Troisième volume de la trilogie de Jane Smiley, «Un siècle américain», best-seller en Amérique et dans toute l'Europe. Dans ce dernier épisode avec la famille Landgon, les membres du clan doivent faire face à des changements sociaux, économiques et personnels profonds. On traverse alors main dans la main avec ces personnages attachants les années 80, les scandales des années 90, la montée du cynisme et la prise de pouvoir de Wall Street. Mais pour Jane Smiley, il ne s'agit jamais de se livrer à une rétrospective historique ou politique. Son prisme est celui de l'intime, de l'émotion, de la bouleversante fragilité de l'âme humaine face au monde.

Un siècle américain Tome 3 ; notre âge d'or

Smiley gives readers a magnificant novel of 14th century Greenland. Rich with fascinating detail about day-to-day life, The Greenlanders is also the compelling story of one family. Echoing the simple power of old Norse sagas, The Greenlanders brings a remote civilization to unforgettable life.

La Nuit des Groenlandais

"It's not true," says a character in Jane Smiley's funny, passionate, and brilliant new novel of horse racing, "that anything can happen at the racetrack," but many astonishing and affecting things do—and in Horse Heaven, we find them woven into a marvelous tapestry of joy and love, chicanery, folly, greed, and derring-do. Haunting, exquisite Rosalind Maybrick, wife of a billionaire owner, one day can't quite decide what it is she wants, and discovers too late that her whole life is transformed . . . Twenty-year-old Tiffany Morse, stuck in her job at Wal-Mart, prays, "Please make something happen here . . . This time, I mean it," and something does . . . Farley, a good trainer in a bad slump; Buddy, a ruthless trainer who can't seem to lose even though he knows that his personal salvation depends upon it; Roberto, an apprentice jockey who has "the hands" but is growing too big for his dream career with every passing day; Leo the gambler and his earnest son, Jesse, who understands everything about his father's "system" except why it doesn't work; Elizabeth, the 62-year-old theorist of sex and animal communication, and her best friend, Joy, the mare manager at the ranch at the center of the universe—all are woven together by the horses that pass among them: Two colts and two fillies who begin with the promise of talent and breeding, and now might or might not achieve stardom. There are the geldings—Justa Bob, the plain brown horse who always wins by a nose, a lovable claimer who passes from owner to owner on a heart-wrenching journey down from the winner's circle; and the beautiful Mr. T., raced in France and rescued in Texas, who is discovered to have some unusual and amazing talents. And then there is the Jack Russell terrier, Eileen, a dog with real convictions—and the will to implement them.The strange, compelling, sparkling, and mysterious universe of horse racing that has fascinated generations of punters and robber barons, horse-lovers and wits, has never before been depicted with such verve and originality, such tenderness, such clarity, and, above all, such sheer exuberance.

Le Paradis des Chevaux

Written with the grace and quiet beauty of her Pulitzer Prize-winning novel, Barn Blind is a spellbinding story on the classic American themes of work, love, and duty, and the lengths we will go to achieve success. The verdant pastures of a farm in Illinois have the placid charms of a landscape painting, but the horses that graze there have become the obsession of a woman who sees them as the fulfilment of every wish: to win, to be honoured, to be the best. Her ambition is the galvanizing force in Jane Smiley's first novel, a force that will drive a wedge between her and her family, and bring them all to tragedy .

Barn Blind

Lidie Harkness, vingt ans, s'ennuie à Quincy, Illinois. Thomas Newton, la trentaine, a toutes les qualités et une passion : la lutte contre l'esclavage. Contrairement à Lidie qui n'a pas d'opinion sur la question, il est un fervent partisan de l'abolition. Nous sommes en 1855. La guerre de Sécession n'a pas encore déchiré les Etats-Unis d'Amérique. Les deux jeunes gens, après s'être mariés, remontent le Mississippi et s'enfoncent dans les terres sauvages de l'ouest... Un western haletant, qui est pour Jane Smiley prétexte à poser deux questions contemporaines celle de l'engagement politique, celle du lien entre liberté et responsabilité.

