De l'assassinat considere comme un des beaux-arts

'For if once a man indulges himself in murder, very soon he comes to think little of robbing; and from robbing he comes next to drinking and Sabbath-breaking, and from that to incivility and procrastination'Thomas De Quincey's three essays On Murder Considered as One of the Fine Arts centre on the notorious career of the murderer John Williams, who in 1811 brutally killed seven people in London's East End. De Quincey's response to Williams's attacks turns morality on its head, celebrating and coolly dissecting the art of murder and its perfections. Ranging from gruesomely vivid reportage and brilliantly funny satiric high jinks to penetrating literary and aesthetic criticism, the essays had a remarkable impact on crime, terror, and detective fiction, as well as on the rise of nineteenth-century decadence.The volume also contains De Quincey's best-known piece of literary criticism, On the Knocking at the Gate in Macbeth, and his finest tale of terror, The Avenger, a disturbing exploration of violence, vigilantism, and religious persecution.

De l'assassinat considéré comme un des beaux-arts

In this remarkable autobiography, Thomas De Quincey hauntingly describes the surreal visions & hallucinatory nocturnal wanderings he took thru London--& the nightmares, despair & paranoia to which he became prey--under the influence of the then-legal painkiller laudanum. Forging a link between artistic self-expression & addiction, Confessions seamlessly weaves the effects of drugs & the nature of dreams, memory & imagination. First published in 1821, it paved the way for later generations of literary drug users, from Baudelaire to Burroughs, & anticipated psychoanalysis with its insights into the unconscious.

Le Mangeur D'opium

Nightmares, confessions, hallucinations, and laudanum-induced fears-Thomas De Quincey's Confessions of an English Opium-Eater remains an influential autobiography studied by psychologists, addiction specialists, historians and sociologists alike. Published in 1821, De Quincey's debut work on his own addiction and the effects of drugs on creativity set a unique tone for modern literature. Revealing the power of the subconscious and freedom of artistic self-expression, De Quincey shares the pleasures of opium, along with the struggles of addiction and the ability of the human imagination. Confessions of an English Opium-Eater's overwhelming success influenced writers such as Charles Baudelaire, Edgar Allan Poe and William S. Burroughs. HarperTorch brings great works of non-fiction and the dramatic arts to life in digital format, upholding the highest standards in ebook production and celebrating reading in all its forms. Look for more titles in the HarperTorch collection to build your digital library.

Confessions Of An English Opium-Eater

L'énigme de la Sphinx

Prince de l'humour noir, Thomas De Quincey mit trente ans à écrire ce livre sur la violence, lui que la violence répugnait. Il le fit à sa façon, macabre et décalée, par un éloge de la qualité esthétique des crimes les plus célèbres. Racontant drôlement les grands meurtriers de l'histoire depuis Caïn, en passant par les sectes des Thugs en Inde et des Sicaires de Judée, il finit par s'attarder sur John Williams, ce tueur en série qui terrorisa Londres en 1811. Ce récit-là est considéré aujourd'hui comme un chef- d'oeuvre, tant De Quincey offre du meurtre une lecture immersive qui en glacera plus d'un ! Thomas De Quincey (1785-1859), écrivain anglais à l'insatiable curiosité, ami de Wordsworth et de Coleridge, célébré par Borges, est l'auteur d'une oeuvre immense et protéiforme. Ses deux ouvrages les plus connus sont celui-ci et "Les Confessions d'un mangeur d'opium anglais".

Les derniers jours d'Emmanuel Kant
Thomas de Quincey
Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.
Partant des notes prises par Wasianski, l'ancien élève qui s'occupa de Kant à la fin de sa vie, De Quincey nous présente ici d'une manière très humaine et touchante les derniers moments de la sénescence kantienne... Suivant méticuleusement les événements des journées de Kant, De Quincey livre les inquiétudes qui occupent désormais cet esprit jadis brillant. Rattrapé par sa vieillesse et ses ennuis de santé, le philosophe dépeint par l'auteur anglais, est un homme épuisé et malade. Ses pertes de mémoire et pertes d'équilibre affligent de tristesse Wasianski qui tente par tous les moyens de rendre la vie agréable à son ami vénéré jusqu'au souffle ultime...
De Quincey considère que jamais l'intelligence humaine ne s'éleva au point qu'elle atteignit en Emmanuel Kant. Et pourtant l'intelligence humaine, même à ce point, n'est pas divine. Non seulement elle est mortelle mais, chose affreuse, elle peut décroître, vieillir, se décrépir.
Retrouvez l'ensemble de nos collections sur http://www.culturecommune.com/

Les derniers jours d'Emmanuel Kant

En 1827, veintitrés años después de la muerte del gran filósofo alemán, apareció en Blackwood’s Magazine el texto Los últimos días de Emmanuel Kant, de Thomas De Quincey, como parte de una serie titulada Galería de clásicos de la prosa alemana, y con el paso del tiempo este pequeño ensayo se ha convertido en una joya literaria con una peculiar fuerza de atracción, pues con razón se ha considerado a De Quincey el mejor prosista inglés del siglo XIX. Tres son los personajes principales con los que se topa el lector en este estudio biográfico: uno de ellos es, indudablemente, Kant, el otro es Wasianski, clérigo discípulo del filósofo, al que asistió y administró en los últimos años de su vida, y el tercero es el propio Thomas De Quincey, que aparece camuflado en las extensas notas al texto. Estos tres personajes van en busca de una identidad, la verdadera identidad de Kant, en pleno declive de una de las mentes más portentosas de la historia del pensamiento, pero el ensayo también persigue el retrato de la personalidad de Wasianski, autor de la obra Emmanuel Kant en sus últimos años de vida (Königsberg, 1804) en la que se basa el presente ensayo, por el que De Quincey sintió verdadera fascinación. La edición se completa con una selección de anécdotas kantianas transmitidas por varios testigos de la vida del filósofo y el escrito Sobre el cráneo de Kant, obra del doctor Wilhelm Gottlieb Kelch.

De l'assassinat considere comme un des beaux-arts

Plus de livres de Thomas de Quincey

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques