En 1923 à Paris, un jeune homme se suicide dans une chambre d'hôtel. Très émue, son amie d'enfance dévide le fil du souvenir pour évoquer ce violoniste pétersbourgeois.

Le livre du bonheur

Saint-Pétersbourg, 1919. Sonetchka, une jeune fille, est engagée par Maria, une cantatrice de la haute société, pour être son accompagnatrice. Maria est belle et talentueuse; Sonetchka est insignifiante et miséreuse. Parce que la soprano rayonne et qu'elle a tout, alors qu'elle-même n'a rien, Sonetchka, d'abord fascinée, entreprend bientôt de détruire le bonheur trop parfait de la chanteuse... Le dossier de l'édition permet d'analyser les procédés narratifs de l'écriture de soi. Il réunit également des articles de presse pour étudier la réception critique de l'oeuvre.

L'accompagnatrice

Paris, 1923. Un jeune homme se suicide dans une chambre du Grand Hôtel. Sam Adler était violoniste, fils d'une famille de la haute bourgeoisie juive. Il avait quitté Saint-Pétersbourg en 1918. A Paris, il a laissé les coordonnées de Véra, son amie d'enfance.Ce deuil inattendu provoque chez la jeune femme une vite agitation de la mémoire, et dès lors elle dévide le fil de ses souvenir, oscillant entre les années pétersbourgeoises et sa vie à Paris marquée par une recherche fébrile et obstinée d'un bonheur qu'elle finit par conquérir.

Le Livre du bonheur

La guerre sépare un couple. En Suède, plus tard, elle retrouve son amant marié. Et le roseau se révolte...

LE ROSEAU REVOLTE

Fuyant la révolution - et un mari qu'elle n'a jamais aimé -, Véra Kirilovna Gorbatova s'est installée en Provence avec ses deux enfants, Vassia et Marianne, et son beau-fils Ilya. Comme d'autres émigrés russes, ils se sont attelés à la culture de la terre. Quand débute le roman, Shaïbine, qui fut l'amant de Véra Kirilovna en Russie, arrive à la ferme des Gorbatov. Mais avant de décider s'il y demeurera pour toujours, comme le lui demande celle-ci, il veut se rendre à Paris pour régler une affaire sentimentale. Une affaire qui va bouleverser le microcosme de ces exilés sommés par le destin de choisir définitivement le passé ou l'avenir... Récit d'un univers en pleine déliquescence, le premier roman de Nina Berberova met en scène des personnages aux prises avec le tragique de leur existence, et contient en germe le grand talent d'un écrivain désormais célèbre dans le monde entier.

Les Derniers et les Premiers

Les Allemands sont sur le point d'entrer à Paris. Des émigrés russes rêvent. S'il en avaient le pouvoir que feraient-ils revivre? Mozart, dit l'un d'eux.

La Résurrection de Mozart

Roseau revolte (le)

En 1923, à Paris, le suicide d'un violoniste issu de la grande bourgeoisie juive de Saint-Pétersbourg provoque chez Véra, jeune femme qui fut son amie d'enfance, une vive agitation de la mémoire. À partir de là, alternant les images du passé avec la relation du présent, Nina Berberova raconte la vie, les épreuves, les émois de Véra, depuis l'enfance jusqu'à ce jour où elle rencontre enfin le bonheur qu'elle avait décidé de conquérir à tout prix.Contrairement à ses autres romans où l'amour est souvent traité par la litote et l'allusion, l'auteur joue sur le registre des émotions contenues et des traits suggérés. Une association subtile de la découverte de la passion mêlée au monde extérieur en constitue un document précieux pour la connaissance de la romancière et de son oeuvre. C'est un nouvel éclairage, moins sombre que de coutume.

En trois journées cauchemardesques, la quête du loisir et du bonheur dans un univers surpeuplé, futuriste, où le rentabilisme est poussé à l'absurde.

Le livre du bonheur

Résumé

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Critiques

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