Unter den späten Erzählungen und kürzeren Romanen, die in diesem Buch zusammengestellt sind, ist natürlich "Der Spieler" von besonderem Interesse, hat doch Dostojewski lange mit seiner Spielsucht kämpfen müssen und mehrfach hohe und höchste Beträge verloren, vor allem in den Spielbanken von Wiesbaden und Baden-Baden. Die hier versammelten Romane und Novellen werden als die "kleinen Meisterwerke" des Dichters bezeichnet, die in der Reifezeit seines Schaffens entstanden sind.

Le Joueur

The Brothers Karamasov is a murder mystery, a courtroom drama, and an exploration of erotic rivalry in a series of triangular love affairs involving the “wicked and sentimental” Fyodor Pavlovich Karamazov and his three sons―the impulsive and sensual Dmitri; the coldly rational Ivan; and the healthy, red-cheeked young novice Alyosha. Through the gripping events of their story, Dostoevsky portrays the whole of Russian life, is social and spiritual striving, in what was both the golden age and a tragic turning point in Russian culture.This award-winning translation by Richard Pevear and Larissa Volokhonsky remains true to the verbalinventiveness of Dostoevsky’s prose, preserving the multiple voices, the humor, and the surprising modernity of the original. It is an achievement worthy of Dostoevsky’s last and greatest novel.

Les Frères Karamazov

Alexis Ivanovitch joue d'abord pour gagner, puis pour étonner, enfin pour espérer. Il n'a pas misé seulement de l'argent mais sa vie elle-même. Ce récit suit comme une ombre la vie de Dostoïevski, durant quinze ans, à Moscou et à Baden-Baden où il se ruina au jeu. Jouer, c'est tenter le diable, c'est aussi tenter Dieu. Alexis a voulu tout risquer, toucher le fond pour connaître la compassion et la grâce divine. Il y a une autre malédiction dans la vie du joueur, une femme-bourreau, Pauline, la belle-sœur du général qu'il sert comme précepteur. C'est, dans la vie de l'auteur, Apollinaria, que Dostoïevski aima d'un amour douloureux. Autour d'eux, des êtres malfaisants ou étonnants, dévorés par la passion du gain. Ce court roman, plein de brio, annonce toute l'œuvre de Dostoïevski. "Demain, demain tout cela finira", dit le joueur qui recommence à jouer éternellement.

Excerpt from Les Freres Karamazov, Vol. 2Chez Mitia, la jalousie disparaissait des qu Il apercevait Grouschegnka; il reprenait confiance, il meprisait ses soupcons. Cela prouvait seulement que son amour pour cette femme comportait beaucoup plus de noblesse qu'il ne le croyait lui-meme, bien autre chose que de la sen sualite.About the PublisherForgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. Find more at www.forgottenbooks.comThis book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstruct the work, preserving the original format whilst repairing imperfections present in the aged copy. In rare cases, an imperfection in the original, such as a blemish or missing page, may be replicated in our edition. We do, however, repair the vast majority of imperfections successfully; any imperfections that remain are intentionally left to preserve the state of such historical works.

Les Frères Karamazov, Vol. 2 (Classic Reprint)

Les Œuvres romanesques 1875-1880 de Dostoïevski regroupent L’Adolescent, Le Garçon “à la menotte”, Le Moujik Maréï, La Centenaire, La Douce, Le Rêve d’un homme ridicule, Le Triton, sans oublier le chef-d’œuvre : Les Frères Karamazov. Actes Sud entreprend la réédition en Thesaurus de l’œuvre de Dostoïevski, magistralement traduite (et commentée) par André Markowicz.

Œuvres romanesques 1875–1880

Dostoevsky’s most revolutionary novel, Notes from Underground marks the dividing line between nineteenth- and twentieth-century fiction, and between the visions of self each century embodied. One of the most remarkable characters in literature, the unnamed narrator is a former official who has defiantly withdrawn into an underground existence. In full retreat from society, he scrawls a passionate, obsessive, self-contradictory narrative that serves as a devastating attack on social utopianism and an assertion of man’s essentially irrational nature.Richard Pevear and Larissa Volokhonsky, whose Dostoevsky translations have become the standard, give us a brilliantly faithful edition of this classic novel, conveying all the tragedy and tormented comedy of the original.

