La logique subjective suivie de quelques remarques (Wissenschaft der Logik pt.3, sect.1)

La Science de la logique de Hegel comprend deux tomes : la Logique objective, avec les livres de l'Etre (versions de 1812 et de 1832) et de la Doctrine de l'essence (1813), et la Logique subjective ou Doctrine du concept (1816). L'ouvrage que voici, qui est celui de la Doctrine de l'essence, correspond, écrit Hegel lui-même, à la " sphère de la médiation ", ce qui veut dire qu'il constitue " le passage de l'être dans le concept ".

Science de la logique - Tome 1, La logique objective, deuxième livre, La doctrine de l'essence

La Science de la logique de Hegel comprend deux tomes : la Logique objective, avec les livres de l'Être (1812) et de la Doctrine de l'essence (1813), et la Logique subjective ou Doctrine du concept (1816).
En 1831, Hegel entreprit de réécrire, en l'amplifiant considérablement, le premier de ces ouvrages. Cette seconde version fut publiée en 1832, après la mort de son auteur, sous le titre La doctrine de l'être. C'est ce texte que l'on trouvera dans le présent volume. Il constitue le dernier état de l'écriture de Hegel sur ce premier moment de sa pensée logique.

La doctrine de l'être ; 1832

Librarian note: an alternate cover for this edition can be found here.For Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770-1831), art almost ranked with religion and philosophy in its power to reveal the fundamental nature of existence. But although he lived in the German golden age of Goethe, Schiller and Mozart, he also believed that art was in terminal decline.To resolve this apparent paradox, as Michael Inwood explains in his incisive Introduction, we must understand the particular place of aesthetics in Hegel's vast intellectual edifice. Its central pillars consist of logic, philosophy of nature and philosophy of spirit. Art derives its value from offering a sensory vision of the God-like absolute, from its harmonious fusion of form and content, and from summing up the world-view of an age such as Homer's. While it scaled supreme heights in ancient Greece, Hegel doubted art's ability to encompass Christian belief or the reflective irony characteristic of modern societies. Many such challenging ideas are developed in this superb treatise; it counts among the most stimulating works of a master thinker.Table of ContentsIntroductory Lectures on Aesthetics Introduction A Note on the Translation and CommentaryINTRODUCTORY LECTURES ON AESTHETICSChapter I: The Range of Aesthetic Defined, and Some Objections against the Philosophy of Art Refuted[α Aesthetic confined to Beauty of Artβ Does Art merit Scientific Treatment?γ Is Scientific Treatment appropriate to Art?δ Answer to βε Answer to γ]Chapter II: Methods of Science Applicable to Beauty and Art[1. Empirical Method - Art-scholarship(a) Its Range(b) It generates Rules and Theories(c) The Rights of Genius2. Abstract Reflection3. The Philosophical Conception of Artistic Beauty, general notion of]Chapter III: The Conception of Artistic BeautyPart I - The Work of Art as Made and as Sensuous1. Work of Art as Product of Human Activity[(a) Conscious Production by Rule(b) Artistic Inspiration(c) Dignity of Production by Man(d) Man's Need to produce Works of Art]2. Work of Art as addressed to Man's Sense[(a) Object of Art - Pleasant Feeling?(b) Feeling of Beauty - Taste(c) Art-scholarship(d) Profounder Consequences of Sensuous Nature of Art(α) Relations of the Sensuous to the Mind(αα) Desire(ββ) Theory(γγ) Sensuous as Symbol of Spiritual(β) The Sensuous Element, how Present in the Artist(γ) The Content of Art Sensuous]Part II - The End of Art3. [The Interest or End of Art(a) Imitation of Nature?(α) Mere Repetition of Nature is -(αα) Superfluous(ββ) Imperfect(γγ) Amusing Merely as Sleight of Hand(β) What is Good to Imitate?(γ) Some Arts cannot be called Imitative(b) Humani nihil - ?(c) Mitigation of the Passions?(α) How Art mitigates the Passions(β) How Art purifies the Passions(αα) It must have a Worthy Content(ββ) But ought not to be Didactic(γγ) Nor explicitly addressed to a Moral Purpose(d) Art has its own Purpose as Revelation of Truth]Chapter IV: Historical Deducation of the True Idea of Art in Modern Philosophy1. Kant[(a) Pleasure in Beauty not Appetitive(b) Pleasure in Beauty Universal(c) The Beautiful in its Teleological Aspect(d) Delight in the Beautiful necessary though felt]2. Schiller, Winckelmann, Schelling3. The IronyChapter V: Division of the Subject[1. The Condition of Artistic Presentation is the Correspondence of Matter and Plastic Form2. Part I - The Ideal3. Part II - The Types of Art(α) Symbolic Art(β) Classical Art(γ) Romantic Art4. Part III - The Several Arts(α) Architecture(β) Sculpture(γ) Romantic Art, comprising(i) Painting(ii) Music(iii) Poetry5. Conclusion]Commentary

Cours d'esthétique 1

La Phénoménologie de l'esprit n'est pas seulement un ouvrage décisif dans l'histoire de la philosophie: c'est aussi, aux côtés du théâtre de Shakespeare ou de La Divine Comédie de Dante, l'une des œuvres majeures de la culture occidentale. Achevée dans l'urgence, parue en 1807 dans une Europe agitée par les guerres napoléoniennes, elle eut un succès tardif: en France, il fallut attendre le XXe siècle pour qu'on reconnût en elle le sommet de la philosophie idéaliste allemande – à la fois une remémoration dense et fulgurante de toute la philosophie, et le début d'une nouvelle façon de penser la vie, l'histoire et la pensée elle-même.La présente traduction restitue la dynamique poétique propre à ce moment où s'expose pour la première fois la démarche dialectique de Hegel: en s'attachant à préserver l'économie et la fluidité singulières de la langue de l'auteur, elle offre une nouvelle lecture de ce texte capital.

Phénoménologie de l'esprit

Leçons d'esthétique: 3e partie, troisième section, Chap. 1, I, le caractère général de la peinture

L’encyclopédie des sciences philosophiques en abrégé

La deuxième partie des Leçons sur la philosophie de la religion est consacrée aux religions antiques, africaines et orientales - ainsi qu'à la religion eskimo. L'exposé n'est pas simplement mythologique et ethnographique, car la religion, dans la diversité de ses figures, est pour Hegel la vie même de Dieu. Loin de rejeter les religions non chrétiennes dans les ténèbres de l'ignorance et de la superstition, Hegel fait de celles-ci une étape indispensable dans le devenir du divin. Après le " concept de religion ", en première partie des Leçons, qui porte sur une religion purement intérieure et désincarnée, et avant la religion " accomplie ", c'est-à-dire chrétienne, en troisième partie, " la religion déterminée " présente ici un Dieu qui se rapporte au monde sur un mode essentiellement sensible et multipe. Mobilisant une impressionnante documentation, Hegel distingue et analyse avec soin les religions antiques et extra-européennes, au fil conducteur du rapport changeant entre la liberté du divin et sa nécessaire inscription dans les peuples. Une odyssée historique et religieuse au service d'une étonnante inventivité philosophique.

La logique subjective suivie de quelques remarques (Wissenschaft der Logik pt.3, sect.1)

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