C'était un temps déraisonnable

Plusieurs professeurs de Mathématiques et de Mécanique ont conjugué leurs pédagogies pour proposer à l'élève-ingénieur ou à l'étudiant en Mécanique la série de fascicules intitulée Que savez-vous de l'outil mathématique ? Le titre, tout d'abord, annonce bien l'intention: il s'agit de proposer un recueil des connaissances mathématiques nécessaires pour un large éventail d'études en Mécanique. Loin de nous l'idée d'un cours de Mathématiques à la seule fin d'un usage interne. Nous avons rappelé les notions essentielles en évitant de lourdes démonstrations mais en insistant sur l'enchaînement et surtout sur l'utilisation de chaque concept. L'exemple, l'exercice, l'application priment très largement sur le rappel de cours. Pour simplifier, nous présentons cette série sous forme de fascicules très courts : ceci permet à l'utilisateur de ne consulter que la partie qui l'intéresse plutôt qu'un " gros pavé ". Chaque chapitre comprend une première partie contenant un rappel du cours de Mathématiques avec tous les énoncés complets et de nombreux exemples brefs d'illustration des résultats énoncés ; une deuxième partie contenantdes prolongements du cours sous forme d'exercices théoriques entièrement rédigés et débouchant sur une utilisation ultérieure ; une troisième partie contenant : l'utilisation des résultats obtenus en Mathématiques dans des domaines les plus variés de la Mécanique n(il s'agit toujours d'applications concrètes) ; des fiches de tests et de QCM (avec réponse en fin de fascicule) pour permettre au lecteur de vérifier son niveau d'assimilation des notions abordées ; une série d'exercices théoriques et pratiques avec une indication de la réponse ou une aide dans la démonstration. Le but des auteurs est de répondre à une attente des utilisateurs des Mathématiques en Mécanique.

Que savez-vous de l'outil mathématique ? - Fascicule 1

Table des matires L'art de l'analyse dans La Princesse de Clves Biensance et sentiment chez Madame de Lafayette Intention et structure dans les romans de Marivaux L'Abb Prvost et la tradition du roman noir Allgorie et symbolisme dans Jacques le Fataliste Les Liaisons dangereuses, roman de l'ironie Sade et le roman noir Prfaces aux Crimes de l'amour Prface Aline et Valcour Jan Potocki, Cazotte et le roman noir

Idées sur le roman - De Mme de Lafayette au Marquis de Sade

Malgré le drame de la Révolution, il s'agit - ici encore - de comédie et de "fausses confidences" avec Bernardin de Saint-Pierre, d'amitié ombrageuse et de jalousie de plume et de femme avec Mme de Staël, d'affinités d'intérêts - plus que d'affinités électives - avec Chateaubriand, enfin de délire romantique - coupé de mysticisme - avec Benjamin Constant... Un lot d'inédits passionnants, extraits des archives de l'U. R. S. S., des États-Unis, de Suisse et de France.

Bernardin de Saint-Pierre, Madame de Staël, Chateaubriand, Benjamin Constant et Madame de Krüdener - D'après des documents inédits

Mathématiques et traitement de données BEPA - Tome 1

À l'été 1968, deux jeunes de 19 ans, un descendant de Chamoniards, Jean Fabre et un Marseillais, Jean Marie Picard-Deyme, alias Picou, rêvent d'ascensions majeures à Chamonix. Sur les conseils d'alpinistes chevronnés, ils se décident pour celle du Pilier Gervasutti au Mont Blanc du Tacul. Trop confiants, ils partent sans conseiller la météo, sans matériel de bivouac, sans topo... Au début de la voie, ils trouvent un sac sur une vire, qui contient du vieux matériel de montagne. À qui appartenait-il ? Comment est-il arrivé là ? Poursuivant leur progression, ils sont surpris par l'orage, le tonnerre et les éclairs et se perdent. Après un bivouac hasardeux sur une arête, ils finissent par atteindre le sommet du Mont Blanc du Tacul noyé dans les nuages, et se perdent à nouveau à la descente. Le deuxième bivouac dans les séracs est inévitable lorsque, surprise, ils entendent des voix...
Dans ce récit écrit plus de cinquante ans après, Jean Fabre livre avec humour sa vision de l'alpinisme de l'époque. Avec son style décalé, un peu à la San-Antonio, il nous emmène dans cette aventure de jeunes inconscients, innocents qui découvrent sans le savoir le sac de Guido Gervasutti mort tragiquement dans ce pilier le 16 septembre 1946.

Les rescapés du Gervasutti

Mathematiques Bac Technologique Stae & Stpa 1ere Et Terminale

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Chénier

La tragédie classique française - au sens large : de Jodelle à Marie-Joseph Chénier - présente une impressionnante unité. Elle la doit, en grande partie, aux règles, mais celles-ci ne suffisent pas à rendre compte de sa physionomie. Théâtre d'intrigue, d'acteurs, d'amour, théâtre politique, tel est son vrai visage. Sur le plan diachronique, on note moins une évolution linéaire qu'une série de compromissions du genre avec d'autres réalités littéraires, poésie, roman, opéra, philosophie des Lumières. Existe-t-il, dans ces conditions, une époque où la tragédie, réalisant une sorte de pureté, ait mérité d'être appelée plus particulièrement « classique » ?, c'est un point à débattre. À débattre aussi le problème des causes - et du moment - de sa disparition. Et de nos jours ? L'exégèse du théâtre tragique reste marquée par deux faits : sa prise en charge par la métaphysique, vers les années quarante, et les luttes autour de la « nouvelle critique », dans la décennie 1955-1965. À la scène, la tragédie, tenue parfois pour injouable, a donné lieu à des expériences qui conduisent l'observateur à se poser trois questions : chant ou discours ? texte ou spectacle ? représentation ou démonstration ?

C'était un temps déraisonnable

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