Sammelband mit fünf Werken

· Der Diktator

· Menschen, Göttern gleich

· Mr. Blettsworthy auf der Insel Rampole

· Einstweilen

· Das Kristall-Ei (Erzählungen)

H. G. Wells - Gesammelte Werke 2

»Der Krieg der Welten« von H. G. Wells ist ein spannend geschriebener Klassiker der Science Fiction. Eine hoch entwickelte Marszivilisation greift die Erde an. Schnell brechen die Marsianer den menschlichen Widerstand mit ihren modernen Waffen. Es stellt sich heraus, dass sie den Menschen technologisch weit überlegen sind. Immer mehr Waffen und Material schaffen sie vom Mars heran, um die Invasion zum Erfolg zu führen. Ihr Siegeszug scheint unaufhaltsam. Doch überraschend kommt ihre verwundbare Stelle zum Vorschein. Das Blatt scheint sich zu wenden.

Die Geschichte wird von einem Ich-Erzähler geschildert, der die Ereignisse mit viel Glück überlebt hat. Dadurch gewinnt die Schilderung besondere Spannung und Unmittelbarkeit.

H. G. Wells spielt in dem 1898 erschienenen Roman »Der Krieg der Welten« auf die Expansionspolitik des British Empire an. Wells zeigt, wie den Eingeborenen einer Kolonie zumute ist, wenn die Briten mit ihren modernen Waffen die Herrschaft übernehmen. 

Die Invasion aus dem All wurde zum Vorbild für zahlreiche andere Romane, Filme und Hörspiele. »Der Krieg der Welten« begründete H. G. Wells Weltruhm als Science Fiction Autor.

Der Krieg der Welten - Vollständige deutsche Ausgabe

Denne klassiske science fiction-roman er for længst faktuelt antikveret, men kan stadig nydes for hyggens og den elementære spændings skyld. Den bringes her i den danske førsteudgave fra 1912, der med sit let antikverede sprog bidrager til indholdets særlige stemning og atmosfære. Til atmosfæren bidrager også Henrique Alvim Corrêas illustrationer, der første gang optrådte i den belgiske udgave fra1906. Welles sagde selv senere om disse illustrationer: "Alvim Corrêa gjorde mere for mit arbejde med sin pensel end jeg med min pen."

Klodernes Kamp - Illustreret af Henrique Alvim Corrêa

H. G. Wells (1866-1946)
 
"Je demeurai affalé sur l'un des bancs de rameurs du petit canot pendant je ne sais combien de temps, songeant que, si j'en avais seulement la force, je boirais de l'eau de mer pour devenir fou et mourir plus vite. Tandis que j'étais ainsi étendu, je vis, sans y attacher plus d'intérêt qu'à une image quelconque, une voile venir vers moi du bord de la ligne d'horizon. Mon esprit devait, sans doute, battre la campagne, et cependant je me rappelle fort distinctement tout ce qui arriva. Je me souviens du balancement infernal des flots, qui me donnait le vertige, et de la danse continuelle de la voile à l'horizon ; j'avais aussi la conviction absolue d'être déjà mort, et je pensais, avec une amère ironie, à l'inutilité de ce secours qui arrivait trop tard - et de si peu - pour me trouver encore vivant.
Pendant un espace de temps qui me parut interminable, je restais sur ce banc, la tête contre le bordage, à regarder s'approcher la goélette secouée et balancée. C'était un petit bâtiment, gréé de voiles latines, qui courait de larges bordées, car il allait en plein contre le vent. Il ne me vint pas un instant l'idée d'essayer d'attirer son attention, et, depuis le moment où j'aperçus distinctement son flanc et celui où je me retrouvai dans une cabine d'arrière, je n'ai que des souvenirs confus. Je garde encore une vague impression d'avoir été soulevé jusqu'au passavant, d'avoir vu une grosse figure rubiconde, pleine de taches de rousseur et entourée d'une chevelure et d'une barbe rouges, qui me regardait du haut de la passerelle ; d'avoir vu aussi une autre face très brune avec des yeux extraordinaires tout près des miens ; mais jusqu'à ce que je les eusse revus, je crus à un cauchemar. Il me semble qu'on dut verser, peu après, quelque liquide entre mes dents serrées, et ce fut tout."
 
Edward Prendick a fait naufrage. Seul survivant, il est sauvé par un bateau chargé d'animaux et est soigné par le docteur Montgomery, l'assistant du mystérieux docteur Moreau. Obligé, il se retrouve dans l'île appartenant à ce dernier et va de mystère en mystère...