Les aventures véridiques de Lidie Newton

1982 : l'Amérique de Reagan s'éveille. Dans une petite ville à quatre-vingt-dix minutes de New York, un homme, la petite quarantaine avenante, mène une vie paisible. Joe Stratford est un agent immobilier consciencieux et très modérément ambitieux. Plutôt que de nourrir des désirs irréalisables dans le travail ou en amour, il préfère se laisser porter par la vie, regarder les autres prendre les devants. Un tel tempérament fait de lui la cible privilégiée de Marcus Burns, ex-agent du fisc reconverti en escroc, qui parvient, sans trop de mal, à le convaincre de se lancer dans une opération immobilière de grande envergure. Marcus a vu l'administration Reagan donner le coup d'envoi d'une véritable folie spéculative. Pas question d'être en reste. À l'entendre, la possibilité de s'enrichir très vite est à la portée de tous, l'Age d'Or est arrivé. Joe se demande pourtant s'il est taillé pour de telles aventures. Et si tomber dans les bras de Felicity, la fille (mariée) de son mentor et associé, ne va pas, tout autant, lui compliquer la vie... Impertinent, minutieux, ce roman ausculte avec beaucoup d'humour la séduction et l'illusion qui menèrent grand train dans les années quatre-vingt.

En toute bonne foi

Après le succès de Nos premiers jours, la famille Langdon revient. Couvrant trente ans de vie et d'Histoire américaines, de 1953 à 1986, Jane Smiley prouve son incroyable talent pour scruter les liens affectifs et les tensions d'un clan. Entre destinées intimes et révolutions sociétales, on traverse des vagues d'émancipation, de libération ou de renoncement, avec en toile de fond l'élection de Kennedy, la guerre du Vietnam... Un roman émouvant et drôle, qui impressionne par sa puissance narrative.

Un siècle américain Tome 2

Face à un présent qui leur échappe, les trois filles d'Anna Robinson n'aiment rien tant que se réfugier dans l'évocation du passé. Tandis que leur père, malade, se meurt lentement dans sa chambre, elles se chamaillent sur les détails de la légende familiale, prennent leur mère à partie, s'efforcent de survivre au milieu des ruines de leur existence : les deux aînées sont veuves, et la benjamine divorcée. Faute de contrôler leur propre vie, elles s'immiscent dans celle de leurs parents et tentent de leur imposer une garde-malade, mais Anna, qui supporte mal leur intrusion, résiste avec obstination. C'est dans cette atmosphère tendue qu'arrive Christine ; la petite-fille d'Anna traverse une crise qui pourrait la conduire au divorce et à l'avortement, et ses trois « gardiennes » (sa mère et ses tantes) vont chercher à lui dicter sa conduite.
Au milieu du chaos familial, Anna semble être la seule à garder son sang-froid. Ses filles et Christine, qui la considèrent comme le pilier indéracinable du foyer, s'accrochent à elle à son corps défendant. Anna est en effet pleine de contradictions, et son conformisme se heurte à un sentiment de révolte. Si elle a toujours suivi la norme - elle s'est mariée, a fondé une famille -, présentant
une façade lisse aux autres, elle aspire à être seule, délivrée de ses devoirs dont elle s'acquitte avec exaspération. Ses filles, qu'elle a aimées petites, lui pèsent : bien qu'elles aient toujours été libres de leurs choix, elles n'ont pas eu la vie dont elles rêvaient et s'envoient leurs échecs mutuels au visage. Son époux, un homme brutal et très physique qui ne l'a jamais comprise, est devenu un fardeau. D'une nature contemplative, Anna a la nostalgie de ses chères montagnes dont il l'a éloignée pour l'emmener vivre dans l'Iowa, État au paysage plat et monotone. Elle aussi revisite le passé, et son voyage dans le temps, s'il est moins idéalisé que celui de ses filles, se teinte néanmoins de poésie.
Dans cet entrelacs de pensées et de rêves parfois éveillés se succèdent un soir, une nuit, une matinée, et c'est l'après-midi, au cours du quatrième acte de ce huis clos, qu'Ike Robinson s'éteint doucement. Sa mort, loin d'être triste, vient comme un soulagement pour Anna : elle se remet à faire des projets, envisage enfin de se faire plaisir, et accède à une certaine forme de sérénité.
L'avenir lui paraît soudain ouvert, et l'idée de revoir les lieux qu'elle a tant aimés lui apporte la paix.

Un siècle américain Tome 3 ; notre âge d'or

Résumé

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