"And I cannot touch her face And I cannot touch her hair, And I kneel to empty shadows- Just memories of her grace; And her voice sings in the winds And in the sobs of dawn And among the flowers at night And from the brooks at sunrise And from the sea at sunset, And I answer with vain callings..."

The Night Land

William Hope Hodgson est né dans le Comté d'essex en 1877. Fils de pasteur, il quitte très jeune sa famille et naviguera pendant huit ans. Cette expérience très dure marquera sa vie personnelle mais également son travail d'écrivain. Lorsque éclate la Première Guerre mondiale, il s'engage dans l'armée et est tué au front. C'est en dix années d'écriture qu'il écrivit l'ensemble de ses ouvrages parmi lesquels on compte quelques-uns des textes les plus importants de la littérature fantastique : La Chose dans les algues, Les Canots du Glen Carrig, Le Pays de la Nuit, ou encore La Maison au bord du Monde.

Voici un livre des plus étranges. Il est d'un auteur anglais, William Hope Hodgson, qui mourut trop jeune - tué sur le front en avril 1918 - pour avoir pu donner toute sa mesure. Mais si son oeuvre est courte, elle témoigne d'une rare originalité. Dès que l'on parle de littérature de la mer, les premiers noms qui viennent à l'esprit sont ceux de Joseph Conrad et d'Hermann Melville. Pour eux, la mer n'est pas le décor d'une aventure plus ou moins tumultueuse, mais celui d'une tragédie. La mer est un destin. Mais ce sont les hommes qui jouent les rôles principaux et sont vaincus par leur propre fatalité. Pour W. H. Hodgson, c'est la mer elle-même qui est fatale. Elle est une force monstrueuse qui s'empare des corps et des âmes et les métamorphose à son gré. Dans ces nouvelles règnent la terreur et le délire. C'est avec un art admirable des détails insignifiants, une manière imperceptible de graduer l'effroi, que W. H. Hodgson fait venir l'épouvante. On ne peut donc que souscrire à ce qu'écrivait de lui H.P. Lovecraft : "Peu d'auteurs savent comme lui esquisser l'approche des forces innommables et l'assaut des entités monstrueuses..."

La chose dans les algues

The Sun has gone out: the Earth is lit only by the glow of residual vulcanism. The last few millions of the human race are gathered together in a gigantic metal pyramid, the Last Redoubt, under siege from unknown forces and Powers outside in the dark. These are held back by a Circle of energy, known as the "air clog, " powered from the Earth's internal energy. For millennia, vast living shapes - the Watchers - have waited in the darkness near the pyramid: it is thought they are waiting for the inevitable time when the Circle's power finally weakens and dies. Other living things have been seen in the darkness beyond, some of unknown origins, and others that may once have been human.

To leave the protection of the Circle means almost certain death, or worse, but as the story commences, the narrator establishes mind contact with an inhabitant of another, forgotten, Redoubt, and sets off into the darkness to find her.

Des pirates fantômes s'attaquent à un navire en plein océan. Entre folie et incompréhension, les marins vont-ils réussir à se sortir du guêpier ?

Les Spectres pirates

William H. Hodgson, né le 15 novembre 1877 à Blackmore et mort le 19 avril 1918 en Belgique, est un écrivain anglais réputé pour ses nouvelles et ses romans fantastiques. La porte du monstre : Carnacky, le célèbre détective des mystères, spécialisé dans la recherche des fantômes, se rend chez un riche propriétaire dont la propriété est hantée. C'est l'intrigue où Hodgson nous plonge, un récit court, tenu et au suspens étonnant. Carnacki a accepté d'aller étudier un problème de maison hantée dans une demeure peu éloignée de Londres. Trois personnes y ont trouvé la mort un siècle et demi plus tôt, étranglées dans la chambre grise. Toutes les nuits, la porte de cette chambre, bien que fermée à clef, s'ouvre et se referme brutalement et on y ressent une présence hostile. Après avoir constaté ces faits, Carnacki va devoir user de toute sa connaissance et sa science de la lutte contre les revenants pour résoudre cet angoissant problème et faire en sorte que cet esprit puissant disparaisse. / Le dernier voyage :"Le Shamraken, navire à voiles, en avait passé des jours sur les mers..." 60 ans de navigation, l'équipage composé de vieillards s'en retourne à terre. Un soir le navire entre dans une nappe de brouillard d'une teinte orange du plus bel effet, l'équipage pense aborder au Paradis...

Le Dernier Voyage & La Porte du monstre

Being an account of their Adventures in the Strange places of the Earth, after the foundering of the good ship Glen Carrig through striking upon a hidden rock in the unknown seas to the Southward. As told by John Winterstraw, Gent., to his son James Winterstraw and by him committed very properly and legibly to manuscript. FultonClassics.com

Les canots du "Glen Carrig"

Ces nouvelles fantastiques mettent en scène la mer et sa nature funeste : une horreur surgie des abysses tropicales, un navire hanté, une révélation terrifiante transmise par radio, etc.

L'horreur tropicale, et autres histoires

Right away in the west of Ireland lies a tiny hamlet called Kraighten. It is situated, alone, at the base of a low hill. Far around there spreads a waste of bleak and totally inhospitable country; where, here and there at great intervals, one may come upon the ruins of some long desolate cottage-unthatched and stark. The whole land is bare and unpeopled, the very earth scarcely covering the rock that lies beneath it, and with which the country abounds, in places rising out of the soil in wave-shaped ridges. Yet, in spite of its desolation, my friend Tonnison and I had elected to spend our vacation there. He had stumbled on the place by mere chance the year previously, during the course of a long walking tour, and discovered the possibilities for the angler in a small and unnamed river that runs past the outskirts of the little village. I have said that the river is without name; I may add that no map that I have hitherto consulted has shown either village or stream. They seem to have entirely escaped observation: indeed, they might never exist for all that the average guide tells one. Possibly this can be partly accounted for by the fact that the nearest railway station (Ardrahan) is some forty miles distant.

The Night Land

Résumé

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