Stefan Zweig
Stefan Zweig (/ˈʃtɛ.fan t͡svaɪ̯k/), né le 28 novembre 1881 à Vienne en Autriche-Hongrie et mort le 22 février 1942 à Petrópolis au Brésil, est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. Ami de Sigmund Freud, Arthur Schnitzler, Romain Rolland, Richard Strauss, Émile Verhaeren, Stefan Zweig a fait partie de l'intelligentsia viennoise. Il quitte son pays natal en 1934, en raison de la montée du nazisme et de ses origines juives pour se réfugier à Londres, puis au Brésil où il se suicidera. Son œuvre est constituée essentiellement de biographies (Joseph Fouché, Marie-Antoinette, Marie Stuart), mais aussi de romans et de nouvelles (Amok, La Pitié dangereuse, La Confusion des sentiments, Le Joueur d'échecs). Dans son livre testament, Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen, Zweig se fait chroniqueur de cet « âge d'or » de l'Europe et analyse ce qu'il considère comme l'échec d'une civilisation.
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@stefanZweig
C'est une loi de vie que les êtres humains, même les génies parmi eux, ne sont pas fiers de leurs réalisations réelles, mais qu'ils veulent impressionner les autres, veulent être admirés et respectés en raison de choses d'importation et de valeur beaucoup plus faibles.
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Tel est bien le caractère étrange de la nature humaine que de s'adapter partout très vite et de se sentir chez soi même dans l'éphémère, comme si là était son bon droit.
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Dans la politique et dans la vie, les demi-mesures et les hypocrisies font toujours plus de mal que les décisions nettes et énergiques.
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Avec Nietzsche, le drapeau des Pirates noirs apparaît pour la première fois sur la haute mer de la connaissance allemande. (Il est) un homme différent, d'une race différente, (sien,) un nouveau type d'héroïsme, une philosophy avec des armes et des armures belliqueuses.
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Le destin se fraye un chemin vers le puissant et le violent. Avec l'obéissance subalterne, il supposera pendant des années la dépendance à un individu: César, Alexandre, Napoléon, car il aime l'être humain élémentaire qui grandit pour le ressembler, l'élément intangible. Parfois, et ce sont les moments les plus étonnants de l'histoire du monde, le fil du destin tombe entre les mains d'un numéro complet mais seulement pour une minute.
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La force d'un amour est toujours mal jugée si nous l'évaluons par sa cause immédiate et non le stress qui a été avant, l'espace sombre et creux plein de déception et de solitude qui précède tous les grands événements de l'histoire du cœur.
@stefanZweig
Il existe deux types de compassion. L'un - est léger et sentimental. En fait, ce n'est rien de plus que l'impatience du cœur, qui se dépêche de se débarrasser de cette sensation difficile lorsque vous voyez les souffrances des autres; Ce n'est pas une compassion, mais juste une volonté instinctive de vous défendre des malheurs des autres. Mais il y a une autre compassion - réelle, qui demande des actions, pas des sentiments, il sait ce qu'il veut, et il est plein de détermination de tout faire, ce qui est dans le pouvoir humain et même au-delà.
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Le coutume n'a pas de problèmes à moins que la robe ne se cache plutôt que de révéler.
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La douleur est un lâche. Il s'enfuit face à la puissance irrésistible de la volonté de vivre, qui est plus fortement enracinée dans la chair que la passion la plus intense est enracinée dans l'esprit.
@stefanZweig
Les âges héroïques ne sont pas et n'ont jamais été sentimentaux et les conquistadores audacieux qui ont conquis des mondes entiers pour leur Espagne ou le Portugal ont reçu peu de remerciements de leurs rois.
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Il existe deux types de compassion. L'un - est léger et sentimental. En fait, ce n'est rien de plus que l'impatience du cœur, qui se dépêche de se débarrasser de cette sensation difficile lorsque vous voyez les souffrances des autres; Ce n'est pas une compassion, mais juste une volonté instinctive de vous défendre des malheurs des autres. Mais il y a une autre compassion - réelle, qui demande des actions, pas des sentiments, il sait ce qu'il veut, et il est plein de détermination de tout faire, ce qui est dans le pouvoir humain et même au-delà.
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C'est toujours la passion qui dévoile à une femme son caractère, c'est toujours dans l'amour et dans la douleur qu'elle atteint sa véritable mesure.
@stefanZweig
Il est préférable de rendre hommage à l'or à l'ennemi que d'hommage du sang dans la guerre.
@stefanZweig
Entendre, se voir mutuellement, l'humanité d'un bout à l'autre de la terre à l'autre vit maintenant simultanément, omniprésent comme un dieu grâce à sa propre capacité créative. Et, grâce à sa victoire sur l'espace et le temps, il serait désormais magnifiquement uni pour toujours, s'il n'était pas confus encore et encore par cette illusion mortelle qui fait que l'humanité continue de détruire cette unité grandiose et de se détruire avec le même Ressources qui lui ont donné le pouvoir sur les éléments.
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La vie est futile à moins qu'elle ne soit dirigée vers un objectif défini.
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Les postes importants sont dangereux pour des hommes moyennement doués ; quand on doit se dépasser soi-même, cela transforme le caractère.
