Extrait:Dans la préface de la seconde édition, j'ai parlé des efforts que j'ai été obligé de faire à l'occasion, pour résister à la tentation d'augmenter cet essai. Des raisons sont survenues depuis qui m'en gagent à cèder au désir que j'éprouvais alors d'ajouter quelques preuves en faveur de ma thèse.

Classification des sciences

Extrait:Tout système de pédagogie est un fragment d'un système de philosophie. II. La science et la philosophie. III. Classification des sciences. IV. Théorie de l'évolution. V. Le progrès et ses lois les plus générales. VI. Le progrès dans l'humanité. VII. Loi d'association et loi d'hérédité. VIII. La morale et la religion

L'Éducation: Intellectuelle, morale et physique

§ 1. - Ce titre surprendra le lecteur qui n'a pas lu la première partie de mon ouvrage. Mais s'il connaît les chapitres qui traitent de la « Conduite en général » et de « l'Evolution de la Conduite », il saisira ce que j'entends par la Morale animale.Dans ces chapitres, il est démontré que la Conduite dont traite la science de la Morale ne doit pas être séparée de la science de la Conduite en général, que la conduite la plus parfaite est celle qui assure la vie la plus longue, la plus  ample et la plus complète, et qu'il en résulte pour chaque espèce d'animaux ses règles de conduite propres, bonnes d'une bonté relative et agissant sur cette espèce de la même manière qu'agissent sur l'espèce humaine les règles de conduite morale qui ont obtenu l'assentiment unanime.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.

Justice

Extrait:1 Publié originellement dans la Nineteenth Century, de janvier is90, cet essai a été écrit à la suite d'une controverse dans le Times, du 1 novembre au 27 novembre 1889, et a été rendu nécessaire par les malentendus et les erreurs d'exposition renfermés dans cette controverse. De la, les allusions qui y sont contenues. Les derniers paragraphes, dans leur forme primitive, étaient surtout d'un caractère personnel, et ne désirant point perpetuer des personnalités, j'ai preferé les supprimer.

Problèmes de morale et de sociologie

Essais de morale, de science et d'esthétique. essais de politique

Classification des sciences (4e edition) / par Herbert Spencer; traduit de l'anglais sur la 3e edition par F. RethoreDate de l'edition originale: 1888Extrait:Dans la préface de la seconde édition, j'ai parlé des efforts que j'ai été obligé de faire à l'occasion, pour résister à la tentation d'augmenter cet essai. Des raisons sont survenues depuis qui m'en gagent à cèder au désir que j'éprouvais alors d'ajouter quelques preuves en faveur de ma thèse.

Extrait:Il serait téméraire de juger dès aujourd'hui une oeuvre dont il n'a pas encore paru quatre volumes et qui doit en avoir dix. Cependant, comme M. H. Spencer, avant d'entreprendre son Starts: ne rmcosoms, a exposé par fragments ses vues dans des ouvrages ou des articles de revues, on peut suivre l'auteur à travers les phases successives qu'il a par courues avant de réaliser définitivement la synthèse que nous trouvons dans les Premiers Principes. Mais on ne doit point oublier que dans les ouvrages publiés avant celui-ci tout n'est pas définitif, et que l'auteur doit compléter dans la suite de son oeuvre, en les rattachant au principe de l'évolotion, des vues qui, de son propre aveu, ne sont qu'une imparfaite expression de sa pensée actuelle Ces réserves faites, nous allons essayer de déterminer le caractère de la philosophie de M. B. Spencer, et d'indiquer le rôle que...

Les Premiers Principes

This book based on the work of Herbert Spencer, is published in the collection "History of Scientific Knowledge" 
"Speaking broadly, every man works that he may avoid suffering. Here, remembrance of the pangs of hunger prompts him; and there, he is prompted by the sight of the slave-driver's lash. His immediate dread may be the punishment which physical circumstances will inflict, or may be punishment inflicted by human agency. He must have a master; but the master may be Nature or may be a fellow-man. When he is under the impersonal coercion of Nature, we say that he is free; and when he is under the personal coercion of someone above him, we call him, according to the degree of his dependence, a slave, a serf, or a vassal. Of course I omit the small minority who inherit means: an incidental, and not a necessary, social element. I speak only of the vast majority, both cultured and uncultured, who maintain themselves by labor, bodily or mental, and must either exert themselves of their own unconstrained wills, prompted only by thoughts of naturally-resulting evils or benefits, or must exert themselves with constrained wills, prompted by thoughts of evils and benefits artificially resulting. 
Men may work together in a society under either of these two forms of control: forms which, though in many cases mingled, are essentially contrasted..."

From Freedom to Bondage

We too often forget that not only is there "a soul of goodness in things evil, " but very generally also, a soul of truth in things erroneous. While many admit the abstract probability that a falsity has usually a nucleus of reality, few bear this abstract probability in mind, when passing judgment on the opinions of others. A belief that is finally proved to be grossly at variance with fact, is cast aside with indignation or contempt; and in the heat of antagonism scarcely any one inquires what there was in this belief which commended it to men's minds. Yet there must have been something. And there is reason to suspect that this something was its correspondence with certain of their experiences: an extremely limited or vague correspondence perhaps; but still, a correspondence. Even the absurdest report may in nearly every instance be traced to an actual occurrence; and had there been no such actual occurrence, this preposterous misrepresentation of it would never have existed. Though the distorted or magnified image transmitted to us through the refracting medium of rumour, is utterly unlike the reality; yet in the absence of the reality there would have been no distorted or magnified image. And thus it is with human beliefs in general. Entirely wrong as they may appear, the implication is that they germinated out of actual experiences-originally contained, and perhaps still contain, some small amount of verity.

Classification des sciences

Résumé

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