L'île du docteur Moreau

HarperCollins is proud to present its incredible range of best-loved, essential classics.

 "That these man-like creatures were in truth only bestial monsters, mere grotesque travesties of men, filled me with a vague uncertainty of their possibilities far worse than any definite fear."

 Edward Prendick, the sole survivor of a shipwreck in the South Pacific, is set ashore on an island where he meets the mysterious Doctor Moreau. Horrified by the discovery that Moreau is performing vivisection on animals to form monstrous human hybrids, Prendick flees into the jungle. But he soon realises that the island is populated with Moreau's terrible creations, and not all are divested of their savage habits .

The Island of Doctor Moreau

Voici les 11 nouvelles fantastiques les plus célèbres d'HG Wells. Herbert George Wells est un écrivain britannique considéré comme le père de la science-fiction contemporaine. Cette nouvelle est issue d'un recueil d'histoires qui nous embarquent dans la quatrième dimension fantastique. L'Étoile, le passage d'une étoile sème comme un vent de panique. Dans l'abîme, une descente au fond de l'océan dans une sphère à la découverte d'êtres fantastiques. L'ouf de cristal, dans un magasin d'antiquités, se trouve un étrange ouf en cristal. Le nouvel accélérateur, le professeur Gibberne, conçoit un nouvel accélérateur, une drogue sorte de stimulant nerveux. L'histoire de Plattner, un professeur lors d'une expérience chimique provoque une explosion et disparaît, et se retrouve dans la Quatrième Dimension... Le corps volé, M. Bessel, par transmission de pensées, décide donc avec un ami de sortir de son corps et pendant ce temps-là, son propre corps est volé par un esprit... Sous le bistouri, un homme médite sur la mort, au moment d'une opération par deux chirurgiens, et se retrouve projeté dans l'espace et survole tout l'univers. Un rêve d'Armageddon, rêves, troubles cérébraux, vivre dans l'avenir. Un étrange phénomène, intercommunications avec l'inconnu, hallucinations. La porte dans le mur, à cinq ans, être hanté par la vision d'un jardin enchanté. Mr Skelmersdale au pays des fées, dans cette nouvelle, le héros est transporté au pays des fées, où l'une des fées tombe amoureuse de lui.

11 nouvelles fantastiques - HG Wells

THE WORLD SET FREE was written in 1913 and published early in 1914, and it is the latest of a series of three fantasias of possibility, stories which all turn on the possible developments in the future of some contemporary force or group of forces. The World Set Free was written under the immediate shadow of the Great War. Every intelligent person in the world felt that disaster was impending and knew no way of averting it, but few of us realised in the earlier half of 1914 how near the crash was to us. The reader will be amused to find that here it is put off until the year 1956. He may naturally want to know the reason for what will seem now a quite extraordinary delay. As a prophet, the author must confess he has always been inclined to be rather a slow prophet. The war aeroplane in the world of reality, for example, beat the forecast in Anticipations by about twenty years or so. I suppose a desire not to shock the sceptical reader's sense of use and wont and perhaps a less creditable disposition to hedge, have something to do with this dating forward of one's main events, but in the particular case of The World Set Free there was, I think, another motive in holding the Great War back, and that was to allow the chemist to get well forward with his discovery of the release of atomic energy.

The World Set Free

"This again, " said the Bacteriologist, slipping a glass slide under the microscope, "is a preparation of the celebrated Bacillus of cholera-the cholera germ."

The pale-faced man peered down the microscope. He was evidently not accustomed to that kind of thing, and held a limp white hand over his disengaged eye. "I see very little, " he said.

"Touch this screw, " said the Bacteriologist; "perhaps the microscope is out of focus for you. Eyes vary so much. Just the fraction of a turn this way or that."

"Ah! now I see, " said the visitor. "Not so very much to see after all. Little streaks and shreds of pink. And yet those little particles, those mere atomies, might multiply and devastate a city! Wonderful!"

The Stolen Bacillus

The maid was a young woman of great natural calmness; she was accustomed to let in visitors who had this air of being annoyed and finding one umbrella too numerous for them. It mattered nothing to her that the gentleman was asking for Dr. Martineau as if he was asking for something with an unpleasant taste. Almost imperceptibly she relieved him of his umbrella and juggled his hat and coat on to a massive mahogany stand. "What name, Sir?" she asked, holding open the door of the consulting room.

"Hardy, " said the gentleman, and then yielding it reluctantly with its distasteful three-year-old honour, "Sir Richmond Hardy."

H. G. Wells - Gesammelte Werke 2

Résumé

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