Carnets Du Sous Sol, édition Bilingue (Français/Russe)

Just two years after completing Crime and Punishment, which explored the mind of a murderer, Dostoevsky produced another masterpiece, The Idiot. This time the author portrays a truly beautiful soul—a character he found difficult to bring to life because, as he wrote, "beauty is the ideal, and neither my country, nor civilized Europe, know what that ideal of beauty is.” The result was one of Dostoevsky’s greatest characters—Prince Myshkin, a saintly, Christ-like, yet deeply human figure.The story begins when Myshkin arrives on Russian soil after a stay in a Swiss sanatorium. Scorned by St. Petersburg society as an idiot for his generosity and innocence, the prince finds himself at the center of a struggle between a rich, kept woman and a beautiful, virtuous girl, who both hope to win his affection. Unfortunately, Myshkin’s very goodness seems to bring disaster to everyone he meets. The shocking denouement tragically reveals how, in a world obsessed with money, power, and sexual conquest, a sanatorium is the only place for a saint.

L'Idiot

Ce livre est plus connu sous le titre Le bourg de Stepantchikovo et sa population. Par une lettre, le narrateur est invité à rejoindre son oncle de toute urgence dans le village de Stepantchikovo, où il devra épouser une jeune gouvernante qu'il n'a pourtant jamais vue. Rendu sur les lieux, il pense se trouver dans un asile de fous: l'entière maisonnée est soumise à la tyrannie imbécile d'un tartuffe de province, anime d'une haine inexpugnable envers le monde qui a fait de lui un raté.Ce roman fut écrit par un auteur qui, après dix ans de bagne et de relégation, revenait dans la vie littéraire."Extrait:Sa retraite prise, mon oncle, le colonel Yegor Ilitch Rostaniev, se retira dans le village de Stepantchikovo ou il vecut en parfait hobereau. Contents de tout, certains caracteres se font a tout; tel etait le colonel. On s'imaginerait difficilement homme plus paisible, plus conciliant et, si quelqu'un se fut avise de voyager sur son dos l'espace de deux verstes, sans doute l'eut-il obtenu. Il etait bon a donner jusqu'a sa derniere chemise sur premiere requisition. Il etait bati en athlete, de haute taille et bien decouple, avec des joues roses, des dents blanches comme l'ivoire, une longue moustache d'un blond fonce, le rire bruyant, sonore et franc, et s'exprimait tres vite, par phrases hachees. Marie jeune, il avait aime sa femme a la folie, mais elle etait morte, laissant en son coeur un noble et ineffacable souvenir. Enfin, ayant herite du village de Stepantchikovo, ce qui haussait sa fortune a six cents ames, il quitta le service et s'en fut vivre a la campagne avec son fils de huit ans, Hucha, dont la naissance avait coute la vie de sa mere, et sa fillette Sachenka, agee de quinze ans, qui sortait d'un pensionnat de Moscou ou on l'avait mise apres ce malheur. Mais la maison de mon oncle ne tarda pas a devenir une vraie arche de Noe. Voici comment. Au moment ou il prenait sa retraite apres son heritage, sa mere, la generale Krakhotkine, perdit son second mari, epouse quelque seize ans plus tot, alors que mon oncle, encore simple cornette, pensait deja a se marier. Longtemps elle refusait son consentement a ce mariage, versant d'abondantes larmes, accusant mon oncle d'egoisme, d'ingratitude, d'irrespect. Elle arguait que la propriete du jeune homme suffisait a peine aux besoins de la famille, c'est-a-dire a ceux de sa mere avec son cortege de domestiques, de chiens, de chats, etc. Et puis, au beau milieu de ces recriminations et de ces larmes, ne s'etait-elle pas mariee tout a coup avant son fils? Elle avait alors quarante-deux ans. L'occasion lui avait paru excellente de charger encore mon pauvre oncle, en affirmant qu'elle ne se mariait que pour assurer a sa vieillesse l'asile refuse par l'egoiste impiete de son fils et cette impardonnable insolence de pretendre se creer un foyer.

Carnet d'un inconnu

La maison des morts, c'est le bagne de Siberie ou Dostoievski a purge comme condamne politique une peine de quatre annees de travaux forces et de six ans de service militaire. Mais la maison des morts, c'est aussi le Goulag. La Russie de Dostoievski est deja celle de Staline, de Beria, de Vychinski, des grands proces ou les accuses rivalisent devant leurs procureurs de contrition et d'aveux. Comme l'ecrit Claude Roy, la Russie d'hier et la Russie moderne sont exemplaires dans la science du "chatiment" sur deux points essentiels. Elles ont pousse plus avant peut-etre qu'aucun peuple l'art de donner aux tortionnaires cette paix de l'esprit que procure la bonne conscience. Elles ont su simultanement contraindre un nombre important de leurs victimes, non seulement a subir sans revolte les epreuves infligees, mais a donner a leurs tourmenteurs un total acquiescement."

Le Joueur

Résumé

Plus de livres de Fyodor Dostoyevsky

Critiques

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