Zuerst 1808 erschienen gehört Die Marquise von O.... zu den bekanntesten Novellen von Heinrich von Kleist. Es bietet einen guten Einstieg in sein Werk.

Die Marquise von O....

Sosie. La vérité. Sur ma vie, maître, je ne vous mens pas. Ce Moi était arrivé avant moi. Et dans ce cas, sur mon âme, j'étais là-bas avant d'y être arrivé. Amphitryon. D'où viennent ces propos insensés ? Ce tissu d'absurdités ?... Sosie. Maître, je suis le plus sérieux du monde, et sur ma parole, vous m'accorderez créance si vous le voulez bien. Je vous jure que le Moi qui est tout simplement parti du camp est tombé sur un Double à Thèbes. Que je me suis rencontré moi-même avec des yeux hagards. Que le Moi que voici, qui est devant vous et que la fatigue et la faim ont complètement épuisé, a trouvé l'autre sortant tout guilleret de la maison, un vrai démon. (Acte II, scène 1) Un siècle et demi après Molière, la version de Kleist de cette histoire immémoriale où les dieux se sont faits les doubles des hommes.

Amphitryon

Die Anekdote aus dem letzten preußischen Kriege ist eine Anekdote von Heinrich von Kleist. Der Text erschien erstmals in der von Kleist selbst gegründeten und hauptsächlich allein bearbeiteten Zeitschrift "Berliner Abendblätter", und zwar im 6. Blatt vom 6. Oktober 1810. Mit dem letzten preußischen Krieg ist die Niederlage der Preußen gegen Napoleon im Jahr 1806 gemeint, im engeren Sinne die Schlacht bei Jena und Auerstedt.

Anekdote aus dem letzten preußischen Kriege

Michael Kohlhaas ist ein Pferdehändler, dem ein Unrecht passiert und daraufhin Selbstjustiz anwendet.

Michael Kohlhaas

"Le Prince de Hombourg, ce chef d’œuvre solaire insolite dans l’œuvre sombre de Kleist. Ces œuvres de clarté et de forme parfaite s'écrivent toujours dans une clairière, au cours d'une halte heureuse, coupant la traversée de la forêt de la vie." (Jean Anouilh)

Le Prince de Hombourg

Den historischen Hintergrund für die Erzählung bietet ein Bildersturm in den Niederlanden, bei dem radikale Calvinisten im August 1566 über 400 Kirchen verwüsteten. Kleist beschreibt das Vorhaben von vier Brüdern aus Holland, zur Zeit des reformatorischen Bildersturms den Aachener Dom zu verwüsten.

Die heilige Cäcilie oder die Gewalt der Musik

"La langue de Kleist, idiome singulier au coeur de la langue allemande, nous aura forcés à rechercher dans la nôtre l'équivalente étrangeté de l'original. Car traduire, c'est toujours la passion d'écrire et de rendre justice au poète par la justesse de nos choix raisonnés. Une justesse propice au jeu, nous le savons désormais d'expérience. Oui, ce théâtre intime projeté sur le monde est d'abord destiné à la scène. Et il importe de donner aux acteurs la partition la plus juste leur permettant d'affronter l'énigme."  Tel est l'enjeu énoncé par les traducteurs dans leur avant-propos. Fruit de dix ans de travail et de réflexion sur l'oeuvre théâtrale de Kleist, cette traduction intégrale en vers libres rend à l'auteur sa liberté de ton, son désespoir, sa violence, son ironie et, malgré tout, son allégresse.

L'intégralité du théâtre de Kleist : La Cruche cassée, Penthésilée, Le Prince de Hombourg, La Famille Schroffenstein, La Petite Catherine de Heilbronn, Amphitryon, La Bataille d'Arminius et des fragments de Robert Guiscard.

Théâtre complet

Based on historical events, this thrilling saga of violence and retribution bridges the gap between Medieval and modern literature, and speaks so profoundly to the contemporary spirit that it has been the basis of numerous plays, movies, and novels.It has become, in fact, a classic tale: that of the honorable man forced to take the law into his own hands. In this incendiary prototype, a minor tax dispute intensifies explosively, until the eponymous hero finds the forces of an entire kingdom, and even the great Martin Luther, gathered against him. But soon even Luther comes to echo the growing army of peasants asking, "Isn’t Kohlhaas right?"Widely acknowledged as one of the masterworks of German literature, Michael Kohlhaas is also one of the most stirring tales ever written of the quest for justice.

«Au moment où Kleist écrit Frédéric, Prince de Hombourg, les jours les plus sombres sont venus:échec personnel, solitude, angoisse, écrasement de son pays sous la domination napoléonienne. Et dans Weimar règne Goethe, le maître, le modèle admiré devant lequel Kleist a cru tomber au néant... C'est alors qu'il rassemble tous ses rêves d'homme et de poète, ses élans - brisés - vers la grandeur - la sienne propre et celle de son pays - et leur donne vie en la personne du jeune (pas si jeune dans la réalité historique) prince Frédéric de Hombourg, rêveur éveillé, dont l'insubordination lors de la bataille de Fehrbellin (1675) entraîne pour son souverain, le Prince Électeur, la victoire qui assure l'avenir de la maison de Prusse, et pour lui, qui lança la cavalerie à l'assaut des retranchements suédois sans en avoir reçu l'ordre, une sentence de mort, rachetée par la gloire finale - autre rêve éveillé. Du Fehrbellin historique, Kleist a fait sa propre bataille:il est le jeune prince pour qui les étoiles préparent une couronne de feu dans la nuit, il est fort, il est aimé - il a ce que la vie lui a refusé:l'action historique, la gloire du poète. Est-ce chimère? Le Fehrbellin de Kleist est plus réel pour nous que l'obscure bataille sur les marches de Prusse. Kleist, déchiré entre la vérité du réel et celle de l'âme inapaisable, nous est peut-être plus proche aujourd'hui que Goethe. La pièce ne fut jouée qu'en 1821 - dix ans après la mort de Kleist -, sans succès, et ses quelques représentations au cours du XIX? siècle ne furent pas plus heureuses. Dans notre siècle livré à la violence et aux chimères, elle trouve enfin son heure.» Henri Thomas.

Die Marquise von O....

Résumé

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