passe par la porte que nous avons ouverte et nous l'invitons à entrer. Personne n'est assez fort ou assez rusé pour éviter par la parole ou le malheurs qui est enraciné dans les lois sur le fer de son caractère et de sa vie.
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Londres est un énorme désert pierreux: même l'ennui se sent sans fin là-bas.
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Le temps est un purgatoire qui a nettoyé toute la fureur de mes souvenirs.
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Nous devons tous nous réconcilier avec quoi et qui nous sommes, et reconnaître que cette sagesse ne nous fera aucun éloge, que la vie ne va pas nous épingler une médaille pour reconnaître et subir notre propre vanité ou notre égoïsme ou Baldeté ou notre potbelly.
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Il n'y a pas de douleur comme la douleur de savoir que vous aimez quelqu'un mais ne peut pas vivre avec lui.
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Et je t'attendais, parce que je ne pouvais rien faire d'autre. Et nous savions tous les deux que nous nous reverrions, et qu'ensuite ce serait fini avec la vie et tout ce qui donnait sens et tension à notre existence. Un secret du genre qui se cache entre nous deux a un pouvoir extraordinaire. Il brûle à travers le tissu de la vie comme un faisceau brûlant, et pourtant, en même temps, il lui donne également une résistance à la traction. Il nous oblige à vivre.
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