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J'avais appris et écrit trop d'histoire pour ne pas savoir que les grandes masses réagissaient toujours et à la fois à la force de la gravité en direction des pouvoirs en place. Je savais que les mêmes voix qui criaient "Heil Schuschnigg" aujourd'hui tonnerait "Heil Hitler" demain.
@stefanZweig
La transformation de l'impossible en réalité est toujours la marque d'une volonté démoniaque. La seule façon de reconnaître un génie militaire est par le fait que, pendant la guerre, il se moquera des règles de la guerre et utilisera l'improvisation créative au lieu de méthodes testées et il le fera au bon moment.
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Elle a été à cet âge crucial où une femme commence à regretter d'être restée fidèle à un mari qu'elle n'a jamais vraiment aimé, lorsque les couleurs brillantes du coucher du soleil de sa beauté lui offrent un dernier choix urgent entre l'amour maternel et féminin. À un moment tel qu'une vie qui semblait avoir choisi son cours il y a longtemps est à nouveau remise en question, pour la dernière fois l'aiguille magique de la boussole du volonté entre la démission finale et l'espoir d'une expérience érotique.
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On ne fait que des livres afin de rester en contact avec ses camarades après avoir cessé de respirer, et donc de se défendre contre le sort inexorable de tout ce qui vit - transitoire et oubli.
@stefanZweig
Il y a une limite inhérente à la contrainte que tout matériau peut supporter. L'eau a son point d'ébullition, les métaux de leurs points de fusion. Les éléments de l'esprit se comportent de la même manière. Le bonheur peut atteindre un terrain si grand que tout autre bonheur ne peut pas être ressenti. La douleur, le désespoir, l'humiliation, le dégoût et la peur ne sont pas différents. Une fois le navire plein, le monde ne peut pas y ajouter.
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Avec Nietzsche, le drapeau des Pirates noirs apparaît pour la première fois sur la haute mer de la connaissance allemande. (Il est) un homme différent, d'une race différente, (sien,) un nouveau type d'héroïsme, une philosophy avec des armes et des armures belliqueuses.
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Les âges héroïques ne sont pas et n'ont jamais été sentimentaux et les conquistadores audacieux qui ont conquis des mondes entiers pour leur Espagne ou le Portugal ont reçu peu de remerciements de leurs rois.
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Rien n'aspire plus l'intelligence qu'une suspicion passionnée, rien ne développe plus toutes les facultés d'un esprit immature qu'un sentier qui s'enfuit dans l'obscurité.
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Quelque chose d'indéfini est toujours pire que quelque chose de défini, une peur forte qui ne dure pas très longtemps est plus facile que celle qui est nébuleuse mais qui ne disparaît pas.
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Chacun de nous, même le plus bas et le plus insignifiant d'entre nous, a été déraciné de son existence la plus intérieure par les bouleversements volcaniques presque constants visités sur notre sol européen et, comme l'un d'innombrables êtres humains, je ne peux pas revendiquer de place spéciale sauf à moi sauf moi-même sauf moi-même sauf moi-même sauf moi-même sauf moi-même sauf moi-même sauf moi-même sauf moi-même sauf moi-même sauf moi, sauf moi Que, en tant qu'autrichien, juif, écrivain, humaniste et pacifiste, j'ai toujours été précisément dans les endroits où les effets des coups étaient les plus violents.
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Il est préférable de rendre hommage à l'or à l'ennemi que d'hommage du sang dans la guerre.
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Nous vivons à travers des myriades de secondes, mais c'est toujours un, juste un, qui lance notre monde intérieur entier en turbulence, le second où (comme Stendhal l'a décrit) l'inflorescence interne, déjà imprégnée de tous les types de liquide, se condense et cristallise) - une seconde magique, comme le moment de la génération, et comme ce moment caché à l'intérieur chaud de la vie individuelle, invisible, intouchable, hors de la portée du sentiment, un secret expérimenté seul. Aucune algèbre de l'esprit ne peut la calculer, aucune alchimie de la prémonition la divine, et elle peut rarement se percevoir.
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Le monde a toujours eu besoin d'êtres humains qui refusent de croire que l'histoire n'est rien d'autre qu'une auto-répertition terne et monstrueuse, un jeu autonome et insignifiant, ne variait que dans le costume extérieur, qui ne peut être converti de leur conviction que l'histoire signifie des progrès dans la moralité, que notre La race monte sur une échelle invisible d'une nature animale vers la divinité, de la violence brutale à l'intellect sagement ordonné, et que le stade ultime de la compréhension complète est déjà proche, en effet, a été presque atteint.
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Il existe deux types de compassion. L'un - est léger et sentimental. En fait, ce n'est rien de plus que l'impatience du cœur, qui se dépêche de se débarrasser de cette sensation difficile lorsque vous voyez les souffrances des autres; Ce n'est pas une compassion, mais juste une volonté instinctive de vous défendre des malheurs des autres. Mais il y a une autre compassion - réelle, qui demande des actions, pas des sentiments, il sait ce qu'il veut, et il est plein de détermination de tout faire, ce qui est dans le pouvoir humain et même au-delà.