Francois d'Assise, force et tendresse (poche)

Des personnalités de tous horizons (intellectuels, scientifiques, religieux, associatifs) analysent le formidable écho de l'encyclique du pape François sur l'écologie, Laudato Si'. Et ce qu'elle change profondément, aussi bien dans l'Eglise catholique qu'en dehors. Si certains portent des critiques sur tel ou tel point du texte, tous les contributeurs soulignent sa puissance, aussi bien sur la forme que sur le fond. Le constat est unanime : jamais une encyclique n'a eu un tel impact ni suscité un tel enthousiasme. Ce livre est le premier à analyser en profondeur le contenu et la portée de l'encyclique Laudato Si' et, de façon plus large, les positions du pape sur la nature et l'écologie.

François, le Pape vert - Occasion

Je vous salue Marie

La Terre en devenir - Une nouvelle théologie de la libération

L'avenir n'est pas ce qui sera mais ce que nous ferons. Yehudi Menhuin, dans l'un de ses premiers discours à la chambre des Lords, " Défense du sacré ", a posé le problème central. L'avenir se construit d'abord dans la conscience des hommes, dans la foi, qui est la recherche du sens et des fins dernières de la vie, et dans l'action pour l'accomplir. Cette réflexion a des antécédents prestigieux.
Or aucune religion institutionnelle ne répond aujourd'hui à cette question fondamentale pour la construction de l'avenir. Il y a plusieurs religions, comme il y a plusieurs Cultures, mais une seule foi.
Ici des hommes de foi maîtres du dialogue inter-religieux s'expriment, à partir de leur vécu du XXe siècle :
- Yehudi Menhuin (1914-1999), fils du rabbin Mosché Menhuin, auteur de La décadence du judaïsme.
- Roger Garaudy (1913), initiateur du dialogue entre chrétiens et marxistes avant le concile Vatican II, auteur par exemple de De l'anathème au dialogue.
- Le Père blanc Michel Lelong (1925), auteur notamment de Si Dieu l'avait voulu (sur l'unité de la foi), et, récemment La vérité rend libre (éd. Olivier de Guibert).
- Raimundo Pannikar (1918-1998), de parents indien et catalane, auteur de plus de trente livres dont La trinité et l'expérience religieuse et Le silence de Bouddha.
- Dom Helder Camara (1909-1999), ex-archevêque de Recife, l'un des fondateurs de la théologie de la libération.
- Leonardo Boff (1938), franciscain brésilien qui a quitté l'Église, auteur entre autres de La face maternelle de Dieu, Écologie et pauvreté, Avec la liberté de l'Évangile.
- Le rabbin Elmer Berger (1908-1996), ex-président de la " Ligue pour le judaïsme aux Etats-Unis ", puis directeur de la revue Alternative au sionisme.

Le Xxieme Siecle. Suicide Planetaire Ou Resurrection ?

Commentant la célèbre prière attribuée à saint François d'Assise, Leonardo Boff écrit : " Nous disons la prière de saint François pour la paix parce que nous avons besoin de paix. Notre époque est agitée et violente, et elle constitue une menace pour l'avenir de l'humanité et de la Terre, notre maison collective. " L'auteur propose une véritable méditation sur les drames et les espoirs humains les plus tenaces. Dans ce commentaire que l'on peut qualifier de subversif, Boff analyse les mécanismes inhérents à la violence, puis la logique propre à la paix. On y retrouve la fougue et la passion du célèbre théologien qui poursuit inlassablement son engagement pour qu'advienne la libération des pauvres et des opprimés.

Plaidoyer Pour La Paix. Une Nouvelle Lecture De La Priere De Saint Francois

En Europe comme en Amérique latine, l'heure est à la nouvelle évangélisation. Ce sera la thème de la IVème conférence générale de l'épiscopat latino-américain qui s'ouvrira à Saint-Domingue le 12 octobre 1992. Avant ce rendez-vous important, faisant suite à Medellin (1968) et à Puebla (1979), certains observateurs se demandent si le thème de l'évangélisation des cultures ne se substituerait pas à celui de la libération. Cet ouvrage de L. Boff établit de façon convaincante le lien intime entre les deux questions. Après une brillante présentation des différentes acceptions des termes " culture " et" inculturation ", le théologien brésilien se fait le témoin de l'espérance de tout un continent : " Nous avons envers les Indiens, les Noirs et les marginalisés une dette de justice qui, malheureusement, n'a pas été payée jusqu'à aujourd'hui. Les Églises doivent la payer. C'est la raison de ce livre. " À la fin des " célébrations " du cinquième centenaire, ce livre et l'Assemblée de Saint-Dominique donnent les grandes lignes de l'action de l'Église dans les années à venir et interrogent l'Europe sur ses responsabilités propres.

La Nouvelle Évangélisation

" Ce chemin de croix (...) veut être une théologie priante ou une prière théologique (...). C'est un chemin de croix qui s'appelle chemin de croix de la justice. C'est un chemin de croix : un oeil tourné vers le Jésus historique, tel qu'il vécut, fut condamné, mourut et ressuscita jadis ; de justice : un autre oeil tourné vers le Christ de la foi qui aujourd'hui continue sa passion dans les frères qui sont condamnés, torturés et morts pour la cause de la justice. " (Leornardo Boff.) La méditation de chaque station évoque la situation des pauvres dans les pays du tiers monde et spécialement du Brésil. Il sera facile au lecteur français de transposer cette analyse à la réalité de nos pays européens où les injustices sont autres, mais où les hommes écrasés sous la croix sont nombreux.

Francois d'Assise, force et tendresse (poche)

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