La Loire, les 327 communes

Les 20 communes du canton de Crèvecoeur le Grand passées au peigne fin : leur histoire, leurs monuments, leur petit patrimoine... Le tout illustré par des vues aériennes inédites, des cartes postales anciennes et des photographies actuelles.

Le canton de Crèvecoeur-le-Grand

Ce livre retrace l'évolution du commerce, principalement au XXe siècle, à Grandvilliers. Durant cette période, même s'il était déjà moins dense qu'au siècle précédent, les magasins de proximité auront connu leur apogée. Le petit commerce, c'est souvent une affaire de famille. Nous le verrons tout au long de la promenade, de nombreuses boutiques restent dans la même famille durant plus de cent ans. L'adaptation progressive aux besoins de la clientèle et la notoriété expliquent cette longévité. Les regroupements de commerces imaginés dès la fin du XIXe siècle ne lèsent pas trop les magasins individuels. Ils répondent à un besoin toujours croissant de la clientèle. Après la Seconde Guerre mondiale et surtout, à partir des années 1960, le petit commerce connait sa meilleure période. La société de consommation est en marche. Mais l'arrivée progressive des grandes surfaces favorise le déclin même si un bon nombre de commerces résistent. Malgré tout, Grandvilliers conserve un noyau commercial, du moins dans certaines corporations, en centre ville. Beaucoup ont subi un changement d'affection, passant d'un domaine purement commercial à un secteur tertiaire. Ce dernier secteur étant saturé, on observe aujourd'hui une reprise difficile de certains commerces. Quelques anciens affichent plusieurs décennies de présence grâce à la qualité des services qu'ils offrent. Le service, justement, la qualité et la disponibilité sont des atouts indispensables pour le commerce de proximité.

Cent ans de commerce à Grandvilliers

Le chemin de fer, grand moyen de transport à la fin du XIX°, doit faire face aux nouveaux modes de locomotion du début du siècle dernier. Il réussit à s'imposer grâce aux technologies de pointe, pour devenir l'un des moyens de transport les plus fiables et les plus modernes. En France, la première ligne est concédée en 1823, à la demande de Beaunier. Emile Pereire obtient la première concession d'une ligne aboutissant à Paris. Après une charte en 1842, les compagnies se développent et les grandes lignes se construisent, reliant la capitale aux grandes villes de France. Après un ralentissement en 1847 et 1848, la reprise est spectaculaire sous le Second empire. Après la guerre de 1870-1871, de nombreuses petites lignes se créent dont certaines ne paraissent pas très utiles ou ne sont pas rentables. Les principales compagnies sont à l'époque celles du Nord, de l'Est, de Paris - Lyon, de Méditerranée, de Paris - Orléans, du Midi, de l'Ouest et de l'Etat, auxquelles s'ajoutent les compagnies moins importantes. Elles doivent faire face et cohabiter avec les compagnies de canaux et les entreprises de diligences dont les représentants apprécient mal la concurrence du train. Certains n'hésitent pas à grossir ou à inventer des méfaits de l'utilisation de ce mode de transport. La reconstruction consécutive à la première Guerre Mondiale impose un énorme effort aux compagnies et rend difficile l'équilibre financier de certaines d'entre elles. Le déficit croissant, la nationalisation intervient le 1er janvier 1938. La concurrence du réseau routier brise l'essor des petites lignes de voies ferrées. Peu avant et après la dernière guerre, les lignes secondaires disparaissent peu à peu. Les gares, qui sont de solides constructions en briques, sont vendues aux particuliers. La plupart existe encore. Retrouvez dans cet ouvrage plus de 50 lignes SNCF traversant le département de l'Aisne au début du siècle dernier. Les communes traversées, l'histoire de chaque ligne, les particularités de certaines... le tout agrémenté de plus de 700 cartes postales anciennes et documents divers.

Les chemins de fer de l'Aisne au début du XX°

Les Yvelines, les 262 communes

Les Hauts de Seine, les 36 communes

La Nièvre, les 312 communes

Présentation des 527 communes du Bas-Rhin, classées par ordre alphabétique et illustrées de photographies et cartes postales anciennes. Chacune est présentée par une fiche signalétique indiquant : le nom des habitants, les noms anciens des communes, les armoiries, le patrimoine architectural, l'industrie ou les principales activités, les personnages ayant marqué la vie de la localité, etc.

La Loire, les 327 communes

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