Les matériels de l'armée de l'air Tome 1 ; Mirage f1 f1c et f1b

Les avions de combat américains ; Grumman F-14 Tomcat au combat (1972-2006)

Les matériels de l'armée de l'air Tome 7 ; C-160 transall ; de 1967 à nos jours

Fortement ancrée sur son territoire, la base aérienne 709 "Commandant Raoul Ménard de Cognac Châteaubernard" est atypique, rassemblant dans son enceinte deux unités majeures aux destins très différents. L'école de pilotage de l'armée de l'Air (EPAA) a bâti depuis plusieurs décennies la réputation de la base en formant plusieurs générations de pilotes. Elle cohabite à présent avec l'escadron de drone 1/33 Belfort, une unité en croissance ininterrompue depuis sa création en 2010. Si leurs missions sont très différentes, ces deux unités se retrouvent toutefois dans la mise en oeuvre d'appareils modernes et innovants, appelés à jouer une rôle prépondérant dans l'armée de l'Air du XXIe siècle : le Pilatus PC-21 pour l'EPAA et le drone MQ-9 Reaper pour l'escadron Belfort. Un autre point commun tient à l'ouverture sur le monde, qui est aussi la marque de fabrique de la BA 709, avec de nombreuses coopérations internationales pour l'EPAA et la participation ininterrompue du Belfort aux opérations extérieures. Des textes toujours bien informés de Frédéric Lert et servis par les photos exceptionnelles d'Alexandre Paringaux, a Cognac, former et combattre, une base aérienne aux deux visages u raconte cette histoire humaine et technique et détaille les missions, les unités, les hommes et les matériels de la BA 709, à la pointe des engagements de la France.

Cognac, former et combattre - Une base aérienne aux deux visages

Depuis bientôt huit ans, l'armée de l'Air française déploie dans le ciel afghan une bonne part de son arsenal. Depuis les avions de transport jusqu'aux chasseurs-bombardiers, en passant par les hélicoptères, les avions de ravitaillement et même les " drones ". La guerre est un examen de passage impitoyable pour les militaires. On découvrira à la lecture de cet ouvrage les forces et les faiblesses d'une armée de l'Air qui se veut aujourd'hui, et à juste titre, une des mieux entraînées au monde. Mais une armée de l'Air qui trouve aussi avec l'Afghanistan un champ de bataille inattendu, mettant à rude épreuve le matériel, le savoir-faire des équipages et la capacité d'adaptation de l'institution dans son ensemble. Ce livre place le lecteur dans les appareils participant à une large palette de missions : reconnaissance, transport tactique, bombardement, surveillance... Il fait toucher du doigt la réalité du combat aéroterrestre moderne. C'est un tableau vivant, vécu de l'intérieur, dans lequel une large place est accordée au quotidien des équipages. C'est un portrait sans flagornerie d'une armée d'élite aux prises avec une guerre qui ne veut pas dire son nom, à 6000 kilomètres de la France.

Pilotes en Afghanistan - Des aviateurs français au combat

Cent ans d'histoire, cent ans de combat, cent ans d'évolutions techniques... Du Nieuport au Mirage 2000N, de la Première Guerre mondiale aux opérations extérieures, de la mitrailleuse à l'arme atomique et à la bombe guidée laser, c'est toute l'aventure de l'arme aérienne française qui est résumée dans L'Histoire de l'escadron 2/4 La Fayette. Aujourd'hui escadron nucléaire, avec comme armement principal le missile supersonique ASPM-A, le La Fayette est pétri d'une exigence d'excellence que l'on retrouve également dans les missions de bombardement conventionnel qui lui sont confiées. Après avoir été engagés en Bosnie en 1994 puis en Libye en 2011, les équipages du La Fayette continuent aujourd'hui à prendre une part active dans les opérations extérieures de l'armée de l'Air. Bombardement conventionnel, dissuasion nucléaire, une double posture remarquablement détaillée par un livre servi par les photographies exceptionnelles d'Alexandre Paringaux et les textes toujours bien informés de Frédéric Lert.

Mirage 2000N - Tome 4, Escadron de chasse 2/4 La Fayette. Avec L'insigne commémoratif des 100 ans du 2/4 La Fayette et Le certificat d'authenticité de vol à Mach 1.45 de l'insigne

Le H225M "Caracal" vole pour la première fois le 30 novembre 2000. Il s'agit du premier hélicoptère européen spécifiquement conçu pour la mission la plus complexe qui soit, le sauvetage au combat. En 2006, quelques jours seulement après son entrée en service au sein de l'armée de l'Air, il est engagé dans le cadre de l'opération Baliste au Liban : son autonomie, sa puissance et sa capacité d'autoprotection en font l'appareil idéal pour exfiltrer de Beyrouth plusieurs centaines de ressortissants européens pris au piège dans les combats qui se généralisent entre le Hezbollah pro-iranien et l'armée israélienne. Aujourd'hui, en 2016, dix ans après son entrée en service dans les forces, le Caracal est déjà le vétéran de plusieurs guerres sous les couleurs françaises, de l'Afghanistan au Mali, en passant par la Libye et le Tchad. Jamais un hélicoptère n'aura accumulé aussi rapidement un tel palmarès dans sa carrière opérationnelle. Premier hélicoptère européen ravitaillable en vol, le H225M est aussi un best-seller à l'export. Le livre comprend une trentaine de témoignages et récits exclusifs, illustrés par des photos exceptionnelles.

Le Caracal au combat - Airbus Helicopters H225M

C'est en 1964, que l'Armée de l'Air exprime le besoin d'un avion bimoteur d'entraînement avancé ayant pour mission secondaire l'appui-feu léger. Le programme " ECAT ", (Ecole de Combat et Appui Tactique) est lancé, avec en ligne de mire le remplacement des Fouga Magister, T-33 et autres Mystère IV. Le même avion doit pouvoir se décliner en biplace d'entraînement avancé ou en monoplace d'appui tactique et l'achat de 150 appareils est prévu (75 dans chaque version). On évoque alors la livraison en unité des quarante premiers exemplaires avant 1970. Cinq avionneurs sont sur les rangs : Sud Aviation, Nord Aviation, Potez, Dassault et Breguet. Le projet Breguet est le plus léger, le plus petit et a priori le moins coûteux. Il est annoncé vainqueur le 15 janvier 1964. A la même époque, la Grande-Bretagne exprime un besoin similaire pour équiper la Royal Air Force. La British Aircrafl Corporation (BAC) est alors invitée à coopérer avec Breguet. Le 17 mai 1965, un accord de coopération franco-britannique scelle l'avenir du Br.121 qui devient dans la foulée (officiellement le 10 juin 1965) le " Jaguar ", nom commun aux deux langues.

Le Jaguar - L'attaque au sol "Made in France"

Depuis bientôt vingt ans, le Mirage 2000D forme l'épine dorsale de l'aviation de bombardement française. Succédant aux Jaguar et autres Mirage III, le chasseur-bombardier a révolutionné les capacités de l'Armée de l'Air en introduisant le bombardement de précision par tous les temps et le suivi de terrain automatique, tout en ouvrant un nouveau chapitre du travail en équipage sur un avion tactique. Dans un environnement géostratégique chamboulé par l'effondrement du bloc soviétique, le Mirage 2000D est arrivé à point nommé pour faire face au regain spectaculaire des engagements de la France à travers le monde. Ce livre raconte l'histoire d'un appareil solide et fiable, apprécié de ses équipages et fort de plusieurs milliers de missions de combat accomplies avec succès.

Les matériels de l'armée de l'air Tome 1 ; Mirage f1 f1c et f1b

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