Essais de morale, de science et d'esthétique. essais de politique

In questo scritto del 1891 intitolato "Dalla libertà alla schiavitù" (apparso quale introduzione a un volume curato da Thomas Mackay), Herbert Spencer contrappone la logica della cooperazione volontaria, propria dell'economia di mercato, a quella della cooperazione forzata, fatta propria nei tempi moderni dal socialismo e da altre forme d'interventismo. Per il filosofo inglese il successo di quest'ultimo modello poggia sul fatto che di fronte a molti problemi sociali (a partire dalla stessa povertà) appare spesso più ragionevole suggerire soluzioni che delineino scorciatoie anche poco efficaci, ma più attraenti per l'uditorio. Spencer evidenzia come coloro che promettono semplicistiche soluzioni miracolistiche sono destinati, nei fatti, a promuovere una progressiva dilatazione del potere statale e una militarizzazione dell'intera società. - Herbert Spencer (1820-1903) è stato uno dei più noti pensatori dell'Età Vittoriana. Strenuo difensore della libertà individuale, progettò una grandiosa "Synthetic Philosophy", ampio sistema scientifico e filosofico incentrato su quelle idee evoluzionistiche a cui tutt'oggi è associato il suo nome. Autore di trattati di filosofia, sociologia e biologia, quale pensatore politico le sue opere maggiori sono "Social Statics" (1851), "Political Institutions" (1876) e la raccolta di saggi "The Man versus the State" (1884).

Dalla libertà alla schiavitù

Extrait:1 Publié originellement dans la Nineteenth Century, de janvier is90, cet essai a été écrit à la suite d'une controverse dans le Times, du 1 novembre au 27 novembre 1889, et a été rendu nécessaire par les malentendus et les erreurs d'exposition renfermés dans cette controverse. De la, les allusions qui y sont contenues. Les derniers paragraphes, dans leur forme primitive, étaient surtout d'un caractère personnel, et ne désirant point perpetuer des personnalités, j'ai preferé les supprimer.

Problèmes de morale et de sociologie

Le texte ici présenté rassemble quatre articles publiés initialement dans la « Contemporary Review » en 1884, aussitôt réunis par Spencer dans un recueil The Man versus the State [L'individu contre l'État] et complétés par une préface et un post-scriptum. Spencer y développe ses théories antiétatiques ébauchées dès 1842 dans ses lettres rassemblées dans The Proper Sphere of Government, et plaide pour un « État régalien » réduit aux fonctions de police, de justice, de diplomatie et à l'armée. Dès sa publication, l'ouvrage fit scandale et provoqua une énorme polémique. À l'heure où sont questionnés à nouveau et de manière aiguë, le rôle de l'État et son intervention dans l'économie et la société, la pensée de Spencer trouve plus que jamais sa place dans le débat public.

L'Individu contre l'état - La Philosophie Française

De l'éducation - Suivi d'Education et positivisme de Raymond Thamin

Extrait:Il serait téméraire de juger dès aujourd'hui une oeuvre dont il n'a pas encore paru quatre volumes et qui doit en avoir dix. Cependant, comme M. H. Spencer, avant d'entreprendre son Starts: ne rmcosoms, a exposé par fragments ses vues dans des ouvrages ou des articles de revues, on peut suivre l'auteur à travers les phases successives qu'il a par courues avant de réaliser définitivement la synthèse que nous trouvons dans les Premiers Principes. Mais on ne doit point oublier que dans les ouvrages publiés avant celui-ci tout n'est pas définitif, et que l'auteur doit compléter dans la suite de son oeuvre, en les rattachant au principe de l'évolotion, des vues qui, de son propre aveu, ne sont qu'une imparfaite expression de sa pensée actuelle Ces réserves faites, nous allons essayer de déterminer le caractère de la philosophie de M. B. Spencer, et d'indiquer le rôle que...

Les Premiers Principes

Les institutions professionnelles et industrielles, fin des Principes de sociologie / par Herbert Spencer; traduit par Henry de Varigny, ...Date de l'A(c)dition originale: 1898Collection: Collection d'auteurs A(c)trangers contemporains; 18Ce livre est la reproduction fidA]le d'une oeuvre publiA(c)e avant 1920 et fait partie d'une collection de livres rA(c)imprimA(c)s A la demande A(c)ditA(c)e par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la BibliothA]que nationale de France, offrant l'opportunitA(c) d'accA(c)der A des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.Les oeuvres faisant partie de cette collection ont A(c)tA(c) numA(c)risA(c)es par la BnF et sont prA(c)sentes sur Gallica, sa bibliothA]que numA(c)rique.En entreprenant de redonner vie A ces ouvrages au travers d'une collection de livres rA(c)imprimA(c)s A la demande, nous leur donnons la possibilitA(c) de rencontrer un public A(c)largi et participons A la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.Nous avons cherchA(c) A concilier la reproduction fidA]le d'un livre ancien A partir de sa version numA(c)risA(c)e avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espA(c)rons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entiA]re satisfaction.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Les institutions professionnelles et industrielles, fin des Principes de sociologie

Herbert Spencer publica "Primeros Principios" en 1862. Es considerado uno de los principales positivistas de Gran Bretaña. Desde el punto de vista sociológico cabe considerarle como el primer autor que utilizó de forma sistemática los conceptos de estructura y función. Por otra parte, concibió la sociología como un instrumento dinámico al servicio de la reforma social. Dedicó su vida a elaborar su sistema de filosofía evolucionista, en la que considera la evolución natural como clave de toda la realidad, a partir de cuya ley mecánico-materialista cabe explicar cualquier nivel progresivo: la materia, lo biológico, lo psíquico, lo social, etc.

Primeros Principios

We too often forget that not only is there "a soul of goodness in things evil, " but very generally also, a soul of truth in things erroneous. While many admit the abstract probability that a falsity has usually a nucleus of reality, few bear this abstract probability in mind, when passing judgment on the opinions of others. A belief that is finally proved to be grossly at variance with fact, is cast aside with indignation or contempt; and in the heat of antagonism scarcely any one inquires what there was in this belief which commended it to men's minds. Yet there must have been something. And there is reason to suspect that this something was its correspondence with certain of their experiences: an extremely limited or vague correspondence perhaps; but still, a correspondence. Even the absurdest report may in nearly every instance be traced to an actual occurrence; and had there been no such actual occurrence, this preposterous misrepresentation of it would never have existed. Though the distorted or magnified image transmitted to us through the refracting medium of rumour, is utterly unlike the reality; yet in the absence of the reality there would have been no distorted or magnified image. And thus it is with human beliefs in general. Entirely wrong as they may appear, the implication is that they germinated out of actual experiences-originally contained, and perhaps still contain, some small amount of verity.

Essais de morale, de science et d'esthétique. essais de politique

Résumé

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