Agenda UNESCO Patrimoine mondial 2012

L'héritage de l'humanité ; splendeurs du patrimoine mondial

Les possibilités qu'offre Internet éclipsent largement les difficultés qui en résultent. Tout en gardant cela à l'esprit, nous devons néanmoins nous attaquer à certains de ces problèmes, et notamment celui des discours de haine en ligne. Mais en quoi consistent exactement les propos haineux sur Internet et comment les combattre efficacement ? En matière de liberté d'expression, sur Internet ou hors Internet, l'UNESCO préconise que la libre circulation de l'information soit toujours la norme. Le contre-discours est généralement préférable à la répression de la liberté de parole. Et toute mesure de restriction de la liberté d'expression doit être soigneusement considérée afin de garantir que ce type d'action demeure tout à fait exceptionnel et que le débat légitime et approfondi ne soit pas entravé.

Combattre les discours de haine sur internet

Y Aura T'Il Assez D'Eau Sur La Terre ?

Base de données bibliographiques et thésaurus de l'UNESCO. Ce cédérom contient 98 000 références bibliographiques renvoyant, en libre accès, sur les liens des documents en texte intégral dans les domaines de l'éducation, de la culture, des sciences naturelles, des sciences sociales et humaines, de la communication et de l'information. Le thésaurus de l'UNESCO est une liste de termes contrôlés et structurés pour l'analyse thématique et la recherche de documents et publications dans les domaines de l'éducation, la culture, les sciences naturelles, les sciences sociales et humaines, la communication et l'information. Continuellement enrichie et mise à jour, sa terminologie reflète l'évolution des programmes et des activités de l'Organisation. Le thésaurus de l'UNESCO contient 7 000 termes en anglais et en russe, et 8 600 en français et en espagnol.

Unesbib 2008, Thésaurus de l'Unesco

enseigner et apprendre : atteindre la qualite pour tous

Le droit d'être un homme - Anthologie mondiale

L'industrie du fer est un marqueur lourd de la civilisation. Elle est sous-tendue par tout un corpus de notions fortement valorisées. Jusqu'à une époque récente, l'Afrique subsaharienne était considérée comme un simple récipiendaire de cette technique qui se serait diffusée depuis le Proche-Orient par l'Afrique du Nord et la vallée du Nil.
Il ne sera désormais plus possible de soutenir que l'Afrique subsaharienne a emprunté sa technologie du fer à d'autres cultures. Elle a, au contraire, inventé et développé sa propre métallurgie du fer, et ce, dès le IIIe millénaire avant J.-C. Les travaux de spécialistes - archéologues, historiens, ethnologues, sociologues, ingénieurs métallographes - qui sont réunis dans ce livre, attestent de la vitalité des recherches menées dans le domaine de la sidérurgie africaine. Ils permettent non seulement de mieux connaître ses origines et son développement à travers te continent, mais aussi de découvrir ses caractéristiques techniques ainsi que les conséquences tant sociales et économiques que culturelles engendrées par ce progrès. L'intérêt que l'UNESCO porte à l'étude de la métallurgie du fer en Afrique vise entre autres à réhabiliter la contribution des métallurgistes africains - fondeurs et forgerons - au patrimoine technologique de l'humanité.

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