La citation analysée
Les vieillards du village de Mahotière disent que la maîtresse de l'eau est une femme mulâtre. À minuit, elle sort du printemps et chante tout en peignant ses cheveux longs dégoulinants, ce qui rend un son plus doux qu'un violon. C'est une chanson de perdition pour quiconque l'entend. Il n'y a aucun signe de la croix, pas de "notre père" pour le sauver. Sa malédiction l'emmène comme un poisson dans un filet et la maîtresse de l'eau l'attend sur le bord du printemps et lui sourit et lui dit de la suivre jusqu'aux profondeurs, dont il ne reviendra jamais.
Les vieillards du village de Mahotière disent que la maîtresse de l'eau est une femme mulâtre. À minuit, elle sort du printemps et chante tout en peignant ses cheveux longs dégoulinants, ce qui rend un son plus doux qu'un violon. C'est une chanson de perdition pour quiconque l'entend. Il n'y a aucun signe de la croix, pas de "notre père" pour le sauver. Sa malédiction l'emmène comme un poisson dans un filet et la maîtresse de l'eau l'attend sur le bord du printemps et lui sourit et lui dit de la suivre jusqu'aux profondeurs, dont il ne reviendra jamais.